Pict-005.pngPict-006.pngLa Révélation de la Septième Heure

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Lumières Nouvelles Exclusives - Lumières Nouvelles Exclusives

(Ce que l’oreille n’a jamais entendu)

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Les trois sœurs ennemies

Ces « trois sœurs ennemies » sont trois religions qui se disputent la représentation du Dieu unique.

Elles ont pour nom, dans l’ordre de leur création : judaïsme, christianisme et islamisme. Pour comprendre leur existence, nous devons survoler l’histoire religieuse et ses évolutions.

Sans contestation possible, l’origine du monothéisme est dans l’histoire du peuple hébreu, devenu Israël, quand, après l’avoir libéré de l’esclavage égyptien, Dieu lui a offert Canaan pour terre nationale. Ce peuple est resté longtemps sans concurrence, pour représenter le Dieu créateur de toute chose et toute vie, qui lui a donné la connaissance de ses lois et de toutes ses ordonnances. Il est, sur ce point, le seul premier témoin historique.

Au temps marqué par les prophéties juives, le Messie, promis à Israël, s’est présenté sous l’apparence humaine de Jésus de Nazareth. Ne délivrant pas Israël du peuple romain qui l’occupait, le peuple, qui avait salué la venue de son roi, s’est laissé gagner par la colère, au point de désirer sa mort et d’approuver son exécution par les romains. Après sa résurrection, s’appuyant sur les apôtres qu’il avait choisis, Jésus, en divinité céleste, a instauré les bases parfaites de son Eglise.

Le temps passant, en 321, l’infidélité des nouveaux chrétiens convertis, superficiellement, à cause de la liberté religieuse instaurée depuis 313, provoque une rupture avec Dieu. L’adoption d’un faux jour de repos, imposé par Constantin, place la foi chrétienne en situation d’adultère spirituel envers Dieu. Il s’en suit une confusion énorme. Le sectarisme apparaît quand se multiplient les remises en causes des bases apostoliques religieuses. Rome perd son rôle de capitale impériale, car les empereurs byzantins préfèrent vivre en orient. Les conciles y sont organisés près de la source de la foi chrétienne, très développée par l’apôtre Paul, dans l’actuelle Turquie. Le désordre religieux est tel qu’il devient un problème pour les empereurs. Vers 533, l’empereur Justinien soutient la demande d’un ami de son épouse Théodora, appelé Vigile, ce dernier prétend à devenir le chef terrestre de la foi chrétienne universelle. Si la chose peut mettre de l’ordre, Justinien ne peut que la soutenir. Le siège papal, ainsi constitué, sera à Rome, momentanément, occupée par les barbares Ostrogoths. Il envoie donc ses armées conduites par le général Bélisaire et, en 538, les Ostrogoths sont chassés, Vigile peut occuper son poste papal. Le drame repose sur le fait que cette institution ne cherche pas à revenir à la pure doctrine de la vérité apostolique. Au contraire, elle officialise les hérésies apparues dans les conciles. Le monstre, que Dieu appelle, « la bête », est entré dans son règne. Les disputes ne cessent pas pour autant, mais l’institution bénéficie du pouvoir civil impérial pour appuyer son autorité.

A la fin du 6ème siècle, apparaît « le prophète Mahomet ». La foi chrétienne, largement enseignée en Orient, a gagné les pays arabes qui pratiquaient, comme tant d’autres peuples, des religions païennes. Mais parce que disputée, à l’intérieur du christianisme, Mahomet s’est intéressé au sujet de la foi, au Dieu unique. Reprenant les bases religieuses historiques, il a reconnu les grandes figures bibliques comme Abraham et Moïse. Mais dans son approche de la foi chrétienne, il n’a trouvé, en face de lui, qu’un paganisme chrétien officialisé. Il ne pouvait suivre ce modèle auquel il trouvait beaucoup de défauts. Aussi, ses études et ses raisonnements l’ont conduit à créer sa conception de la religion qu’il appelle « l’islam ». Si la vraie doctrine de Jésus-Christ lui avait été enseignée, peut-être qu’il n’aurait pas trouvé utile de créer cette dernière. Car la foi des apôtres était une perfection du « croyant ».

A ce point de la réflexion, je peux tirer déjà une conclusion. Cette nouvelle religion, combattante, vient après l’instauration du régime catholique romain, abominable, pour le punir et le frapper ; pour lui faire la guerre. Car la prétention de « l’islam » à convertir les habitants de la terre va se heurter, fatalement, à la même prétention catholique, faussement chrétienne.

Les choses se répètent. Déjà, lorsqu’Israël tomba dans l’apostasie, Dieu le prévint, par ses prophètes, que l’instrument de sa colère serait les chaldéens de Babylone. La chose n’était pas encore accomplie, qu’il l’annonçait.

Dans l’ère chrétienne, le même processus se reproduit. Par le prophète Daniel, Dieu prophétise le péché de 321, des chrétiens. En châtiment, il les livre, en 538, au régime papal romain, lequel dans la suite des temps, trouvera, à son tour, en face de lui, « l’Islam », bras armé par Dieu, pour châtier ses abominations.

C’est là, la raison d’être de ces « trois sœurs ennemies » qui se font concurrence. A l’intérieur de l’Islam des divisions opposent les musulmans. Au sein du christianisme, la situation est pire : catholiques, orthodoxes et divers groupes de protestants.

Le rôle d’instrument de colère, pour Dieu, ne nécessite pas une conformité avec sa norme de la vérité qui concerne, exclusivement, ses élus.

En matière de vérité divine, dans l’état où elles se trouvent, les « trois sœurs ennemies » ne sont pas dans la norme du salut divin. Mais il n’est pas sans intérêt de relever les accusations qu’elles se portent les unes contre les autres.

Par exemple, le retour des juifs en Palestine, en 1947, a attiré la haine des musulmans contre eux. A partir de cela, des accusations nombreuses sont portées à l’encontre des juifs. Sans rentrer dans leur énumération, je retiens celle que les faits rendent illégitime : les juifs ont changé les textes inspirés par Dieu.

Les faits prouvent le contraire. Jésus-Christ, habité par l’Esprit de Dieu, ne leur a jamais fait ce type de reproche. Lui qui connaissait les pensées des hommes savait, d’autant plus, ce qu’était l’état des saintes Ecritures. Et Dieu lui-même veillait sur elles, puisque « jusqu’à ce que la terre et les cieux passent, il ne doit pas disparaître un trait de lettre ou un iota … » 

En fait, cette fausse accusation portée contre les juifs, vise à justifier les versions, personnelles différentes, que l’Islam présente sur les faits témoignés dans la Bible. Dans cette démarche, l’Islam donne à son patriarche arabe, Ismaël, le rôle de l’enfant qui devait être offert en sacrifice par Abraham. Cette prétention est contredite par l’histoire du peuple juif. En effet, en offrant son fils légitime, Isaac, né après Ismaël conçu avec Agar, sa servante égyptienne, Abraham  montra à Dieu qu’il était capable, lui-aussi, de sacrifier son fils légitime unique. Et c’est cette action qui lui donna la dignité de voir, dans son lignage, naître le Messie qui viendrait remplir le rôle du bélier réellement sacrifié par Abraham. Ismaël, fils illégitime, ne pouvait pas être offert en sacrifice, à la demande de Dieu.

Cette contestation arabe n’est pas nouvelle. Dans le récit biblique, on constate déjà la dispute entre Agar, la servante et Sara, la maîtresse. On assiste à la même concurrence entre Ismaël qui rudoie son demi-frère Isaac. Quand Sara voit Ismaël rire d’elle, l’insupportable est atteint et Agar et son fils, Ismaël, sont chassés et marchent vers leur destin. Il ne sera donc pas auprès d’Abraham quand Dieu exigera le sacrifice d’Isaac et encore moins à sa place. Quant à son destin, Dieu l’a prophétisé en ces termes cités dans : (Genèse 16:12) Il sera comme un âne sauvage ; sa main sera contre tous et la main de tous sera contre lui ; et il habitera en face de tous ses frères. Sa descendance, qui sera le peuple arabe, aura un comportement querelleur et agressif, peu sociable d’après Dieu. L’expression : « il habitera en face de tous ses frères », prophétise une proximité dans la dispute et la jalousie envers son demi-frère juif et sa postérité. 3500 années plus tard ces critères sont encore visibles.

Il est vain d’espérer une entente cordiale entre ces « trois sœurs ennemies » créées pour la dispute et la guerre. Ce sera le cas, aussi longtemps que chacune refusera de prendre, pour étalon, de la vérité divine, le texte biblique écrit par Moïse et ses descendants juifs. Ensuite faut-il, encore, au niveau de la mise en pratique des choses écrites, avoir la même opinion.

Je passe sur les multiples interprétations musulmanes de l’histoire de Jésus-Christ, considérant qu’il a, dans les écrits bibliques de la nouvelle alliance, ses meilleurs témoins. Je relève, quand même, contre le faux christianisme, un reproche mérité qui dénonce le dogme de la trinité, à juste raison. Cette doctrine repose sur une mauvaise interprétation de l’expression : « au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ». Les fondateurs, du dogme, n’ont pas compris que Jésus évoquait, par ces termes, les trois rôles, successivement, tenus par le même, unique, Dieu Esprit, dans son plan du salut préparé pour sauver ses élus. La terre n’a été créée que pour permettre, au Dieu, esprit invisible, de donner une preuve, incontestable, de son amour pour ses créatures. En acceptant de mourir dans une chair semblable à celle des hommes, Dieu satisfait sa justice et il révèle la force de son amour. Un seul Esprit tenant trois rôles, tel est le véritable sens de l’expression : « trinité ». Dieu est créateur de la vie donc, Père, se donnant, miraculeusement, un corps de chair, nommé Jésus ; en hébreu, Yeshua, qui signifie « Yahwéh sauve » ; en lui, Dieu devient Fils. Ce sauvetage a un prix, qu’il paie, en offrant sa vie pour les péchés de ses élus. Ensuite, après sa résurrection, qu’il obtient par lui-même, Jésus-Christ Dieu Esprit, se réconcilie avec ses élus parce qu’ils répondent à ses exigences. Il peut, dans cette unique condition, vivre en eux, en tant que Saint-Esprit, pour les conduire et les guider dans leur vie, en leur faisant partager sa lumière, sa sagesse, son intelligence illimitée. Au temps de la fin, son éclairage, des textes prophétiques, est devenu vital et indispensable pour voir clair dans la confusion religieuse universelle ambiante.

La guerre entre les « trois sœurs ennemies » n’a été évitée que provisoirement, dans un temps de paix, où chacune, s’est pliée au pacifisme, exigé par les masses agnostiques et les dirigeants soucieux de favoriser le développement du commerce. Mais l’histoire en témoigne, les divergences religieuses ne sont que des bombes à retardement que Dieu fait exploser au temps qu’il choisit.

Faute de tenir compte du paramètre fondamental, que représente le puissant Dieu créateur, les nations, majoritairement, incrédules, sont condamnées à subir les diverses formes de sa colère justifiée.

J’entends sur les ondes, des gens qui présentent l’Islam comme une religion de l’amour. Si cette religion, qui s’est, dès son origine, imposée par le sabre, est une religion d’amour, alors qu’est-ce que la  chrétienté, authentique, dont le « fondateur » a offert, par amour, sa vie sur une croix ? Cette confusion, dans le jugement des choses religieuses, est le fruit, naturel, d’observateurs incrédules qui ne se préoccupent que de conserver et préserver leur paix. Ils seront déçus, car c’est, précisément, leur attitude incrédule qui conduit Dieu à livrer les peuples à la guerre.

Dans nos sociétés occidentales gagnées par le matérialisme, l’esprit religieux est méprisé, aussi, les journalistes, eux-mêmes, se montrent incapables de comprendre ce qui arrive dans l’actualité. Pour discerner la religion, il faut croire à l’existence du Dieu qui la détermine. Sans quoi, personne ne peut connaître le sens et la motivation des événements.

Le silence absolu, longtemps obtenu de la part des diverses familles religieuses revendiquant la foi chrétienne, n’a pas permis de prendre le sujet religieux au sérieux ; au point que les leçons, données par l’histoire, sont totalement ignorées. Qui se soucie de découvrir la différence entre la foi protestante et la foi catholique ? Qui se soucie de savoir pourquoi des guerres sanglantes les ont opposées ? Des multitudes d’êtres humains ignorent, également, que la Bible et ses prophéties nous donnent toutes les explications.

Ayant trouvé, dans l’accomplissement des prophéties bibliques, une preuve, intellectuelle, de l’existence du Dieu invisible, mon regard, sur l’actualité, tire d’elle, beaucoup plus, que les observateurs, agnostiques, qui « la reçoive en pleine figure » sans pouvoir l’expliquer. De plus, notre société confond les mots intelligence et instruction.

Or, Dieu a dit à Daniel : « … les intelligents comprendront … ». Cette intelligence qui s’obtient, uniquement de Dieu, permet de tenir compte de l’ensemble des paramètres. Constater des faits est à la portée des masses humaines mais, comprendre pourquoi la malédiction s’installe est un privilège du serviteur de Dieu que je suis. C’est pourquoi, je dois, aujourd’hui, attirer votre attention sur un cumul de malédictions qui nous entraîne, avec nos alliés européens et occidentaux, vers l’abîme le plus profond imaginable. Dans la Bible, Dieu nous dit : « Au temps du bonheur, réjouis-toi ; au temps du malheur, réfléchis ». Si Dieu nous dit : réfléchis, c’est dans le but de découvrir la cause du malheur constaté. De manière systématique, le malheur suit l’impiété. Définissez la norme de la piété proposée par Dieu, comparez-la, ensuite, à la forme qu’elle prend dans notre société et vous connaîtrez la cause du drame.

Pour vous convaincre du sérieux divin, regardez l’histoire d’Israël, le peuple « choisi », par Dieu, pour offrir au genre humain, une démonstration pédagogique. En regardant ces choses, nous sommes dans l’histoire, pas dans le mythe et, les avertissements de Dieu, suivis par ses châtiments, accompagnent cette histoire. Osez regarder en face cette réalité et vous comprendrez votre époque, car Dieu ne surprend pas, vu qu’il ne change pas. Après cinq châtiments, dont les quatres premiers se sont accomplis par des événements connus de tous, mais non interprétés religieusement, notre société porte le fruit de sa longue liberté. Considérez l’histoire de la France des 150 dernières années, environ. La République a conquis des colonies qui lui ont donné, son statut de superpuissance terrestre. Son prestige et ses richesses se sont accrus. Pourtant, c’est déjà, cette colonisation qui a préparé les ennuis qui apparaissent, en notre époque, qui succède à la deuxième guerre mondiale. Après les guerres d’indépendance, les pays colonisés, libérés, n’ont pas réussi à offrir, à leurs habitants, le type d’existence que la France offrait. Encouragée par les politiciens, une immigration lente, mais constante, est venue transformer l’aspect ethnique de notre pays. Dans la prospérité, cela ne posait pas de problème. Aveuglés par la recherche du prestige humaniste, la France et l’Allemagne ont posé les bases de l’alliance européenne. On a renoncé aux frontières nationales et accepté le libre échange international, dans lequel un pays, comme la France, est incapable de s’aligner sur les pays à main d’œuvre moins élevée. Elle a commencé à s’endetter, à partir de 1974, quand la Chine est entrée dans le commerce avec son double système, communiste interne et capitaliste externe. Les profits réalisés, par les exploiteurs de cette main d’œuvre chinoise, ont provoqué, dans nos pays, un désert au niveau des emplois. Il faut dire qu’ils étaient d’un rapport, si élevé, que tout autre source de travail devenait ridicule et sans intérêt. Les sociétés ont fait faillite et les emplois ont disparu. Une telle destruction de prospérité conduit inévitablement dans l’abîme. La malédiction de Dieu se distingue dans l’aveuglement des dirigeants politiques, qui se sont entêtés dans leurs démarches, vouées à l’échec dès le commencement. En effet, lorsque fût envisagé l’abandon des frontières, des esprits plus perspicaces que la masse avaient évoqué, en image, ce qui allait inévitablement arriver : ils parlaient de suppression des écluses, allusion aux taxes frontières qui empêchent l’inondation des fabrications étrangères. Mais quand tout ce dont on a besoin est fabriqué dehors, il n’y a, logiquement, plus rien à fabriquer chez soi.

En d’autres termes, le « coq » français, toujours soucieux de conserver sa réputation de pays démocrate humaniste, en tant que patrie des droits de l’homme, s’est fait « plumer » par ses alliés européens qui savent, comme « le renard, flatter le corbeau ». Obéissant au principe des vases communicants, la réussite est obtenue par le moins social et le plus petit salaire. Au contraire, l’échec vient sur celui qui porte le handicap social le plus élevé. Et de même qu’on n’a jamais vu l’eau des fleuves remonter vers les torrents des montagnes, il ne faut pas attendre un miraculeux retour à la prospérité. La ruine totale, maintenant imminente, coïncide avec l’amplification de la menace islamique. Un nouveau malheur vient donc se joindre aux précédents et, je peux dire, par la prophétie de la Bible, que l’action va prendre une intensité qui va surprendre le monde occidental installé, mentalement, dans la paix. Les humanistes ne retiennent rien de l’histoire de leur propre pays. Leurs bons sentiments, remplis d’espérance et d’optimisme, leur bouchent la vue. Ils croient toujours pouvoir réussir là où d’autres, avant eux, ont déjà échoué.

Ce qui va vous épouvanter, bientôt, ne m’étonnera pas. Par les prophéties bibliques, j’ai su, dès 1982, vers quel drame nous nous dirigions.

En découvrant, dans celles-ci, le jugement que Dieu porte sur Rome et sa religion, j’ai compris que la malédiction toucherait l’Union européenne, précisément, actée sur le traité de Rome (1957). Je peux donc en témoigner, les prophéties bibliques, concernant l’ère chrétienne, s’accomplissent avec autant de précision, que celles qui concernaient l’histoire des juifs de l’ancienne alliance.

Pour Dieu, l’Europe, réunie sous l’égide de Rome, est un repaire de faussetés, de mensonges, d’impuretés et je rajoute, de cupidité. Le sacrifice des peuples permet à des minorités influentes de s’amasser des richesses. La ruine de l’Europe a pour résultat l’enrichissement, spontané, de deux cent nouveaux milliardaires en Chine. La condamnation de l’Europe et de ses habitants est confirmée dans la Bible. L’homme de foi, que je suis, sait que ce dessein révélé par Dieu est irréversible. Il ne reste donc qu’à le subir.

L’occident, « faussement », chrétien, vit constamment, sur et dans, le mensonge. Le calcul du temps est faux à tous les niveaux.

Nous sommes actuellement dans l’achèvement du sixième millénaire depuis Adam. Dieu l’a révélé à Moïse ; il faut le croire.

Le calendrier romain : il nous situe en l’an 2015 après Jésus-Christ, lequel est né, en réalité, six ans avant la date que Rome lui a attribuée. Nous sommes donc, pour Dieu, en 2021, depuis la vraie naissance de Jésus-Christ. Relevez, au passage, le paradoxe d’une société agnostique rebelle et libertaire, qui utilise, continuellement, une référence de temps, fondée sur Jésus-Christ dont elle méprise et ignore ses enseignements.

De plus, tout au long de l’année, des fêtes religieuses caduques ou fausses, instaurées, inutilement, par Rome rappellent, également, la source chrétienne de la nation. Pâques et surtout, Noël, car un anniversaire fêté, hors de la date réelle, n’a plus de sens.

L’année : au lieu de commencer au « printemps » qui signifie : « premier temps », commence au 11ème mois, après le solstice d’hiver et finit au 10ème.

Les mois : quatre mois d’automne conservent, dans leur nom, leur numéro d’ordre et démasquent le changement : septembre = sept ; octobre = huit ; novembre = neuf ; décembre = dix.

Les semaines : Dieu a donné aux jours un numéro d’ordre ; de 1 à 7 et il a sanctifié, au repos, le septième, dès le commencement. Rome leur a attribué le nom d’une divinité astrale païenne : le jour du soleil = 1 ; le jour de la lune = 2 ; le jour de mars = 3 ; le jour de mercure = 4 ; le jour de Jupiter = 5 ; le jour de vénus = 6 ; le jour de saturne = 7.

Pour parachever son œuvre, le diable a inspiré l’humanité moderne à adopter le premier jour comme septième (voir norme iso 8601 adoptée en 1988), d’où l’expression anglaise « week-end » qui, signifiant fin de semaine, regroupe le samedi et le dimanche.

Les jours : rebelle, Rome rejette l’ordre du temps que Dieu appuie sur les astres de sa création. Pour lui, le changement de jour est marqué par le coucher du soleil. Pour Rome, « la faussaire », ce sera au milieu de la nuit, sans appui visible sur un astre. Nos montres, réveils et horloges nous permettent de marquer et de compter le temps, mais, avant cette technologie, seuls, les astres, servaient de repères et, pour ne pas irriter le Dieu créateur, il ne fallait surtout pas leur rendre un culte et les adorer.

Pendant toute l’ère chrétienne, les peuples ont ignoré les conséquences des mensonges établis par Rome. Et de malédiction en malédiction, Dieu a livré l’humanité au système républicain. Déjà dans l’histoire de la Rome païenne, on peut constater cette évolution progressive qui, débutant par la monarchie, entre en république, puis en consulat, puis en dictature, en triumvirat et en empire. Elle a expérimenté tous ces types de gouvernance, détruits en leur temps. Il est important de savoir que, dans sa révélation prophétique, Dieu présente sa « grande tribulation », due à la Révolution française, comme un quatrième châtiment qui a pour but de frapper le régime coalisé de la monarchie et du clergé catholique papal romain, pour leurs péchés partagés. L’entrée en république est donc une nouvelle forme de sa malédiction. Aussi, l’analyse de l’action révolutionnaire révèle, sur quelques années, une image de l’avenir de l’humanité républicaine. Dieu a excité la colère du peuple, pour punir l’impiété de Rome, en frappant le régime monarchique, bras séculier qui la soutenait. Louis XVI était le meilleur des rois de France, bon pour son peuple et sa famille. En le frappant lui, Dieu montre qu’il frappe le système monarchique et non l’homme, lui-même. Le roi guillotiné, la république s’installe et très vite les mésententes apparaissent entre les clans des corrompus, dont Danton et, les vertueux, tel Robespierre. Le vice et la vertu étant inconciliables, la vertu fait guillotiner le vice. Mais la vertu n’est pas acceptée longtemps, par le peuple assoiffé de liberté, du type libertaire, aussi, sa colère se tourne contre la vertu, qu’elle guillotine à son tour. Le régime poursuit l’œuvre que Dieu veut lui faire accomplir. Il s’en prend au chef papal, à l’époque, Pie VI, qui est arrêté, en 1798, par le général Berthier. Provisoirement incarcéré dans la prison de Valence sur Rhône, il tombe malade et il y meurt en 1799. Dans la cathédrale de cette même ville, dans une stèle de pierre, son cœur récupéré, y est placé. Avec la mort du pontife romain s’accomplit la prophétie : « l’une des têtes de la bête fut frappée mortellement ; mais sa blessure mortelle fut guérie, et toute la terre remplie d’admiration suivit la bête … ». L’histoire confirme cette guérison due à l’action de l’empereur Napoléon 1er. Ainsi, comme Rome, après la République, sont venus, successivement, incarnés par Bonaparte Napoléon, le consulat, la dictature et l’empire.

La Révolution française, de 1789 à 1804, nous montre bien la faiblesse du régime républicain : la corruption.

Elle est aggravée par l’augmentation du nombre des corrompus. Et elle se développe d’autant plus qu’il n’y a pas, comme dans la monarchie, un super pouvoir capable d’exercer le contrôle. Comme l’expérience révolutionnaire le montre, clairement, le système républicain est auto destructeur. De République en République, la France est revenue, en 1958, par sa 5ème constitution, dans un régime de dictature septennale, puis quinquennale, habilement présenté comme régime démocrate. Le Président, soutenu par une écrasante majorité de députés, a les pleins pouvoirs d’un dictateur. Or, ce régime, dénoncé lors de son instauration, a été très apprécié par ses anciens détracteurs. C’est tellement plus facile de régner en dictateur, qu’en président d’assemblée parlementaire. Plus de recherche de compromis, tous les excès deviennent possibles, sans que quiconque puisse les empêcher. Les désirs des nouveaux présidents sont les désirs du roi. Quand le Président est bon, c’est tant mieux pour la France et son peuple ; quand il n’est pas bon, c’est vers le pire qu’il les conduit. C’est ainsi qu’en 1974, le chef français engage le pays dans le projet européen, début du malheur. La même année, la malédiction vient, aussi, avec « le choc » pétrolier. L’immigration est légalisée par la loi du regroupement familial. Nous avons-là le cocktail des malédictions qui ont conduit la France à sa ruine. La corruption républicaine pratiquée dans tous les étages de la société, l’intérêt réel du peuple est abandonné. Dans les plus hautes sphères du pouvoir, le contact avec de puissants lobbies financiers internationaux, détournent, les puissants, des besoins de leur peuple. Ils adoptent des mesures qui détruisent les emplois et ruinent leur économie. Mais dans le même temps, des bulles financières grossissent et enrichissent des spéculateurs capitalistes toujours plus avides et cupides. Cette évolution sonne le glas du temps des nations. L’actualité le démontre, les chefs d’état gèrent les relations internationales au détriment de leur nation, qui est sacrifiée. La république produit encore, aujourd’hui, des centaines de millions de « Danton ». Faute de « Robespierre », Dieu fait appel, à l’Islam, pour engager son « sixième châtiment » de l’impureté des régimes du péché, que constituent, à ses yeux, les nations modernes occidentales républicaines et les monarchies parlementaires associées. Ainsi, mon analyse nous ramène dans la phase où les « trois sœurs ennemies » vont se combattre atrocement. Aveuglément, le mépris républicain pour la religion a construit, lui-même, les conditions de son drame final. Le système est donc bien auto destructeur.

§  Pourquoi Dieu choisit-il l’Islam pour son action punitive ? Réponse : parce que sa cible est l’infidélité chrétienne. Or, le projet chrétien est, le seul, qui a valeur à ses yeux, quand il répond à ses critères, qui étaient parfaits, uniquement, au temps apostolique. De plus, concurrent injustifié, l’Islam n’a pas d’autre raison d’exister, que celle, d’être un bras armé pour châtier le péché des peuples chrétiens. L’unique religion de l’amour est fondée sur le témoignage vivant, laissé par Jésus-Christ : l’offrande volontaire de sa vie et de sa mort pour expier, à leur place, le prix des péchés de ses élus ; mais de ses, seuls, élus. Présenter l’Islam guerrier, comme une religion d’amour, est une offense de plus faite au Dieu vivant qui est le Créateur, le Rédempteur et le Consolateur de ses élus, rachetés, qu’il sélectionne en fonction du témoignage donné par leur vie.

Le drame européen va prendre une intensité, exceptionnelle, avec l’entrée, dans le conflit, d’une superpuissance nordique qu’il est facile d’identifier à la Russie. Pourquoi la Russie frapperait-elle l’Europe ? Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, un rideau de fer nous a longtemps séparés de ce peuple. Son régime communiste et socialiste l’a isolée du commerce capitaliste occidental, finissant par la ruiner. La nouvelle Russie, formée depuis le démantèlement de l’URSS, a subi plusieurs, terribles, vexations de la part du camp de l’Otan occidental ; notamment, dans la guerre des Balkans où ses alliés serbes ont été vaincus et humiliés. La récente opposition européenne, suite au renversement du chef d’état de l’Ukraine, a ajouté, sur la balance du ressentiment russe, une mesure de plus. Alors, faut-il s’étonner si elle profite de l’affaiblissement de l’Europe, pour lui faire rendre compte de son arrogance et de ses injustes soutiens. Là encore, l’Europe, frappée par la malédiction divine, a elle-même préparé son agression. Ainsi, tel « Robespierre », une guerre universelle nucléaire vient pour détruire la société des « Danton » corrompus. Le rôle de la Russie s’explique, également, par sa religion chrétienne « orthodoxe », ennemie et concurrente de la religion « catholique romaine ». Porteuses, toutes deux, de la même malédiction, rattachée au faux jour de repos, hérité de Constantin 1er, depuis 321, les « deux sœurs ennemies » sont, finalement, dressées l’une contre l’autre, par Dieu, dans le dernier conflit universel de l’histoire terrestre. Le spectre d’une guerre nucléaire a toujours épouvanté l’humanité. Mais celle-ci, ayant écarté l’existence de Dieu de sa réflexion, fonde son espérance sur la sagesse humaine. On sait que l’usage de l’arme nucléaire détruirait les humains, y compris ceux qui l’utiliseraient. Aussi on se console en se disant que personne n’est assez fou pour s’en servir. C’est là que l’être humain, sans Dieu, se trompe. Car l’humanité est, inconsciemment, engagée dans un projet et un processus divin. Sa fin est aussi certaine que son commencement. Elle n’a été créée que pour apporter une démonstration, multidimensionnelle, depuis seulement, « six mille ans ». Le pouvoir créateur de Dieu est instantané. Les théories, lancées par les scientifiques, n’ont aucune valeur face à ce paramètre qu’ils ne reconnaissent pas. Aussi, leur surprise sera-t-elle énorme, quand Dieu les ramènera à la vie, afin qu’ils constatent leur erreur d’appréciation. C’est inscrit dans son projet, pour le jugement dernier. Mais avant cela, ils doivent mourir, tués par les armes que leur génie destructeur leur a fait construire.

Bien que terriblement destructrice, la guerre nucléaire n’anéantit pas, immédiatement, l’humanité entière. Il y aura des survivants que Dieu désigne comme, incapables de se repentir de leurs péchés. Cette situation les condamne donc à l’anéantissement, mais avant cela, ils devront vivre encore, une dernière épreuve programmée par Dieu. Leur méchanceté doit être utilisée pour révéler la fidélité de ses vrais élus. Pour peu de temps, réunis sous un gouvernement universel, les rebelles survivants formeront « une image à la bête » soit, un régime intolérant regroupant les pouvoirs civils et religieux. Désireux de ne pas reproduire la situation des « sœurs ennemies », qui ont conduit l’humanité au génocide planétaire, une même loi et une même religion seront imposées par le vainqueur, la puissance américaine. La foi sera chrétienne dans sa forme œcuménique actuelle, acceptée par les protestants et les catholiques. Leur soutien, au repos du premier jour de la semaine divine, ex-jour du soleil païen que Rome a renommé, « jour du Seigneur » soit, en français, « dimanche », sera environ dix-sept siècles après Constantin, de nouveau légitimé et imposé. Cette dernière imposition, religieuse, viendra confirmer et succéder aux six châtiments qui ont frappé ce péché entre 321 et, environ, 2017. La cible de cette dernière mesure est le respect, des vrais saints, au repos du septième jour sanctifié par Dieu. La loi dominicale étant activée, les récalcitrants sont exclus de la société, ils ne peuvent plus, ni acheter, ni vendre. Mais à partir de ce moment, les méchants sont frappés, par Dieu, avec les sept derniers fléaux de sa colère qui ressemblent à ceux qui frappèrent l’Egypte, qui avait mis, elle-aussi, les enfants d’Israël en esclavage. Cette fois, le but, de Dieu, n’est plus de soumettre le camp des méchants qui sont devenus, irréversiblement, incapables de se plier à Sa volonté qu’ils combattent, étant convaincus de l’honorer. L’exaspération et les souffrances subies atteignant leur limite, les méchants, encouragés par les démons, dans des relations spirites, décident d’exterminer les récalcitrants, auxquels ils imputent la responsabilité des fléaux qui les frappent. Un décret de mort est promulgué pour une date. Au jour concerné, pour l’exécution des saints de Dieu, la situation se renverse. Jésus-Christ apparaît dans sa divine puissance terrorisant ceux qui allaient tuer ses serviteurs fidèles. Ils disent alors « aux montagnes et aux rochers : tombez sur nous  et cachez nous de la colère de Dieu et de l’agneau qui est assis sur son trône, car le grand jour de sa colère est venu et qui peut résister ? ». La réponse, à cette question, est donnée dans la continuité du texte d’Apocalypse où Dieu présente le thème de la sanctification de ses élus. Elle passe par la restauration de ses vérités déformées par la foi catholique romaine. Accompagné, de l’amour de la vérité, révélée par les textes prophétiques de la Bible, le repos du sabbat du septième jour est le signe extérieur, qui marque la mise à part de ses fidèles serviteurs ; ceux, pour qui, il interviendra, quand ils seront menacés de mort, aux dernières heures de l’histoire, du péché et du salut terrestres.

Dieu l’a clairement annoncé dans la Bible, au moment du retour glorieux de Jésus-Christ, les méchants s’entretueront, les saints morts seront ressuscités et, les saints restés vivants, seront transformés, tous recevant un corps céleste comme celui des anges ; ces créatures invisibles cachées pour les yeux humains, comme Dieu lui-même.

La suite de l’histoire aura lieu dans le ciel, dans une dimension céleste, où se tient le royaume de Jésus qui a préparé une place pour ses élus. Pendant « mille ans », temps du septième millénaire prophétisé par le repos sanctifié du septième jour, les saints élus jugeront avec Jésus les méchants morts. L’exécution des condamnés se fera sur la terre, où ils seront à leur tour, ressuscités. La seconde mort de l’étang de feu les consumera en un temps proportionnel à leur culpabilité individuelle. Hommes et anges rebelles étant détruits, Dieu régénère la terre, purifiée par le feu, pour lui redonner l’aspect d’un jardin d’Eden où il installe son trône, pour diriger les multiples dimensions de ses créations où vivent ses créatures restées fidèles.

Les sept mille années, dévolues au règlement du péché engendré par l’offre de la liberté de choix, s’achèvent. Là, pour les élus, commence l’éternité. Plus de « sœurs ennemies », mais l’amour règne en maître dans les esprits restés vivants, dans le respect et l’harmonie des principes voulus par le grand Dieu Créateur.

Le chemin, de la vérité bénie, est ainsi, clairement, révélé et mis à la portée de tous les élus de Dieu. Car seuls les élus peuvent, par l’Esprit divin, l’identifier pour ce qu’Il est. Mais dans la confusion religieuse actuelle, pour beaucoup, la vérité n’est qu’une forme religieuse parmi tant d’autres. Le vrai et le faux sont unis dans cette confusion. Il en est ainsi au sujet des martyrs.

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VRAIS et FAUX MARTYRS

Celui qui, pour certains, est un héros, est par d’autres, considéré comme un fanatique. La différence vient de notre jugement personnel, strictement, individuel. Il en est ainsi pour la qualification des martyrs, mais cette fois, c’est le jugement de Dieu qui va, seul, compter.

En grec, le mot « martus » signifie : témoin. Nous savons qu’il existe des vrais et des faux témoins.

Ceux, que la Bible nous présente, étaient des vrais témoins pour Dieu et sa cause en Jésus-Christ. Leur authenticité reposait sur leur obéissance qui les plaçait dans la norme de sa sainteté exigée. En acceptant la mort, ils répondaient aux conditions fixées par Jésus-Christ : « si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive ». Ce renoncement avait, pour l’appelé, le but de se soumettre à la loi divine et d’être prêt, à finir sa vie en martyr, en élu, si telle était la volonté de Dieu.

Ainsi le vrai martyr vit dans l’obéissance de Dieu, tandis que le faux vit dans le péché. Il va de soi que la mort de l’un et l’autre n’a pas la même valeur pour Dieu. Le premier est un martyr ; le second est un pécheur tué ou suicidé. Les vrais martyrs ont Dieu avec eux et, en prime, la récompense de la vie éternelle, en espérance. Les faux sont poussés au suicide, ou tués, par le diable et ils n’auront jamais part à l’éternité.

Les êtres humains peuvent sacrifier leur vie pour n’importe quelle cause profane ou religieuse. Il suffit que le diable les y incite. Dans les engagements politiques des hommes et des femmes meurent, en martyrs, pour leur cause idéologique. Dieu n’en est pas, pour autant, glorifié.

Les vrais martyrs apparaissent dans les temps des persécutions religieuses. Au début du christianisme, ils sont persécutés par la Rome impériale païenne et à l’époque de la Réforme protestante, par la Rome papale catholique, toute aussi païenne, pour Dieu, en dépit des apparences. Les autres morts religieux sont, simplement, les victimes de l’ignorance et de la désapprobation de Dieu en Jésus-Christ. Ce ne sont que des pécheurs qui meurent, inutilement, en aveugles, dans une trompeuse espérance.

La Bible nous présente « Jésus-Christ crucifié » comme étant l’aboutissement du plan de salut offert aux hommes par Dieu. Hors de cette vérité de base, il n’y a que du paganisme aux formes multiples. C’est déjà à ce niveau que les revendications des « trois sœurs ennemies » sont illégitimes. Je résume leur caractéristique individuelle qui les rend ainsi :

1-      Le judaïsme ne reconnaît pas Jésus-Christ. Il ne donne aucune valeur aux Ecritures chrétiennes de la nouvelle alliance.

2-      Le catholicisme détruit la valeur du sacrifice de Jésus-Christ en imposant des normes humaines pour l’expiation des péchés. Il enseigne la pratique des formes religieuses héritées de son paganisme originel. Il détourne ses fidèles des enseignements de l’ancienne alliance, de la sainte Bible, pour les diriger vers son « Missel », son livre de messes.

3-      L’islam ne reconnaît pas le sacrifice et la mort volontaires offerts par Jésus-Christ. Sa reconnaissance de l’existence de Jésus comme prophète est donc sans valeur pour Dieu. Il ne s’appuie pas sur la sainte Bible, mais sur son « Coran ». En citant, les noms d’Abraham et de Moïse, mais aussi de Joseph et Marie, le Coran se donne une légitimité comme « écrit » inspiré par Dieu. Mais ses contradictions avec les récits originaux de la sainte Bible démontent ses prétentions.

« Les trois sœurs ennemies » ont dans la sainte Bible, entière, elle-même, leur accusateur divin. C’est pourquoi, dans sa révélation nommée « Apocalypse », Dieu lui donne, l’image symbolique, de ses « deux témoins », qui sont donc, les Ecrits bibliques de l’ancienne et de la nouvelle alliance. Les autres livres, dits religieux, sont, en conséquence, désignés comme n’ayant aucune valeur, parce qu’ils n’enseignent pas le chemin de la vérité qui conduit à la vie éternelle. Jésus pouvait bien résumer le sens de sa venue sur la terre en ces termes : « Je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi ». Le tout est de le croire.

L’appui, sur les deux alliances divines, constitue donc, le critère qui sanctifie les vrais serviteurs de Dieu ; ce que confirme Apocalypse 14 :12 : « C’est ici la persévérance (ou littéralement : patience) des saints qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus ». Il s’agit bien d’une imitation de la foi de Jésus-Christ et nom d’une foi qui croit à son existence. Et afin de mieux distinguer entre ces deux conceptions religieuses, un autre passage nous dit : « … à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui retiennent le témoignage de Jésus » (Ap 12 : 17). Ce témoignage est défini comme étant : « l’esprit de la prophétie ». Avec de tels poteaux indicateurs, comment se perdre en route ?  Très simplement : en n’en tenant pas compte.

La sainte Bible est le Livre des livres, celui que toutes les créatures humaines ont le devoir de lire, du début, jusqu’à sa fin. Par elle, revisitez l’histoire de l’humanité, vue sous le prisme de la prophétie biblique et, comme moi, vous saurez, alors, d’où vous venez et vers quel destin terrestre, mais aussi, céleste, vous allez, en fonction du libre choix qui vous a été donné, pour construire, vous-mêmes, votre avenir.

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