La Révélation de la Septième Heure
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Lumières Nouvelles Exclusives - Lumières Nouvelles Exclusives
(Ce que l’oreille n’a jamais entendu)
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La Bible – sa bonne lecture
La Bible, cette sainte parole divine écrite, présente un aspect volumineux et les livres écrits par les prophètes ont un caractère confus qui a permis à certains de dire, à juste raison, qu’il est possible de lui faire dire ce que chacun souhaite entendre. Il va de soi, que ce n’est pas là le but recherché par le grand Dieu vivant dont l’Esprit est l’inspirateur suprême de ces écrits. Nous allons voir qu’en fait, le Maître de l’intelligence a programmé la Bible pour deux types de lectures extrêmement opposées, puisqu’elles qu’elles sont réservées, aux faux et aux vrais serviteurs, autant séparés dans son jugement que la nuit et le jour. Jésus-Christ a prophétisé au sujet de ses faux serviteurs dont la lumière ne serait que ténèbres. Mais il nous a laissé également une clé pour comprendre ce qui caractériserait, jusqu’à la fin du monde, ses vrais élus. S’adressant au Père il a dit : « ... je savais que tu m’exauces toujours ... » Jean 11:42 et aussi : « je fais toujours ce qui lui est agréable ... » Jean 8:29. Or, ce qui est agréable à notre suprême Père céleste, tout comme aux pères terrestres, c’est l’obéissance d’un cœur aimant, affectueux et reconnaissant.
Il se trouve, qu’après avoir supporté la transgression de son quatrième commandement, depuis l’année 321 où l’empereur païen romain Constantin 1er a fait adopter, dans l’empire, le premier jour consacré à l’adoration du dieu « soleil invaincu » ( en latin : sol invinctus), ceci avec une patience toute divine, le grand Dieu Créateur a fixé, par décret, une date à partir de laquelle l’obéissance au sabbat transgressé serait exigée par lui (Sabbat = samedi, le vrai septième jour historiquement et bibliquement). Cette date correspond au terme des « 2300 soir-matin » cités dans Daniel 8:14. L’intérêt de la date obtenue soit, 1844, est qu’elle occulte l’action de l’œuvre de la réforme protestante du 16ème siècle. Ainsi, Daniel, dont le nom signifie « mon juge est Dieu », a reçu pour nous, de la part de Dieu, son jugement sur le développement de l’histoire de son alliance avec les hommes ; une alliance passée avec son « Israël » perpétuel auquel il prépare l’entrée dans l’éternité.
Mais qui est cet Israël béni de Dieu ? Il a débuté après l’alliance avec le père de la foi, Abraham. Sur la terre, il s’est concrétisé, dans un premier temps, d’une manière nationale avec la constitution du peuple hébreu sorti d’Egypte, arraché à son esclavage par l’action directe du Dieu Tout-Puissant. Suffisait-il d’appartenir à ce peuple pour avoir droit au salut ? Les récits relatant son exode montrent qu’il n’en est rien, parce que déjà, dès ce commencement, le droit à la bénédiction dépendait de la nature et du caractère de chaque être humain. Nombreux sont les rebelles frappés par la mort dès ce début de l’alliance et dans la suite du temps (voir Nombres 26:65). Aujourd’hui encore, l’Israël spirituel, préparé pour le salut éternel obtenu par le sacrifice volontaire de Jésus-Christ crucifié et ressuscité, est composé d’êtres anonymes uniquement identifiés par Dieu. Ils ont en commun, comme Jésus-Christ avant eux, de faire ce qui lui est agréable.
A première vue, la Bible est aussi confuse pour un vrai que pour un faux serviteur de Jésus. Mais le rôle du Saint-Esprit, reçu dans un authentique baptême en Jésus-Christ, consiste à intervenir pour conduire l’élu dans la vérité, telle que Dieu lui-même la conçoit. Le Saint-Esprit, le Consolateur, le vrai, l’authentique, a préparé le moyen de conduire ses élus dans toute sa vérité. Jésus n’a pas fait une fausse promesse. Mais le besoin de cet élu n’est pas la liberté si recherchée et si appréciée par l’humanité païenne ou agnostique. Il a au contraire besoin d’être tenu, conduit et guidé comme un aveugle qui doit s’abandonner avec confiance entre les mains de celui qui le guide. Lorsqu’il est apprécié et recherché dans l’obéissance motivée par la crainte ou par l’amour, le guide céleste se présente et entre en action. C’est dans cette démarche, que l’Esprit m’a conduit à m’intéresser de plus en plus profondément au livre mystérieux qui clôt la Bible : Apocalypse, ce nom mystérieux nous cache le plus important, car sa traduction est : « Révélation ou dévoilement ». Je vais étonner beaucoup de gens en affirmant cette chose, mais au nom de l’expérience et de la maîtrise du sujet, j’affirme que sans cette Révélation, la Bible entière ne peut profiter qu’à ceux qui vont perdre la vie éternelle qu’ils convoitent, dans le meilleur des cas.
Pour mieux comprendre, j’explique le principe qui caractérise la Bible. Nous y trouvons des récits, authentiques témoignages rapportés par des témoins oculaires. L’Ecriture ayant été rédigée par la main de Moïse sous la dictée de Dieu, les origines de la création nous sont révélées. Nous voyons également la construction du peuple appelé Israël, les lois et les ordonnances qu’il reçoit de Dieu, les rites sacrificiels qui préfigurent et prophétisent la mort de Jésus-Christ, qui offrira volontairement sa vie en expiation des péchés de ses seuls authentiques élus. Les autres, porteront eux-mêmes, la conséquence de leur péché dont le salaire est la mort (Rom.6:23). Puis à l’heure où l’Israël terrestre apostasie, atteignant ainsi le terme du temps que Dieu lui a donné pour accomplir sa démonstration universelle destinée à l’instruction de l’humanité, jusqu’à la fin du monde soit, au temps du prophète Esaie au 8ème siècle avant notre ère, Dieu inspire des prophètes. Cette inspiration n’est claire que pour Dieu lui-même, car elle se présente sous la forme d’une succession de « flashs » historiques. L’incompréhension de l’homme naturel pour ces textes est telle qu’il peut effectivement construire, à partir de ces multiples flashs, toutes les théories prophétiques qu’il peut vouloir construire. Elles pourront ressembler à la vérité programmée par Dieu, s’approcher très près de sa vision de l’avenir, mais n’en seront pas moins fausses et trompeuses. La vérité divine est dans le détail et on peut comprendre alors la valeur du mot « toute » dans la formule prononcée par Jésus à propos du Consolateur : « Il vous conduira dans toute la vérité » (Jean 16:13). Qu’il soit un peu à côté de cette vérité et l’appelé ne sera jamais un élu. Le chemin tracé par Dieu est à son image, caractérisé par l’absolu.
Où trouver cet absolu qui nous permettra de faire une bonne interprétation des multiples « flashs » prophétiques présentés dans la confusion ? La réponse a été apportée à l’apôtre Jean par l’Esprit de Jésus-Christ, le Roi des rois et Seigneur des seigneurs, à la fin du premier siècle de notre ère. Elle est venue sous la forme du livre Apocalypse, sa divine « Révélation » incontournable, indispensable soit, vitale pour le salut des élus. L’histoire en témoigne, ce livre n’a pas été d’une grande utilité dans les époques de l’intolérance religieuse papale catholique romaine soit, entre 538 et 1798, dates qui couvrent la période prophétisée sous les diverses formes : « un temps des temps et la moitié d’un temps, quarante-deux mois, mille deux-cent soixante jours » apparaissant dans Daniel 7:25, Apocalypse 1:2-3 ; 12 :6-14 et 13:5. Dans le temps de l’intolérance ouverte, les élus n’avaient aucune difficulté pour identifier les œuvres du diable. Mais ce temps n’est plus, car ayant perdu son soutien monarchique détruit par la Révolution française entre 1789 et 1798, la fausse religion diabolique se développe maintenant en toute liberté dans la paix religieuse. Sans la révélation du jugement de Dieu, l’homme est pris au piège de ses bons sentiments humanistes. Qu’y a t’il en effet de plus beau, pour l’homme normal, que la paix universelle établie entre les peuples de la terre dans leur différentes conceptions religieuses ? Pour encore un peu de temps nous assistons, en 2015, à une entente universelle, l’agnostique s’entend avec le faux religieux, ensemble ils organisent leur modèle de société humaniste. Mais qui est frustré par cette entente ? Le Tout-Puissant Dieu Créateur de toute vie et toute chose. Ses lois et ses principes sont continuellement méprisés, bafoués et renversés. Chaque peuple s’est construit sa propre version de la religion qui offre le salut de l’âme. La majorité totalement incrédule conteste la réalité d’un Dieu Esprit. Dieu, le Vivant, peut-il longtemps supporter cette situation ? L’expérience humaine, révélée dans des prophéties confirmées par l’histoire, montre que sa patience divine est toujours limitée et que vient le temps de sa vengeance, aujourd’hui imminente. Dans un aveuglement total, les autorités du monde occidental légifèrent et légitiment ce que Dieu tient pour abominable, touchant aux droits de l’homme, sa créature. Ce sont là les signes montrant l’imminence du châtiment divin ; la limite du supportable pour Dieu étant atteinte : «Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume !» (Esaïe 5:20)
En entrant dans la foi chrétienne, l’homme croit être entré dans la révélation divine. Pourtant, sans la lumière de la Révélation, ou Apocalypse, les récits bibliques vont devenir des pièges utilisés habilement par Satan. Cette situation des derniers jours est révélée subtilement par l’Esprit du Christ dans Ap.9:11. La fausse religion, appelée protestante, au nom d’un héritage religieux du 16ème siècle, est évoquée comme placée sous la domination d’un roi nommé « ange de l’abîme » qui est appelé destructeur soit, « Abbadon et Apollyon », « en hébreu et en grec », les deux langues dans lesquelles les livres des deux alliances sont rédigées formant ensemble la sainte Bible. Ainsi, le temps de la liberté religieuse est employé par le diable à tromper les hommes à partir de leur mauvaise lecture de la Bible elle-même. Au titre de destructeur, il s’emploie à détruire l’œuvre de salut proposé par Jésus-Christ, offrant à chacun, ce qu’il souhaite entendre pour mieux le perdre. Nous sommes, en fait, dans le temps et les circonstances annoncés par l’apôtre Paul à son jeune compagnon Timothée ; ce temps où «... les hommes ne supporteront pas la saine doctrine de la vérité ; mais, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l'oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables » (2 Timothée 4:3-4). Ce que Paul appelle la saine doctrine de la vérité, c’est « l’évangile éternel », dans sa conception originelle, tel qu’il fut enseigné par Jésus-Christ et ses apôtres. Le faux christianisme justifie aujourd’hui le péché que l’évangile éternel condamne. L’élu des derniers jours doit se référer, en matière de foi, à cette seule conception de l’évangile éternel. Jusqu’à la fin du monde, le salaire du péché sera la mort. L’élu doit donc se dégager de la situation de pécheur, l’Esprit lui indique le chemin sur lequel il doit avancer. Aussi, en parfaite harmonie, les prophéties de Daniel et Apocalypse se conjuguent et se construisent pour révéler aux élus le juste jugement et le programme préparés par Dieu. Dans ces révélations prophétiques l’élu découvre l’ordre dans lequel les grands événements prophétisés vont se succéder. C’est là, l’apport vital de ces révélations. Avec la connaissance de ces données, les flashs présentés dans la confusion, comme vu précédemment, vont pouvoir être rattachés au moment précis où ils doivent s’accomplir. La confusion disparaissant, la Bible peut être bien lue, bien comprise, parce que bien interprétée depuis Genèse jusqu’à Apocalypse.
En résumé, après la cérémonie du baptême toujours indispensable, l’appelé doit nourrir sa foi. Il doit rechercher ce qui est agréable au Dieu créateur qui précisément fonde sa gloire sur la pratique et le respect envers son quatrième commandement. Celui-ci concerne le repos sabbatique du véritable septième jour qui, établi à la création du monde, est dans notre calendrier romain païen actuel, le samedi. Depuis la création jusqu’au grand retour de Jésus-Christ six mille années se seront écoulées. C’est lors de cette intervention divine que le mot sabbat revêtira tout son sens. Car depuis l’origine de notre monde, le sabbat hebdomadaire n’a fait que mémoriser, pour les élus, le jour où la victoire divine, obtenue par le sacrifice de Jésus-Christ, leur permettra de jouir avec Dieu d’un vrai repos prolongé dans l’éternité. Il va de soi que pour obtenir ce repos, Dieu devra mettre un terme à la vie des pécheurs entrés en rébellion contre lui ; ce sera bientôt chose faite, encore un petit nombre d’années pour l’accomplissement des derniers événements prophétisés.
Ainsi, si dans chaque nation de la terre les hommes trouvent bon de célébrer, par des fêtes nationales, des hauts faits victorieux, pour nous, les élus de Dieu, nous trouvons juste et bon de célébrer, chaque sabbat, la victoire divine programmée dans les prophéties, victoire qui nous permettra d’entrer, par le sang de Jésus-Christ, dans son royaume céleste où, pour une durée provisoire de « mille ans », il nous a préparé une place. Notre sabbat glorifie un repos céleste éternel, il est donc bien au-dessus des fêtes humaines dont le temps est compté.
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Les fausses idées reçues
La bonne lecture de la Bible, celle qui résulte de l’action du céleste guide, me porte maintenant à dénoncer un certain nombre de fausses idées, reçues et totalement adoptées par des masses humaines inconscientes et ignorantes car, dominées par l’esprit de tradition.
En premier j’aborde la conception trompeuse entretenue d’un droit divin pour les monarques de notre terre.
Il est vrai que lorsque Israël voulut mettre fin à sa tutelle divine directe, blessé dans son amour, Dieu consentit à se retirer en plaçant son peuple entre les mains d’un roi. L’ingratitude du peuple était immense et il était prêt à supporter le pire de la part d’un roi terrestre, pour ne plus se sentir sous le contrôle direct de Dieu. La démarche était d’autant plus injustifiée que la domination d’un roi terrestre, visible, n’empêcherait pas le regard de Dieu sur les œuvres des hommes. La frustration de notre Créateur apparaît, alors, dans l’énormité des droits qu’il accorde au nouveau chef terrestre d’Israël. Méprisant leur privilège d’avoir l’unique Dieu créateur pour Roi, les Hébreux ont réclamé un roi comme les autres peuples de la terre. Dieu répond à leur demande en donnant à ce nouveau roi les droits que les peuples, sans Dieu, accordent à leur souverain. Faut-il en déduire que Dieu approuve le choix réalisé par les peuples païens, évidemment non. Par son choix, Israël fait une mauvaise affaire, les erreurs commises par ses rois auront de terribles conséquences pour l’ensemble du peuple à l’exemple de 2 Chroniques 12:1 : « Lorsque Roboam se fut affermi dans son royaume et qu'il eut acquis de la force, il abandonna la loi de l'Éternel, et tout Israël l'abandonna avec lui ». Ceci se prolongera jusqu’à l’apostasie finale qui conduira Dieu à détruire son peuple choisi et à déporter ses survivants à Babylone. De retour, en vue de l’accomplissement messianique, le peuple juif apostasiera encore jusqu’à rejeter son Messie suprême Jésus, faute qui le condamne de nouveau à une destruction nationale totale, frappé cette fois par les troupes romaines en 70 de notre ère.
S’il y a eu un droit divin pour les rois, celui-ci n’a concerné que les seuls rois établis sur Israël. Et à en juger par le verset qui suit, il ne l’a pas donné avec gaîté de cœur.
Osée 13:11 : « Je t'ai donné un roi dans ma colère, je te l'ôterai dans ma fureur ».
Ainsi Dieu n’est pas responsable de la méchanceté des peuples qui s’organisent sans lui. Et ceci concerne directement les multiples types de monarques qui sont apparus au cours du temps. Particulièrement, au cours de l’ère chrétienne et jusqu’à notre époque, des successions monarchiques ont caractérisé notre « vieux monde ». Jouissaient-elles du droit divin ? La réponse est dans une seconde question : ont-elles été instaurées par Dieu ? A la lumière de la parole prophétique révélée, aucune monarchie n’a jamais représenté ou incarné la cause du Dieu créateur. L’alliance des monarchies européennes avec le régime papal de Rome les placent dans le camp de ceux qu’il accuse de commettre un « adultère » spirituel contre lui dans Ap.2:22-23. Au point qu’il annonce, prophétiquement, leur « mort » qui s’accomplira, au titre de « grande tribulation », par l’action de la Révolution française au cours des deux périodes dites de « terreur », en 1793 et 1794. Ainsi, continuellement placée dans la malédiction du catholicisme papal romain, les différentes monarchies se sont essentiellement combattues pour des raisons sordides de recherche du pouvoir, de jalousie, tous fruits de leurs dominations diaboliques rendues particulièrement évidentes dans l’engagement forcené du roi Louis XIV, le « roi soleil », extrêmement zélé pour persécuter la foi réformée au profit du camp papal romain, précisément caractérisé par la malédiction de la pratique du « jour du soleil » instauré par l’empereur Constantin 1er en 321.
La clé de l’explication repose, encore, sur une déclaration de Jésus totalement ignorée par les monarques terrestres. Jésus a présenté le droit divin du roi en disant : « Alors il s'assit, appela les douze, et leur dit : si quelqu'un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous » (Marc 9:35). Il a même joint le geste à la parole en lavant, lui le Roi des rois, les pieds poussiéreux de ses disciples. Il est évident que les souverains terrestres n’ont pas entendu la leçon donnée par Jésus, ce qui les disqualifie de tout droit auprès de lui. Leur régime et leur autorité, ils les tiennent du « prince de ce monde », expression qui désignait, dans la bouche de Jésus, le diable, son mortel ennemi ; un monde dont il est l’organisateur et qui reflète toute sa méchante nature. Il est vital de comprendre, aujourd’hui, que les normes instaurées, par Jésus-Christ, conditionnent la bénédiction de l’élu. Or, avant d’être monarque le roi est un homme soit, un appelé du Dieu suprême qui ne fait pas d’exception pour aucune de ses créatures. C’est déjà sur notre terre, que l’Esprit entreprend la formation qui fera d’un appelé, un élu adapté pour les principes de la vie éternelle dans laquelle il entre, dès son baptême, s’il est reconnu par Dieu.
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