Pict-005.pngPict-006.pngLa Révélation de la Septième Heure

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Dans la série

Lumières Nouvelles Exclusives - Lumières Nouvelles Exclusives

(Ce que l’oreille n’a jamais entendu)

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« A celui qui gardera mes œuvres jusqu’à la fin, je donnerai autorité sur les nations … » Ap.2 : 24

LE NOM « BABYLONE » NOUS INTERPELLE

Jésus-Christ  avait bien dit à ses disciples et ses apôtres : « Demandez et l’on vous donnera » Matt. 7 : 7. Mais il avait aussi précisé  « vous n’obtenez pas parce que vous demandez mal… » Jac. 4 : 3. L’étude que je présente, ici, en apporte un bel exemple. Dans son message, Jésus suggérait l’idée que pour obtenir une bonne réponse il fallait poser la bonne question. C’est donc ce que nous allons faire à propos du nom « Babylone » que Jésus-Christ cite plusieurs fois dans son « apocalypse », sa sainte révélation donnée à Jean.

En ce temps de fin d’année 2013 où, par de grandes réjouissances, les sociétés occidentales ténébreuses humanistes et religieuses, ou pas, célèbrent sur un piédestal les mensonges établis par l’église catholique romaine, l’Esprit de vérité a fait luire, en mon âme, une idée concernant le nom « Babylone » à laquelle jusqu’à ce jour, je n’avais jamais pensé.

Cette idée est très simple et consiste en ceci : la seule évocation du nom « Babylone », dans le contexte de notre ère, constitue une preuve, indiscutable, de l’apostasie religieuse touchant la « foi chrétienne ».

Pour comprendre le sens de l’interpellation que Dieu nous adresse, par le moyen de la mise en scène de l’entité appelée « Babylone », nous devons retrouver dans le texte biblique et dans l’histoire tout ce qui la caractérise.

« Babylone » était, sous le règne du roi Nebucadnetsar, la capitale du peuple chaldéen ; une société monarchique païenne et totalement idolâtre. Elle était assise sur le fleuve Euphrate et se trouvait sur le lieu où la tour de Babel avait été construite par les premiers rebelles postdiluviens qui défiaient ainsi le Dieu créateur. En réponse, pour faire échouer leur tentative de rassemblement universel dirigé contre lui, Dieu a créé des langages différents. De plus, la Chaldée était le pays originaire d’Abraham. Répondant à l’ordre de Dieu, Abraham dut quitter sa terre natale, marquée par les cultes idolâtres, pour se rendre au pays que Dieu projetait de donner à sa postérité soit, le pays de Canaan. A l’époque de Daniel, « Babylone » était un sujet d’orgueil pour le roi Nebucadnetsar qui l’avait bâtie, selon Daniel 4 : 30 : «  le roi prit la parole et dit : n’est-ce pas ici Babylone la grande, que j’ai bâtie, comme résidence royale, par la puissance de ma force et pour la gloire de ma magnificence ? ».

En ce qui le concerne, pas encore converti à la religion du vrai Dieu, le roi Nebucadnetsar vivait, dans cet excès d’orgueil, les derniers jours de sa vie païenne. La leçon que Dieu allait lui donner, en l’abêtissant pendant sept années, allait porter du fruit pour la gloire du Dieu Très-Haut, qu’il finit par reconnaître pour ce qu’il est, le seul vrai Dieu. Mais ce choix individuel du roi n’est suivi, ni par ses sujets, ni par ses héritiers, aussi « Babylone » est restée le symbole du péché et de l’idolâtrie.

Le nom symbolique « Babylone », mis en scène dans l’ère chrétienne, va donc désigner une entité caractérisée par le péché et l’idolâtrie

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La sécurité des aveugles

La tranquillité d’une multitude de croyants chrétiens repose, uniquement, sur leur ignorance du jugement que Dieu porte sur eux et sur la foi chrétienne, en général, marquée par des changements au cours du temps. Ce n’est que par l’étude et la découverte des messages contenus dans la révélation prophétique de la sainte Bible, notamment Daniel et Apocalypse, que chacun peut prendre connaissance « du juste jugement divin » porté sur les différentes institutions chrétiennes et donc sur sa propre situation spirituelle individuelle.

Le récit de l’histoire du peuple hébreu choisi, par Dieu, pour en faire son peuple, a un but précis ; celui de présenter aux générations humaines, qui vont se succéder jusqu’à la fin du temps arrêté par Dieu, un modèle dont l’expérience entière doit servir de leçon et d’avertissement.

La leçon principale que je retiens de mon analyse de cette expérience juive est que sa mission, dans son rôle de modèle, s’est achevée en 586 avant notre ère par la destruction totale de la nation juive. Or cet événement est précédé par deux autres interventions du dominateur chaldéen qui conduit ainsi à « Babylone », sa capitale impériale, les réchappés du juste jugement de Dieu. Dans la première de ces déportations se trouvait Daniel qui allait devenir, dans ces circonstances, le prophète par lequel le Dieu Esprit a commencé à construire sa révélation prophétique messianique, si précieuse, qui révèle son jugement sur l’ancienne et la nouvelle alliance qui concerne, quant à elle, notre ère chrétienne. Avant Daniel, le prophète Jérémie avait, lui, prophétisé sur le rôle tout proche de la « Babylone » chaldéenne. Elle devait intervenir au titre de châtiment infligé par Dieu.

Je précise ici, que le retour du peuple juif de la déportation à Babylone se justifie uniquement par un second rôle que doit tenir ce peuple. Conformément à la promesse faite par Dieu à Abraham, « les nations de la terre seront bénies en ta postérité », le messie Jésus devait naître dans la postérité d’Abraham. Et la preuve de cette unique raison de subsister, jusque-là, est évidente puisqu’après avoir, nationalement, refusé de reconnaître, en Jésus, le « Messie » annoncé par les saintes Ecritures, la nation a été entièrement détruite par les troupes romaines en 70 de notre ère, comme l’Esprit l’a annoncé dans Daniel 9 : 26 ; ceci pour la deuxième fois de son existence.

Or le châtiment divin ne « frappe » que la culpabilité, sauf dans le cas révélé de Job, « frappé », avec l’accord de Dieu pour témoigner, devant le diable, de la qualité de son intégrité et de sa fidélité. Il représente le type du bon serviteur et du vrai martyre qui a concerné, également, avant et après lui, les seuls vrais serviteurs fidèles de Dieu et en premiers les vrais prophètes. Le châtiment du peuple juif n’est pas de ce type car, par la voix de ses prophètes, Dieu a constamment averti Israël en l’accusant de vivre dans le péché.

Il ressort de cette leçon que le nom « Babylone » est attaché au rôle d’instrument du châtiment divin de la culpabilité établie envers lui soit, le péché et non le symbole du péché, lui-même, qui est rattaché au mot « Egypte » car, à la différence de la conversion du roi Chaldéen, le pharaon de l’Egypte a résisté à Dieu jusqu’à sa mort.

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La fin et le retour du péché

La leçon présentée dans Daniel 9 : 24 est très claire ; la première venue du messie a pour but de « mettre fin au péché ». Jésus-Christ est, en effet, venu pour réconcilier les hommes avec Dieu ; ce qu’il a obtenu en offrant sa vie en sacrifice. Mais le contrat établi, en son nom avec Dieu, restera valable, uniquement, si le pécheur gracié cesse de pécher. Et s’il ne pèche plus, aucun châtiment, du type « Babylone », viendra le frapper. Or, ce n’est pas ainsi que la révélation divine nous prophétise l’ère chrétienne. C’est tout le contraire, puisque nous lisons dans Daniel 8 : 11 : « L’armée fut livrée avec le perpétuel à cause du péché ». En prophétisant le retour du « péché » dans la religion chrétienne, l’Esprit nous prépare à la nécessité d’un retour du « châtiment type » de la « Babylone » chaldéenne. Or cette ville de l’antiquité est en ruine et elle n’est plus, depuis le temps des apôtres jusqu’à notre époque, qu’un souvenir archéologique de l’histoire, mais Dieu confie son rôle à la nouvelle « Babylone » symbolique de l’ère chrétienne, la ville impériale de Rome.

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« Babylone » est la clé du mystère

Dans Daniel 7 : 25 et Daniel 8 : 11, l’Esprit exprime, en clair et en forme codée, le même message où, le verbe « livrer à » souligne l’idée d’un renouvellement de l’abandon du peuple saint à une puissance diabolique du type « Babylone », que la prophétie appelle « petite corne ». Le but de Dieu est de diriger notre esprit sur le rôle tenu par l’antique « Babylone ». Cette pensée va ensuite nous permettre de retrouver, dans l’ère chrétienne, la puissance diabolique, cachée sous le symbole de cette « petite corne », à laquelle « les saints » serviteurs du Christ vont, à leur tour, être « livrés à cause du péché », constitué par l’abandon de la fidélité au respect du sabbat du quatrième commandement, à partir de l’an 321 où Constantin a rendu le repos dominical obligatoire.

Dans Apocalypse 17 : 5, Dieu vient confirmer mes propos en rattachant le mot « mystère » au nom « Babylone la grande » : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre ». Bien sûr, le « mystère », touchant Rome, la « Babylone » mystique de l’ère chrétienne, est grand et particulièrement ténébreux, car elle est engagée, en apparence, au service de la foi chrétienne, contrairement à la « Babylone » païenne antique. C’est pourquoi, nous devons la regarder, uniquement, sous le prisme du rôle que Dieu lui donne dans son projet prophétique soit, celui qu’il a donné à la « Babylone » de Nebucadnetsar à l’époque de Daniel. Dieu place le nom « Babylone », le « mystère », sur son « front ». C’est également sur le « front » de ses serviteurs fidèles que Dieu appose son « sceau » dans Apocalypse 7 : 3 ; et c’est encore sur le « front » que la « marque de la bête » est reçue par les croyants infidèles. Le « front » symbolise deux idées contraires : la pensée du cerveau et le caractère interne soit, la volonté et la pensée rendues visibles par l’action. De la sorte, le mot « front » suggère le fruit de la volonté des êtres. Comme l’apparence des choses peut être extrêmement trompeuse et c’est le cas de la religion papale romaine dans laquelle « l’habit ne fait pas le moine », Jésus a mis en garde ses élus, leur disant : « Vous les reconnaîtrez à leur fruit ». Le « fruit » identifiant l’« arbre », celui de Rome, est l’œuvre de « Babylone ». A l’opposé le « fruit » ou « front » des vrais saints, sélectionnés depuis 1844, est l’œuvre du Saint-Esprit.

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Babylone, dans la nouvelle alliance

Le premier à lui attribuer symboliquement ce nom, c’est l’apôtre Pierre. Il écrit depuis Rome disant : « l’Elue qui est à Babylone vous salue », alors que cette ville antique n’existait déjà plus à son époque. Le point commun, entre la « Babylone » chaldéenne et Rome, est leur caractère de villes impériales. Et dans ces capitales se retrouvent des représentants de tous les peuples et nations dominés ; ce qui leur donne l’aspect d’une société type de la « tour de Babel » où la confusion règne à cause des langues particulières de ces différents peuples que Dieu veut séparer par ce moyen. Je le rappelle, la « Babylone » chaldéenne était située sur le lieu où s’était élevée cette tour de Babel dont elle tire son nom. Or, Babel signifie « porte de Dieu » ; une « porte de Dieu » permettant l’accès au ciel que l’église papale romaine prétend contrôler de manière exclusive au nom de Dieu ; d’où sa célèbre expression, « hors de l’église, point de salut » ; ce qui reste vrai pour la véritable « Eglise ». Ainsi, lieu de rencontre de nombreux peuples, la « Babylone » romaine représentait un champ missionnaire excellent pour les premiers apôtres. C’est pourquoi, tour à tour, Paul et Pierre s’y sont rendus et y ont même laissé leurs vies arrachées par le sanguinaire empereur Néron vers l’an 65. Mais le rôle sanguinaire de Rome n’était pas fini. Après sa domination impériale civile, cette « Babylone » a pris un aspect mystique religieux chrétien dans sa phase papale à partir de 538 où, soutenue par l’empereur Justinien, elle est devenue « le trône » papal de la gouvernance terrestre chrétienne occidentale. Aussi, dans Apocalypse 2 : 13,  Jésus la désigne par l’expression « trône de Satan » ; confirmant ainsi la pensée et le message des réformateurs du 16ème siècle. En raison des persécutions qu’elle impose à ses saints fidèles serviteurs, Dieu lui attribue symboliquement, dans Apocalypse 2 : 20, le nom de « Jézabel », à cause de la ressemblance de ses actions avec celles que commit, en son temps, la reine étrangère de ce nom, femme du roi Achab au temps du prophète Elie.

La « Babylone » mystique, symbolique agissante dans l’ère chrétienne, a ceci de commun avec la tour de Babel : elle entre en conflit avec le vrai Dieu qu’elle défie. Comme la société de Babel, elle n’ignore pas l’existence du Dieu créateur. C’est en effet pour tenter d’éviter un nouveau déluge infligé par Dieu que les survivants rebelles se sont rassemblés dans un même lieu. De même, la foi catholique romaine papale reconnaît la Bible, mais cela ne l’empêche pas de ne pas tenir compte des lois rédigées par Dieu lui-même. La religion papale romaine est purement basée sur des prétentions et des formes apparentes superficielles annoncées dans Daniel 8 : 23 : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s’élèvera un roi impudent et artificieux. Sa puissance s’accroîtra, mais non par sa propre force ; il fera d’incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints » ; toutes ses pratiques étant conformes au modèle idolâtre de l’ancienne religion romaine, purement païenne, dans laquelle on adorait déjà des statues de divinités, remplacées, ensuite, par les statues des saints « catholiques ». En confirmation, Dieu qualifie ses rites d’« enchantements », dans Apocalypse 18 : 23 : « … la lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l’époux et de l’épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements, … ».

Dans Apocalypse 13, la « Babylone » symbolique est l’élément religieux qui, allié au pouvoir monarchique civil, constitue avec lui, la « bête » soit, le régime de l’intolérance ; en ce qui la concerne et jusqu’à la révolution française qui a mis fin à son règne intolérant, uniquement en tant que : « la bête qui monte de la mer ». Car une autre « bête », qui cette fois « monte de la terre », concernera un régime intolérant prôné et instauré par le protestantisme américain. Il est annoncé pour la période de la fin du temps de grâce qui sera marqué par une ultime épreuve universelle de la foi chrétienne selon Apocalypse 3 : 10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre ».

Le nom « Babylone » apparaît de manière suggérée dans Apocalypse 8 : 8 où, pour confirmer le rôle analogue donné à la « Babylone » chaldéenne, l’Esprit révélateur lui attribue, mot pour mot, l’expression qui la concerne dans Jérémie 51 : 25 : « une montagne embrasée ».

Puis il apparaît pour la première fois clairement cité dans Apocalypse 14 : 8 : « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande qui a abreuvé toute les nations du vin de la fureur de sa débauche ». Après avoir mis la foi protestante à l’épreuve en 1844, Dieu révèle à ses serviteurs rescapés, sélectionnés et rassemblés sous l’égide « adventiste » que l’église papale romaine est condamnée, par lui, à la destruction. Le temps de la patience qu’il lui avait accordé pour se repentir, selon Apocalypse 2 : 21-22, s’est achevé en 1798 par l’action des révolutionnaires français : « Je lui ai donné du temps, afin qu’elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu’ils ne se repentent de leurs œuvres ».

Dans une logique d’une grande simplicité, le troisième ange qui vient, dans Apocalypse 14 : 9-10, après les deux précédents, indique la cause de la chute de « Babylone la grande » en évoquant « la marque de la bête » qui désigne le dimanche, ex-jour du soleil et premier jour de la semaine consacré au repos hebdomadaire, par la seule autorité humaine de l’empereur de Rome depuis 321, en opposition au vrai septième jour, le samedi, jour du sabbat sanctifié au repos par le Dieu créateur depuis le septième jour de sa création du monde. A ce titre, il représente sa « marque » royale soit, plus précisément, son « sceau » royal. Le thème de la dernière épreuve universelle de la foi chrétienne est donc de cette manière révélé et établi. Le camp du diable tentera d’éradiquer la pratique fidèle du repos du véritable sabbat qui glorifie le Dieu créateur incarné, momentanément, dans l’homme appelé Jésus.

Le nom « Babylone la grande » désigne dans Apocalypse 17 : 5 une église infidèle que Dieu compare, comme Jérusalem avant elle, à une « prostituée » ; Ez.23 : 29 : « Ils te traiteront avec haine ; ils enlèveront toutes tes richesses, et te laisseront nue, entièrement nue ; la honte de tes impudicités sera découverte, de tes crimes et de tes prostitutions ». Elle est désignée ensuite, dans Apocalypse 17 : 18, comme : « … la femme … la ville qui a la royauté sur les rois de la terre ». Avec cette précision, Jean pouvait enfin identifier « Babylone » à la ville impériale romaine comme nous pouvons également le comprendre aujourd’hui, avec un avantage sur lui ; l’histoire accomplie, depuis, témoigne de sa fausse conversion religieuse chrétienne et de son long règne, intolérant de 1260 années, prophétisé par Daniel 7 : 25 et Apocalypse 12 : 6-14.

L’accusation de « péché » imputée à la foi chrétienne par la mention du nom « Babylone » est ainsi démontrée et confirmée. Il ne reste à chacun que de choisir de répondre ou non à l’ordre pressant intimé par Dieu à ses vrais serviteurs et servantes. Nous le trouvons dans Apocalypse 18 : 4-5 : « … Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux, car ses péchés se sont accumulés jusqu’au ciel, et Dieu s’est souvenu de ses iniquités ». L’expression « car ses péchés se sont accumulés jusqu’au ciel » nous rappelle l’élévation de la tour de Babel.

Le mot « péchés », imputé, ici, à la « Babylone » romaine, confirme ses transgressions de la loi divine originelle. Selon 1 Jean 3 : 4 : « … le péché est la transgression de la loi ».

Comme le veut l’expression populaire, nous trouvons ici la réponse du Berger à la bergère. Avec beaucoup de subtilité, Dieu suggère le mépris pour son saint sabbat, thème du quatrième de ses dix commandements qui est ordonné en ces termes : « Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier… ». Aussi, Dieu reprend le même verbe pour dire qu’il se « souvient », lui, du choix infidèle réalisé par les coupables qui préfèrent honorer le dimanche romain, « la marque de la bête ».

Pour mieux comprendre l’aversion de Dieu pour le dimanche, consacré par Rome, tenez compte du fait que sa gloire divine a été, constamment, outragée par le culte dédié au dieu « soleil » au cours de l’histoire de l’humanité. Après le déluge, les Egyptiens, les Assyriens, les Japonais et avec eux les peuples du continent sud américain, les Incas, les Aztèques, les Mayas, l’ont adoré et honoré, pour certains, avec des rites abominables de sacrifices humains. Ce qui s’est passé au cours de l’ère chrétienne n’a donc rien d’étonnant puisque, l’humanité se renouvelant, le diable peut se permettre d’utiliser les mêmes pièges et les mêmes abominables sacrifices de vies humaines. Car même en toute ignorance, l’inquisition papale romaine a offert, elle aussi, sur ses bûchers, des victimes pour honorer son autorité de représentante du dieu « soleil ». Parce que Dieu voit les choses ainsi. Songez donc que si le choix d’un jour de repos plutôt qu’un autre ne vous semble pas, à vous « pot de terre », important, Dieu est personnellement, lui, « le pot de fer » qui est d’un tout autre avis, car c’est sa gloire personnelle qui est attaquée par son adversaire direct, le diable. Ses menaces et ses avertissements ne doivent, avec raison, pas être sous-estimés. Derrière nous s’allonge la liste des êtres humains qui ont raté leur passage dans la vie pour cette cause. Dans le cas contraire, votre entrée dans la vie et votre choix de soumission à sa volonté révélée auront un prolongement éternel obtenu par les seuls mérites de Jésus-Christ, Dieu béni éternellement, qui impute sa justice uniquement à ceux qu’il en juge dignes.

Comprenez également que le respect du sabbat ordonné par Dieu ne doit pas être opposé à la reconnaissance de Jésus-Christ comme Sauveur personnel. Bien au contraire, notre obéissance à la loi est le signe visible que nous bénéficions de son aide et de son soutien, fruits de sa grâce. Paul a enseigné très justement que Christ n’est pas venu pour être le ministre du péché, mais bien celui de la justice soit, de l’obéissance aux directives de Dieu qui, incarné en tant que Messie, présente le modèle parfait auquel nous devons chercher à ressembler.

En dernier argument, tenez compte de ce que selon Dieu, le modèle abouti est un juif instruit de la loi divine qui reconnaît Jésus-Christ pour son messie et sauveur personnel, comme l’ont fait en leur temps, les apôtres sélectionnés par Jésus. C’est au païen qu’il revient de judaïser et non au juif de paganiser.

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Babylone démystifiée

Dans ce document, nous avons dépouillé, de ses vêtements trompeurs, la prostituée « Babylone » la grande. « Coupez le son », n’entendez plus ses paroles trompeuses, que voyez-vous ? Des rites religieux identiques aux « enchantements » pratiqués par les prêtres de la religion romaine païenne du temps des empereurs qui portaient, avant les papes de l’ère chrétienne, le titre de « souverain pontife » ; en latin,  « pontifex maximus ». Que voyez-vous encore ? La célébration de ses messes, l’élévation de la « coupe d’or », l’invocation de Dieu, les bras, levés vers le ciel, des cardinaux et des évêques « revêtus de pourpre et d’écarlate », les prosternations devant les statues. Toutes ces choses faisaient déjà la gloire et le prestige de la religion romaine antique. Dans les « coupes d’or », on buvait déjà le vin à la gloire de Bacchus, le dieu de la vigne et des multitudes de fausses divinités, représentées en statues, étaient adorées et servies par des prêtres et par le peuple romain entier.

Aujourd’hui encore, Rome doit toute sa richesse à son engagement païen. Des multitudes de touristes affluent du monde entier pour visiter la prétendue « ville éternelle ». Il est vrai qu’elle a de l’âge et qu’elle porte encore les ruines de son passé historique, les vestiges de tous les temples païens qui s’élevaient sur son sol. Mais sa réputation de « ville éternelle » est mal fondée car Dieu a annoncé sa destruction « par le feu » dans Apocalypse 18 : 8 : « A cause de cela, en un même jour, ses fléaux arriveront, la mort, le deuil et la famine, et elle sera consumée par le feu. Car il est puissant, le Seigneur Dieu qui l’a jugée ».

Le prestige de Rome repose aussi sur la présence de l’état du Vatican et sa basilique Saint-Pierre de Rome. Cet imposant édifice bâti comme une « forteresse » impressionne fortement ses visiteurs par ses richesses et ses dimensions. Dans Daniel 11 : 38, Dieu dirige nos regards vers cet aspect séducteur de la « Babylone » symbolique : « Toutefois il honorera le dieu des forteresses sur son piédestal ; à ce dieu, que ne connaissaient pas ses pères, il rendra des hommages avec de l’or et de l’argent, avec des pierres précieuses et des objets de prix ».

Ainsi, la foi catholique papale romaine s’enorgueillit de sa « Babylone » autant que Nebucadnetsar, le roi chaldéen l’a fait, en son temps d’ignorance et d’aveuglement païen, pour la sienne. « Babylone ». Sujet d’orgueil pour ses bâtisseurs, ce sera le dernier critère partagé, relevé dans ce document. Cependant, pour compléter les enseignements fondés sur leur ressemblance nous devons encore relever l’évocation du fleuve Euphrate sur lequel la ville antique est bâtie ou « assise », car la « Babylone » mystique est dite également « assise sur de grandes eaux » dans Apocalypse 17 : 1. La clé d’interprétation de ces « eaux » nous est donnée au verset 15 : « Et il me dit : les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues ». Le profit de cette précision est énorme car, « Babylone » étant identifiée à Rome, les peuples symbolisés par « les eaux » qu’elle domine, désignent les peuples de l’Europe occidentale, pays restés sous la domination religieuse catholique romaine ou marqués par son enseignement. Si à l’origine ces peuples étaient limités aux dix peuples barbares formant l’Europe du moyen-âge, avec le temps, leur nombre et la superficie des territoires concernés n’ont fait que croître. On peut leur rattacher aujourd’hui, les Amériques et l’Australie, terres colonisées conquises par les européens. Partageant, les péchés de l’église romaine, le territoire européen est spécifiquement désigné par le nom « Euphrate » comme cible centrale de la troisième guerre mondiale symbolisée par le thème de la « sixième trompette » dans Apocalypse 9 : 13-14 : «  Le sixième ange sonna de la trompette. Et j’entendis une voix venant des quatre cornes de l’autel d’or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d’Euphrate ».

De même que, devenu coupable envers Dieu, le peuple saint de l’ancienne alliance fut frappé à trois reprises par les armées de « Babylone », en - 605, en - 597 et en - 586 où Israël a perdu sa nation, de même la culpabilité catholique partagée par les peuples dits « chrétiens » européens doit être également frappée trois fois. Deux guerres mondiales sont derrière nous, de 1914 à 1918, pour la première et de 1939 à 1945, pour la seconde. Quand va s’accomplir la troisième ? Elle est assurément très proche et sans comparaison possible avec les deux précédentes, si l’on tient compte du fait que, son modèle type est la destruction totale de Jérusalem et de son peuple en l’année 586 avant notre ère. Ayant reproduit le modèle de la société du peuple juif qui avait déjà réussi à lasser la patience de Dieu, les peuples de l’alliance atlantique, d’aujourd’hui, vont subir, à leur tour, le poids du courroux divin. Ils vont connaître le sort de Sodome et Gomorrhe et seront détruits par le « feu du ciel » soit, l’arme nucléaire, aujourd’hui, domestiquée par l’homme. Tel est le sort réservé et prophétisé des sociétés du type « Babylone ». 

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- Fin du message -

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