La Révélation de la Septième Heure
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Lumières Nouvelles Exclusives - Lumières Nouvelles Exclusives
(Ce que l’oreille n’a jamais entendu)
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Vision de l’invisible
« Je ne crois qu’en ce que je vois ou touche » pense ou dit l’incrédule. Les yeux et le toucher sont deux des cinq sens de l’être humain. Le goût, l’odorat et l’ouïe sont les trois autres et tous sont rattachés à l’aspect physique de l’être humain. Mais l’homme n’est pas que chair, il est également esprit. Si les êtres humains n’étaient pas tous conçus sur les mêmes principes, certains pourraient ignorer de cette ressemblance universelle. Dans les temps des ténèbres religieuses le doute s’est manifesté dans la pensée des élites religieuses catholiques qui allaient jusqu’à se demander si les peuples amérindiens, nouvellement découverts, avaient une « âme » ou s’ils étaient du niveau des animaux. A l’origine de cette incompréhension se trouvait déjà l’impossibilité d’échanger parce qu’on ne s’exprimait pas dans la même langue. Les amérindiens avaient leur langues et leurs dialectes, les européens avaient les leurs. Considérés à cette époque comme une race inférieure, ils ont été traités en esclaves par les colons blancs vainqueurs. Si à cette époque, les autorités européennes s’étaient appuyées sur la Bible, elles auraient reconnu l’égalité de ces autres descendants d’Adam et Eve qui n’avaient de différent que leur couleur de peau et leur langage. Déjà, le diable semait la graine qui, jusqu’à la fin du monde, provoquera des haines raciales et des guerres meurtrières. La fausse interprétation catholique du terme « âme » est à la base de cette ségrégation raciale. Le but était de savoir si un salut chrétien était possible pour les gens de couleurs. L’âme ne recevait pas le sens que la Bible lui donne mais l’aspect immortel que lui confère la religion grecque dans la pensée du philosophe Platon. Ce mensonge païen est donc à l’origine d’une terrible injustice qui doit être imputée et rattachée aux exactions chrétiennes papistes romaines. Pour sa part, selon elle, la Bible nous dit : « l’âme de toute chair, c’est son sang qui est en elle » (Lev.17:14) ; une âme bien mortelle puisque la mort intervient précisément quand le sang est versé. De plus, par Salomon, Dieu l’affirme : « Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil » (Ecc.9:5-6).
La conclusion à tirer de cette première réflexion est qu’on ne peut bien se comprendre que lorsqu’on parle la même langue.
La langue de l’esprit
Les mots servent à exprimer des actions (verbes) ou des choses (noms). Si les verbes et les noms prennent, dans les diverses langues, différentes formes ; par contre, les actions et les choses sont identiques pour toutes les créatures terrestres. Ceci va justifier l’utilisation des images par le Dieu créateur quand il veut faire partager sa pensée à ses créatures. Le message de l’image est universel.
C’est pour cela, que Jésus-Christ a enseigné en paraboles ses douze apôtres. Pourtant, paradoxalement, ces images si parlantes n’étaient comprises que par les explications apportées en privé aux apôtres par le Messie selon qu’il est écrit : « Il leur dit: C'est à vous qu'a été donné le mystère du royaume de Dieu ; mais pour ceux qui sont dehors tout se passe en paraboles, afin qu'en voyant ils voient et n'aperçoivent point, et qu'en entendant ils entendent et ne comprennent point, de peur qu'ils ne se convertissent, et que les péchés ne leur soient pardonnés » (Marc 4:11-12). Les douze apôtres n’étaient donc pas capables de comprendre, sans Jésus, les messages des images présentées ; pas plus que l’humanité de la dernière épreuve de foi concernée dans notre époque.
Jésus a dit : « Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l’adorent, l’adorent en esprit et en vérité » (Jean 4:24).
Dieu ne prétend pas être autre chose qu’esprit ; il est donc hors de question de le voir en chair. Les incrédules qui le cherchent de manière charnelle sont donc totalement injustifiés, Dieu lui- même se déclarant « esprit » et rien de plus. Un esprit n’a pas de taille mesurable mais étant nous mêmes esprit et chair nous pouvons comprendre ce qu’est un esprit. Quand bien même l’être humain perdrait ses cinq sens charnels il resterait un être pensant aussi longtemps qu’il serait vivant.
La rencontre de Dieu ne peut être réalisée qu’au niveau de l’esprit, dans la pensée provenant du fonctionnement de notre cerveau. Partant de ce constat, étant la créature de l’esprit créateur du Dieu vivant, nous pouvons le comprendre, notre esprit est entièrement dépendant de son esprit divin. Son contrôle absolu sur ses créatures lui permet de diriger l’esprit de l’homme. Cependant, ayant consenti à lui donner une entière liberté, Dieu contrôle l’homme uniquement sur le seul sujet spirituel. Aussi, en apparence de bonne santé sur le plan physique ou mental, l’homme évolue en toute liberté. Seule exception, le domaine spirituel est pour lui comme le jardin d’Eden gardé par un ange armé d’une épée flamboyante qui en empêche l’accès. Pour s’entendre avec le Dieu esprit il faut partager dans sa langue. Cette langue, c’est la Bible appelée également « parole de Dieu » qui constitue sa vérité : « Sanctifie-les par ta vérité ; ta parole est la vérité » (Jean 17:17). Jésus est intervenu pour rendre cette parole écrite compréhensible pour des esprits humains qui recherchent l’approbation de Dieu. La parole de Dieu étant comparée à « une épée à double tranchants » dans Hébreux 4:12, le lien avec l’épée de l’ange de l’Eden est établi. L’entrée en contact avec l’esprit de Dieu est conditionnée par l’épée divine, sa parole. Aujourd’hui, comme au temps des douze apôtres, les élus sont ceux que Jésus choisit ; car dès la fondation du monde sa prescience lui a fait connaître le caractère et le choix qu’effectue librement chacune des créatures appelées à la vie sur la terre des hommes.
La révélation de Dieu
Ayant mis en place les bases solides établissant les conditions de l’obtention de la grâce offerte en Jésus-Christ, le Dieu esprit, Souverain suprême, apporte au nom de Jésus-Christ une révélation prophétique à la fin du premier siècle de notre ère. Les apôtres du Seigneur pensaient vivre les derniers jours du monde ... et bien non, ce n’était qu’un commencement et non une fin. Dans sa sagesse, Dieu se garde bien d’annoncer à ses serviteurs que deux mille années environ vont s’accomplir après eux. Cette lettre d’amour, apparemment ouverte au regard de tous, devait être, paradoxalement, fermée jusqu’au temps de la fin commencé, par décision divine, en 1844 et davantage encore en 1994, seconde date biblique où les signes de mise en place des derniers événements sont devenus identifiables.
Les précisions avec lesquelles les prophéties bibliques s’accomplissent confirment la puissance active du Dieu créateur invisible. La réflexion, la logique et l’esprit de déduction, tous fruits de la véritable intelligence, sont les yeux de l’esprit dans la langue divine. En fait, en révélant à ses serviteurs « les choses qui doivent arriver bientôt » (Apo.1:1), Dieu nous invite à tirer des conclusions à partir d’un fait que la Bible nous enseigne dans Esaïe 46:9-10 : « Souvenez-vous de ce qui s'est passé dès les temps anciens ; car je suis Dieu, et il n'y en a point d'autre, je suis Dieu, et nul n'est semblable à moi. J'annonce dès le commencement ce qui doit arriver, et longtemps d'avance ce qui n'est pas encore accompli ; je dis : mes arrêts subsisteront et j'exécuterai toute ma volonté ». L’accomplissement prophétique constaté implique logiquement l’existence de l’esprit inspirateur de l’annonce et constitue à ce titre une preuve de son existence. Le but de la révélation, ou «dévoilement», traduction du mot apocalypse, est donc bien d’apporter, en premier, des preuves de l’existence du Dieu invisible à ses serviteurs qui le cherchent. Leur foi en sera renforcée.
Le rôle de Jésus-Christ
Il est intervenu au titre de Messie. Les vrais croyants devaient reconnaître, en lui, l’accomplissement de sa venue annoncée dans toute l’écriture de la Genèse à Malachie. Moïse l’avait annoncé en disant : « L'Éternel, ton Dieu, te suscitera du milieu de toi, d'entre tes frères, un prophète comme moi : vous l'écouterez ! » (Deut.18:15). En annonçant « un prophète comme lui » il annonçait la venue d’un homme, pas celle de Dieu. Il n’était donc pas absolument nécessaire, dans un premier temps, de reconnaître la divinité du Christ pour être sauvé, au temps des apôtres. Son ministère était identifiable par l’accomplissement des paroles du prophète Esaie (Esa.29:18 ; 42:7) comme il le rappelle aux envoyés de Jean-Baptiste : « les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres » (Matt.11:5). Les guérisons physiques qu’il réalisait, miraculeusement, masquaient les guérisons spirituelles pour lesquelles il était véritablement venu sur terre. La lumière qu’il apportait sur le projet de Dieu allait permettre aux boiteux et aveugles spirituels de discerner, clairement, le plan du salut préparé par Dieu pour sauver ses élus. Réconciliés avec le grand Juge dans l’œuvre expiatoire du messie Jésus, les choisis (ses disciples) du Christ peuvent pénétrer dans la pensée divine et bénéficier de sa puissance pour que croisse leur intelligence. Dans des corps bien terrestres, des esprits sont autorisés à accéder au jardin d’Eden pour s’y nourrir de l’arbre de la vie, image de Jésus-Christ. C’est le sens que porte la sainte cène dans laquelle le croyant mange le corps du Christ à titre symbolique. Pour les faux croyants cette action reste uniquement un symbole purement formaliste, alors que le véritable élu reçoit Jésus en lui-même en communion d’esprit.
Il est donc sage de ne pas se fier à nos yeux qui ne peuvent voir les réalités célestes invisibles, mais à retirer tous les avantages de notre intelligence en ne nous trompant pas dans nos raisonnements (voir Jac.1:22). C’est ce que Jésus veut enseigner en faisant dire à Paul : « ...la lettre tue, mais l’Esprit vivifie » (2Cor.3:6). Nos yeux lisent les mots de la Bible, c’est à dire, la lettre, mais c’est notre esprit qui va saisir soit, vivifier, les divers sens du message écrit avec l’aide du Saint-Esprit ou esprit de Jésus sans lequel nous ne pouvons rien faire (Jean 15:5).
Sur notre terre le vrai et le faux sont mélangés, en sorte qu’il est difficile de retrouver le bon chemin tracé par Dieu. Mais devant cette difficulté les vrais enfants de Dieu n’ont rien à craindre car même quand les conversions semblent devenir rares ou impossibles, Dieu qui sonde les cœurs et les reins continue, Lui, à sélectionner ses élus. L’évangélisation et la conversion des pécheurs sont, avant tout, ses œuvres, son ministère de berger, qui appelle ses brebis. Et nous pouvons nous appuyer sur cette citation : « Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste debout, avec ces paroles qui lui servent de sceau : le Seigneur connaît ceux qui lui appartiennent... » (2 Tim.2:19).
La divinité de Jésus-Christ
Elle est rattachée au Messie qui est appelé « Père éternel » dans Esaie 9 :5. « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule ; on l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix ».
Ainsi, celui que tout le monde appelle « Fils de Dieu » est annoncé au titre de « Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix ». Jésus reconnaît cette divinité en acceptant la prosternation devant lui et quand Philippe lui demande « ... Seigneur montre-nous le Père et cela nous suffit. Jésus lui dit : il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe! Celui qui m'a vu a vu le Père ; comment dis-tu : montre-nous le Père? » (Jean 14:8-9). Jésus est donc un dédoublement de l’Esprit divin et il n’est « Fils » que par sa nativité terrestre pour son incarnation, son aspect charnel nommé Jésus.
Jésus-Christ a aussi présenté son sacrifice volontaire en ces termes : « Le Père m’aime parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même ; j’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la reprendre » (Jean 10:17-18). Ces paroles ne sont pas celles d’un homme ordinaire mais celles du Dieu Tout-puissant qui a seul le pouvoir de reprendre sa vie soit, de se ressusciter.
Au troisième siècle de notre ère, au concile de Nicée en 325, les chrétiens ont engagé une dispute pour définir la divinité du Christ. La sagesse humaine s’est emparée d’un sujet inaccessible. Comment définir la divinité de Jésus quand on est qu’un homme limité dans sa compréhension de l’état et de la nature divine ? Déjà il fallut tenir compte de ce que rien n’est impossible à l’Esprit du Dieu créateur. Il a fait reposer, en puissance, son esprit, dans une chair humaine, née miraculeusement d’une jeune femme vierge, appelée Marie. Ainsi coupé de l’héritage du péché terrestre, il apparaît en Jésus au titre de nouvel Adam innocent et parfaitement pur. Il vient reprendre le combat perdu par Adam contre le diable pour le vaincre. Sa victoire sera propice au salut de ceux qui l’aiment et justifiera la destruction du diable au temps prévu ; celui du jugement dernier. En fait la divinité de Jésus éclate et s’impose par un rassemblement d’arguments bibliques et, cette reconnaissance implique l’impossibilité d’opposer le ministère du Père, Dieu de l’ancienne alliance, au ministère du « Père éternel » de la nouvelle ; la foi monothéiste est ainsi confirmée. Les Ecrits de l’ancienne alliance ne mentionnent jamais Dieu comme un Père, et ce titre ne lui est attribué que par Jésus venu rappeler une évidence ; le Dieu créateur est le Père soit, celui qui donne la vie. Comme il le dit et l’affirme lui-même, Dieu « ne change pas » (Mal.3:6); c’est donc aux hommes de s’adapter à ses exigences et ceux qui l’aiment le font docilement pour lui exprimer leur amour : « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements » (1 Jean.5:3). Dans la fausse religion chrétienne on prétend honorer le Fils mais on le fait au détriment du Père. Cette attitude est celle d’un caractère rebelle qui fuit l’obéissance due au Père et se réfugie, trompeusement, sous la grâce en revendiquant le salut apporté par le Fils. Ce raisonnement injustifiable fait porter la colère de Dieu sur les coupables qui devront rendre compte, eux-mêmes, de leurs péchés (dont le salaire est la mort : Rom.6:23). Il est très difficile, voire impossible, pour une société moderne qui s’est totalement affranchie de ses devoirs envers Dieu, de réaliser qu’Il attend toujours et encore son obéissance. Ce sera par une effroyable troisième guerre mondiale que le Souverain suprême va signifier aux hommes son attente. Pour lui aussi « la fin justifie les moyens ». A l’heure où les hommes s’endorment dans de coupables alliances religieuses contre nature, Dieu les réveille en libérant le diable et ses démons qui vont exciter la haine des uns contre les autres. Et quand le nombre des morts prévu sera atteint, il mettra fin au temps de grâce, pour glorifier l’harmonie du Père éternel des deux alliances. Jésus-Christ et la gloire du saint sabbat cristallisent cette parfaite union. Les commandements de Dieu ayant un caractère perpétuel pour l’humanité, le changement de jour du quatrième commandement, adopté en 321, suppose un changement de l’ordonnateur. « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux ; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. Car, je vous le dis, si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux » (Matt.5:17à 20)
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- Fin du message -
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