La Révélation de la Septième Heure
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Dans la série
Lumières Nouvelles Exclusives - Lumières Nouvelles Exclusives
(Ce que l’oreille n’a jamais entendu)
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Les ombres et la réalité
Parce qu’elles furent enseignées et instituées par Dieu lui-même, ces « ombres » n’étaient pas pour autant des « ténèbres ». Pourtant, avec l’avancement du temps et suite à la première venue du Messie, Jésus, elles ont pris un caractère réellement ténébreux. Je parle ici, des rites sacerdotaux juifs que, sous l’inspiration de Dieu, l’apôtre Paul nomme « ombres ». Quelle belle image pour enseigner leur caractère provisoire et passager !
Le problème « ténèbres » apparaît, lorsque ce qui est provisoire est, injustement, reconduit et prolongé.
Quand cette prolongation est due aux juifs qui ne reconnaissent pas en Jésus leur messie, cette démarche reste logique, sauf que … les rites se pratiquaient dans un temple qui fut détruit, en 70 de notre ère, par les armées romaines. Sur quelles bases se construit donc aujourd’hui leur relation avec Dieu ? L’illusion de l’héritage religieux transmis par la tradition.
Après les juifs, les « ténèbres » se sont abattues sur la foi chrétienne. Et le comble apparaît : la foi chrétienne reconstruit les « ombres », sensées disparaître, après la mort expiatoire du Messie.
Les rites religieux, sacerdotaux chrétiens, constituent la preuve la plus flagrante de l’enténèbrement de la doctrine catholique romaine, mais aussi, de la forme orientale de la foi orthodoxe. Seule la foi protestante ne tombe pas dans ce piège là ; elle est cependant tombée dans le piège de la désobéissance, également, comme les deux autres par la suite.
Primitivement, l’Eglise, ou l’assemblée des candidats souhaitant remporter la victoire de la vocation céleste, était et doit rester entièrement libre. Elle doit être libérée de tous les rites devenus caduques, par la mort de Jésus-Christ. Dans l’Elue, du commencement, il n’y a pas de clergé, mais une organisation intelligente de la répartition des tâches. En Jésus-Christ, chaque appelé a la possibilité de s’adresser à Dieu directement et si la qualité, de son âme, est au niveau exigé par Sa justice, le serviteur est écouté et entendu par son céleste Père.
L’Elue du début est caractérisée par l’absence d’un chef terrestre. Conformément à l’enseignement de l’Esprit, donné aux écrivains de la nouvelle alliance, l’Elue n’a qu’un seul Chef, c’est Jésus-Christ lui-même (Eph.5:23). Le fait d’avoir revêtu sa totale divinité depuis sa résurrection ne l’a, en rien, affaibli mais au contraire, renforcé en efficacité universelle. Je sais qu’il est difficile de concevoir un esprit capable de contrôler les pensées et les actions de milliards de créatures mais, c’est le cas et la caractéristique du Dieu tout-puissant, omniscient et omniprésent.
Partout sur la terre, la religion autoritaire apparaît pour masquer la déficience spirituelle. Faute de contact étroit avec Dieu, l’organisation impose son ordre et ses normes ; toutes choses inspirées par le diable. A force de nommer les « deux témoins » scripturaires de Dieu, « ancien et nouveau testament », l’humanité finit par croire que Dieu est mort. En conséquence, chacun se met à faire ce qu’il veut, comme au temps des « juges », avant les rois d’Israël. Aussi, également, comme à cette époque, la nôtre est secouée par des vents de guerres et des massacres, qui viennent exprimer la limite de la patience de Dieu envers les hommes, pécheurs, arrogants ou indifférents, voire méprisants.
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Le sacrifice continuel ou perpétuel
Les rites religieux ont, tous, une signification précise dont la compréhension est nécessaire pour admettre leur caractère provisoire. Ainsi, par exemple, le sacrifice et l’offrande, offerts chaque matin et chaque soir, de façon continue, ont pour but d’entretenir la pensée humaine vers le futur sacrifice du Messie, annoncé par les Ecritures, de multiples manières, en nombreuses citations. Le sacrifice ressemble à celui qu’offrit, en son temps, Abraham, lorsqu’un jeune bélier vint remplacer son fils unique, Isaac.
Le cérémoniel était court et répétitif. Jusqu’au jour où Jésus vient offrir sa vie sur la croix, pour racheter ses élus. Chacun est libre de croire qu’il est de leur nombre, mais ne l’oubliez pas, c’est Jésus lui-même qui sélectionne ses élus. Par sa mort, Il instaure le principe de la grâce et, de même que le sacrifice était nommé « perpétuel ou continuel », la grâce instaurée, obtenue, porte également ce caractère « perpétuel ». Le but du sacrifice du matin était de placer, l’homme pécheur, sous le regard bienveillant de Dieu, pour toute la journée ouverte devant lui. De même que la grâce s’applique pendant toute la journée consciente de l’élu. Le soir, à la tombée de la nuit, un autre sacrifice était offert à Dieu. Cette fois, c’était la nuit entière qui était mise sous la garde de Dieu. Ainsi, comme son « ombre » rituelle, la « grâce », obtenue par le sacrifice, reste continuellement active et efficace. L’élu reste, de manière permanente, sous la garde protectrice du Dieu créateur qui ne dort ni ne sommeille. Un élu, c’est un être humain qui vit à la fois sur terre et dans le ciel. Sur terre, bien des choses attirent l’attention de l’homme et ceci, de manière légitime. Mais dans toutes nos activités, aussi prenantes soient-elles, il est possible de garder en nous la pensée de Dieu. C’est la forme idéale de la prière.
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Au sujet de la prière
Au cours du temps, la conception de la prière évolue dans le sens du raccourcissement. Jésus nous dit : « ne multipliez pas les vaines redites ». Dans le genre, il évoque, dans Matthieu 7:22, des hommes qui l’appellent « Seigneur, Seigneur », auxquels il dira : « Je ne vous ai jamais connus » (Matt.7:23). Rien qu’au niveau de son nom, « Seigneur », apparaît cette redite. Aussi, dans un zèle diabolique aveugle, le possédé va-t-il, également, multiplier ses demandes, oubliant que Dieu n’est pas sourd et, capable de comprendre, dès la première fois et, même, avant, que la demande soit formulée.
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La prière de Jésus
Notre Seigneur a repris ses apôtres sur leur manière de prier, car les redites caractérisaient toutes les religions à leur époque. Chez les païens, comme chez les juifs, les prières étaient multipliées. Le plus bel exemple de l’outrance, qui peut être atteinte dans ce domaine, est dans le bouddhisme où, les paroles sont remplacées, par le bruit des moulins à prières.
Jésus a donc présenté une prière très courte qui exprime l’essentiel. Mais cet enseignement visait à satisfaire un besoin de ses contemporains, pour lesquels, la relation avec Dieu passait, principalement, par le clergé de l’époque. Personne n’avait enseigné qu’une relation directe avec Dieu était possible, pour tous, avant que Jésus vienne le dire. Et de plus, ceux qui pensaient la chose possible étaient très loin d’imaginer que Dieu les recevraient, uniquement, sous des conditions étroites et précises. Ainsi, Job, lui-même, que Dieu juge « intègre et droit », ignorait son besoin de la justice de Jésus-Christ qui, seul, pouvait le laver du péché originel imputé, de génération en génération, aux descendants d’Adam et Eve.
Mais tout au long de l’histoire humaine, les élus de Dieu n’ont pas attendu que Jésus vienne pour comprendre et ressentir le besoin de parler, directement, à leur Créateur. En son temps, lit-on, « Daniel priait trois fois par jour ». Entre ces temps de prières soit, de communion avec Dieu par la pensée, Daniel se livrait à ses occupations terrestres le matin et l’après-midi. Aussi absorbantes que puissent être les occupations professionnelles, le lien et la pensée de l’élu peuvent rester tournés vers Dieu. Cette idée va sans doute être considérée comme une forme de foi mystique exagérée. A ceux qui pensent ainsi, je rappelle, simplement, le premier et le plus grand des deux commandements cités par Jésus : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ta force, de toute ton âme et de toute ta pensée ». On peut alors le comprendre ; dans ces conditions, l’âme de l’élu reste en communion permanente avec l’Esprit de son Dieu. La prière est alors exprimée, non par des mots, mais par une relation constante. C’est seulement à ce niveau spirituel que le mot religion revêt son sens. En latin « religare » signifie : relier. Contrairement à l’interprétation générale, le but de la religion n’est pas de relier les hommes entre eux, mais de relier la créature à son Créateur. Or, sans Jésus, cette relation est impossible à cause de la nature pécheresse de l’homme.
Paul révèle un aspect de la prière qui, se passant des mots, s’exprime par des « soupirs » (Ro.8 :26). Il y a, en effet, plus d’intensité d’amour dans ces soupirs, sans paroles, que dans le flot des vaines redites.
Jésus n’a-t-il pas dit que notre Père connaît nos besoins avant qu’on les formule ? Dans ce cas, à quoi sert-il de les exprimer ? Progressivement, Jésus nous conduit vers ce qu’il convient d’appeler : la vraie foi, c'est-à-dire : la parfaite confiance que nous plaçons dans l’amour et la fidélité de notre Dieu invisible, mais pas insensible. La véritable prière est donc une relation authentique avec Dieu. Mais obtenir une relation authentique avec Lui ne se réalise que sous Ses conditions.
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La connaissance de Dieu
« La vie éternelle c’est qu’il te connaisse, toi le seul vrai Dieu et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ». Il ne s’agit pas d’une connaissance intellectuelle, du genre : « je sais qu’Il existe ». La connaissance, évoquée par l’Esprit, concerne les leçons tirées de notre lecture de la sainte Bible, ancienne et nouvelle alliance. Dans la Bible, nous recevons le témoignage des expériences vécues par des hommes mis en relation avec Dieu. Nous trouvons, également, les réactions et les jugements qu’Il révèle, par la bouche de ses prophètes. Cet ensemble de choses nous fait découvrir ce qui lui est agréable ou pas, ce qu’il justifie et ce qu’il condamne. Ainsi, chacun peut, selon son désir de lui plaire ou de lui déplaire, offrir à Dieu ce qu’il aime ou ce qu’il n’aime pas.
Personne ne peut tromper Dieu, cependant, des multitudes se trompent sur elles-mêmes, ignorant les avertissements et les mises en garde inspirés à juste raison.
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L’ombre des prières
Dans le rituel hébreu, les « prières » étaient symbolisées par la « fumée » odorante des « parfums » offerts sur « l’autel des parfums », lui-même situé, devant le voile, derrière lequel Dieu était censé être en écoute. En réponse à la « grâce », obtenue par « le sacrifice continuel » ou « perpétuel » accompli en Jésus, le pécheur pardonné peut, en son nom, présenter à Dieu ses demandes et selon leur nature, être exaucé ou pas. L’explication du rituel est révélée dans Ap.8:5 où l’Esprit sépare les « parfums » des « prières » elles-mêmes. Pour qu’il soit, pour Dieu, d’agréable odeur, le parfum requiert une perfection qu’aucun homme pécheur ne peut présenter. On doit alors le comprendre, le parfum, répandu sur l’autel, représentait l’odeur agréable de la vie parfaite de Jésus, offerte en sacrifice. Ainsi, « les prières » des élus montent, vers Dieu, portées par la « fumée » odorante de la perfection du Christ. C’est sous cette condition que nous devons comprendre Ap.5:8 où les saints élus, rachetés par le sang de Jésus, transformés par Lui à son image et devenus ainsi obéissants, sont présentés tenant « des coupes d’or remplies de parfums, qui sont les prières des saints ». Dans le rituel hébreu, tous les ustensiles utilisés au service de Dieu étaient d’or battu, très pur. Les rachetés, élus en Christ, sont ainsi reconnus, par Dieu, comme ses authentiques serviteurs parce qu’ils se sont laissés reconstruire à l’image de Dieu, révélée en Jésus-Christ. La coupe d’or étant symbolique du service pour Dieu, Ap.17:4 présente « la femme, Babylone la grande, tenant », également, « une coupe d’or », symbole de sa prétention à servir Dieu, mais à la place du parfum trouvé dans les coupes des vrais serviteurs, la sienne est « remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution ».
Jésus ayant accompli « les ombres » de l’intercession, celles-ci devaient disparaître. Et c’est bien ainsi que l’Elue du commencement le comprenait. Mais l’apostasie catholique romaine a voulu restaurer ce rituel hérité des hébreux. Bien en vain, c’est certain, mais ces actions, que Dieu nomme « enchantements », dans Ap.18:23, n’en trompent pas moins des multitudes, qui ne voient dans ces pratiques, qu’une légitime continuité. Le faste des cérémonies religieuses a toujours séduit les foules, dans tous les temps et de plus, le diable n’a fait que reproduire le modèle que Dieu avait instauré. C’est là que l’enfant de Dieu, l’élu, se distingue des autres hommes, en comprenant quand l’action est légitime et quand elle ne l’est plus. C’est l’idée même du passage de « l’ombre à la réalité ». Il reste à réaliser qu’il n’existe pas d’ombre là où il n’y a pas la lumière. Lorsque le soleil se cache, l’ombre des choses disparaît également. Ainsi, c’est bien la lumière qui permet, à l’œil humain, de rattacher la forme de l’ombre à la forme de sa réalité. Dans sa création du système terrestre, Dieu a créé le soleil pour nous faire comprendre que, sans sa lumière, nous ne pouvons qu’errer dans les ténèbres. Aujourd’hui, sans son Esprit de vérité et d’intelligence dans la plénitude de la sagesse, je serai incapable de comprendre les subtiles allusions que Dieu a faites et continue de faire, de multiples manières. Mais à la base de tout, se tient le mot prophétie. Elle se trouve partout dans notre création dont chaque élément, par son caractère propre, devient porteur d’un symbole utilisé prophétiquement. Ainsi, le récit de la création, bien qu’ayant été réalisé, littéralement, comme Dieu l’a révélé, porte un message prophétique dans tous ses détails. L’ordre donné au temps soit, « ténèbres, lumière » ou « soir, matin », confirme le projet divin de faire avancer l’homme dans l’ombre, dans l’attente de la réalité. Après la création, en leur temps, les hébreux ont reçu de Dieu ses lois, ses rites et ses préceptes. Toutes ces choses ont un rôle prophétique. Aussi, lorsque Jésus s’est présenté au peuple juif, Dieu seul, pouvait le faire reconnaître comme la réalité attendue. Jésus a confirmé mes propos d’aujourd’hui quand il a dit à Pierre : « Tu es heureux fils de Jonas, car ce n’est, ni la chair ni le sang, qui t’ont révélé cela, mais c’est mon Père qui est dans les cieux », après que celui-ci lui ait dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu-vivant ». C’est certain ; être éclairé par l’Esprit de Dieu fait d’un homme, un « bienheureux » racheté. Car la perfection est encore très éloignée, comme en témoignent les œuvres de l’apôtre, qui va connaître le doute et l’amère déception. Si on y ajoute l’hypocrisie que lui impute Paul, le portrait est loin d’être idéal. Cependant, il est resté fidèle au Seigneur jusqu’au martyre, acceptant de perdre sa vie pour Lui. Ressembler à Jésus-Christ est pour tous l’œuvre de toute une vie.
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Le sabbat, « ombre » du septième millénaire
Il est une « ombre » dont il me tarde de voir la forme de sa réalité. Je parle ici, de la pratique du sabbat, ce repos hebdomadaire que Dieu a rattaché au « septième jour » de la semaine dont il est l’Auteur et l’Organisateur. Ce « septième jour » trouvera sa réalité, quand l’humanité entrera dans son septième millénaire, aujourd’hui imminent. Ce sera, pour les élus rachetés par le sang de Jésus, l’heure de leur délivrance ; la fin de leur lutte contre le péché soit, le vrai repos. Dieu, également, partagera ce repos car, dès cet instant, sa lutte contre le diable cessera. Son ennemi, enfin vaincu et terrassé, entrera dans l’attente de son anéantissement prévu pour le jour du jugement dernier.
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- Fin du message -
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