Pict-005.pngPict-006.pngLa Révélation de la Septième Heure

www.petit-livre-ouvert.com

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

www.youtube.com/user/petitlivreouvert

------------------------------------

Dans la série

Lumières Nouvelles Exclusives - Lumières Nouvelles Exclusives

(Ce que l’oreille n’a jamais entendu)

------------------------------------

« A celui qui gardera mes œuvres jusqu’à la fin, je donnerai autorité sur les nations … » Ap.2 : 24

COMPRENDRE NOTRE EPOQUE

Les origines

Au cours de l’ère chrétienne, les peuples ont été gouvernés par des monarchies et ce n’est qu’en fin du 18ème siècle que les régimes républicains ont été instaurés. Le principe des monarchies était plus conforme à la conception de vie approuvée par Dieu. La créature est placée en devoir de se soumettre et d’obéir à son souverain terrestre, de même que l’enfant de Dieu doit se soumettre à la volonté de Dieu, le Souverain suprême. La monarchie apprend donc l’obéissance à l’homme. On peut alors en déduire que l’apparition du système républicain prépare la fin de l’histoire humaine, puisque le pouvoir est pris en main par l’homme rebelle. Et on peut alors comprendre que, si cet homme rebelle ne supporte pas d’avoir à obéir à un roi terrestre qu’il voit, il ne supportera pas, non plus, l’idée d’avoir à obéir à un Dieu qu’il ne voit pas. De là, à se débarrasser de l’idée de religion, il n’y avait qu’un pas à franchir et il a été franchi par les révolutionnaires, en 1793, en faisant de la France la première nation athée de l’histoire humaine. On ne sera donc pas étonné si, dans l’Apocalypse révélée à l’apôtre Jean, Dieu désigne le régime républicain comme un « régime du péché » et ils sont devenus, en ces derniers jours, nombreux et majoritaires sur notre terre. Le pole du rassemblement de ces « régimes de péché » est « la liberté » élevée sur un piédestal, nouvelle idole de l’humanité de la fin, mais vieille ennemie de Dieu. La France, encore elle, l’a élevée en statue, qu’elle a offerte aux Etats-Unis américains, comme un sportif passe le relai à son successeur. Elle est visible, depuis, dans l’entrée du port de New-York. Entre la France et les USA la succession reposait sur le principe évoqué par Jean Baptiste qui a déclaré, à propos de Jésus-Christ : « il faut qu’il croisse et que je diminue ». L’histoire l’a confirmé, l’Amérique n’a fait que croître, quant à la France … vous savez ou découvrez depuis quelques temps où elle en est.

De ce que nous venons de voir, il résulte que nous sommes tous encore aujourd’hui amoureux de la liberté, héritée depuis le 18ème siècle, au point de devenir libertaire. La véritable conversion vers Jésus-Christ va donc nécessiter plus qu’un « toilettage ». Il faudra une refonte de notre âme, toute entière, pour retrouver la nature obéissante qui était celle des apôtres, choisis, en toute connaissance, par Jésus lui-même. Ceci d’autant plus, qu’à notre caractère rebelle, Dieu nous impute la méchanceté dont nous devrons également nous défaire. Jésus a déclaré : « Méchants comme vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants … ». Il a ailleurs précisé : « Dieu seul est bon ».

La raison pour laquelle la monarchie française a été renversée par l’ordre républicain est divine. Dieu lui a reproché sa collaboration avec l’église papale romaine. Vous trouverez les détails de cette révélation divine dans l’étude du chapitre 2 d’Apocalypse qui concerne, sous le nom « Thyatire », l’époque où Dieu annonce la venue d’une « grande tribulation » soit, la révolution française, contre « ceux qui commettent adultère avec elle » ; comprenez : la monarchie soumise à l’enseignement spirituel des papes romains. La victime de l’époque, Louis XVI, ne fut pas le pire des souverains de la France. Louis XIV était bien plus coupable que lui en ayant organisé la chasse aux élus de la foi réformée pour laquelle il a créé, tout spécialement, le corps des « dragons », en fidèle serviteur du pape romain. Louis XVI a simplement eu la malchance de se trouver au pouvoir au moment où la patience de Dieu, envers les exactions commises par l’alliance des rois avec la papauté, prenait fin ; ceci aux dates annoncées par les prophéties données à Daniel et à Jean soit, au terme des 1260 jours-années débutées en 538, année de l’instauration du pouvoir universel papal romain décrété par l’empereur Justinien 1er.

Au terme des 1260 années, les deux « têtes » des régimes ciblés par Dieu sont mortes dans le soulèvement révolutionnaire. Celle de Louis XVI est tombée sous la guillotine en 1792 et le pape Pie VI est mort, lui, en détention dans la prison de Valence sur Rhône en 1799. (Valence où je suis né et réside). Retenez donc, de ce témoignage, combien Dieu est puissant pour faire retomber, sur la tête des coupables, le châtiment de leur péché ; celui qu’ils commettent envers Lui. Car,  Louis XVI n’a pas été puni pour des fautes personnelles commises contre les hommes mais, uniquement, pour avoir perpétué et confirmé celles de ses prédécesseurs royaux, envers Dieu, notre seul et unique Créateur, Législateur et, à ce titre, notre Juge.

En 1799, Dieu fait cesser l’intolérance dans l’histoire religieuse du christianisme, qui va bénéficier d’un long temps de paix, jusqu’aux derniers jours du salut terrestre. Le témoignage historique prend fin et il est suffisamment clair pour que les générations futures puissent en tirer leçon (divine). C’est ce que nous faisons aujourd’hui, en retrouvant les faits historiques dans les constructions prophétiques de Daniel et Apocalypse révélées et expliquées en leur temps par Dieu. A l’issue de ces leçons prophétiques je peux dire que si le projet de Dieu avait été continuellement suivi au cours de l’histoire par tous les hommes, la situation se présenterait ainsi :

1-      Il n’y aurait plus de nation juive, la vraie foi chrétienne ouverte à tous les peuples de la terre, l’ayant remplacée en 31 de notre ère au titre d’Israël spirituel.

2-      Il n’y aurait pas de religion ou de foi catholique romaine que Dieu tient pour ennemie, instituée par son adversaire, le diable.

3-      Il n’y aurait pas de foi protestante suscitée, uniquement, pour dénoncer les péchés du catholicisme vers le 16ème siècle.

4-      Il n’y aurait pas, non plus, de « foi adventiste » suscitée, en 1844, uniquement, pour achever la réforme protestante restée inachevée depuis le 16ème siècle.

------------

Le temps des nations rebelles

La période, comprise entre 1799 et notre époque, est marquée, dans le christianisme, par la paix religieuse mais elle est aussi frappée par des guerres terriblement meurtrières. En Europe, l’empire de Napoléon 1er ensanglante les peuples qui ne connaîtront la paix que, brièvement, jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Aux Etats-Unis américains, après 1844 et sur la fin du 19ème siècle, « la guerre de sécession » oppose le camp nordiste aux sudistes qui veulent maintenir l’esclavage des noirs. Ce ne sont, pas là, des signes de la bénédiction de Dieu mais comment s’en étonner, puisque ceux qui sont ainsi frappés sont tous des « régimes du péché », et il s’agit pourtant de pays chrétiens ? La foi en Jésus-Christ a-t-elle donc perdu le pouvoir de sauver l’âme humaine ?

------------

Un décret divin ignoré

La réponse à la question précédente se trouve dans la date 1844, construite à partir d’une durée prophétique citée dans Daniel 8 : 14. A ce moment là, Dieu fixe un changement de la norme religieuse exigée. Après avoir censuré, dans l’histoire, par l’action des révolutionnaires français, son rejet et sa condamnation de la religion catholique, Dieu va ensuite, à partir de 1844, faire connaître la fin de sa patience envers la foi protestante dont la « réforme », entamée au 16ème siècle, n’a pas été achevée. Cette révélation des nouvelles normes exigées de la part de notre Père céleste, le grand Dieu créateur, est destinée à une élite spirituelle qui confirmera, par ses œuvres, l’amour et le saint respect dus à la sainte Bible. Aussi, Dieu se sert-il d’un message prophétique de Daniel 8 : 14 qui, selon son dessein, faussement interprété de manière provisoire, annonce le retour glorieux de Jésus-Christ pour le 22 Octobre 1844. Ce moyen lui permet de sélectionner ceux qui l’aiment véritablement, non en paroles, mais en œuvres. Et leur engagement dans le réveil spirituel provoqué par l’annonce témoigne en leur faveur. A cause d’une erreur sur l’interprétation de la date d’appui du calcul, suivie d’une première déception pour le printemps 1844, l’élite est doublement éprouvée et sa victoire spirituelle est consacrée par Dieu le 23 Octobre 1844. Cinquante personnes seulement obtiennent cette victoire sur les dizaines de milliers d’autres engagées dans la même attente. Car, là, est tout le paradoxe, ceux qui sont victorieux, se trouvent dans un état pitoyable tant la déception de la non venue de Jésus est atrocement ressentie. La suite du temps va, pourtant, les faire entrer dans l’histoire religieuse. Après la déception, des messages reçus de Jésus-Christ vont en faire, pour Dieu, les pionniers d’une dernière institution de la foi chrétienne. Sa mission universelle sera de rappeler aux hommes, le prochain retour de Jésus-Christ, en latin, « l’advent » et la nécessité de retrouver la pratique du repos du véritable septième jour, le sabbat. Celui-ci est le samedi et non le dimanche établi par Rome qui était, lui, consacré au premier jour de la semaine, déjà voué au culte du dieu « soleil » par les païens dans l’empire. Cette nouvelle assemblée chrétienne dépose son statut en 1863 sous le nom logique et méritée d’« église adventiste du septième jour ». Le commun des mortels peut trouver le sujet sans importance mais ce n’est pas le cas du grand Dieu créateur dont l’honneur est bafoué par le camp ennemi, celui du diable. On comprend, dès lors, sa volonté de restaurer sa gloire avant la fin de toute chose et de toute vie sur la face de la terre. Ceux qui comprennent cette nécessité, vont pouvoir continuer à bénéficier du sang versé par Jésus-Christ et de la justice éternelle qui lui est rattachée ; les autres seront livrés au diable et porteront sur eux la culpabilité de leur péché. En plus des autres avantages, les élus vont, particulièrement, pouvoir comprendre ce qui se passe sur la terre ; et ceci, de plus en plus clairement avec le temps qui se prolonge. Fidèle à sa promesse, « l’Esprit de vérité » est de nouveau disposé à « conduire » les élus de Jésus-Christ « dans toute la vérité ». L’histoire de cette église institution officielle, depuis sa naissance jusqu’à sa condamnation divine en 1994, est révélée dans le document « ABC d’ère » disponible sur ce site, dans l’étude du chapitre 3 d’Apocalypse. Son début,  comme institution officielle lancée en mission universelle en 1873, est rattaché au nom symbolique de « Philadelphie » (= amour fraternel) et le temps de sa condamnation, en 1994, est symbolisée par le nom « Laodicée » (= peuple du jugement ou jugement du peuple).

------------

Jamais deux sans trois

Ce vieux dicton, dont j’ignore l’origine, constitue, néanmoins, une vérité biblique concernant Dieu. Dans la signification symbolique des chiffres, l’Esprit donne, au chiffre « 3 », le sens de la perfection. On peut relever, pour appuyer cette démarche, plusieurs exemples dans la Bible, comme l’existence de « trois déportations des juifs vers Babylone » suivies de «  trois décrets royaux » pour leur libération. Le salut de l’homme repose également sur le triple rôle de Dieu, successivement, « Père, Fils et Saint-Esprit ». Ce principe constitue une clé qui permet de saisir la construction du livre Apocalypse dans lequel le chapitre 2 couvre le temps d’imperfection qui va de 95 jusqu’en 1844, alors que le chapitre 3 est consacré au temps de la perfection, en rapport avec la restauration des vérités bibliques exigées par Dieu depuis 1844.

Le principe va également s’appliquer pour les guerres mondiales qui s’accomplissent au cours du 20ème siècle que nous avons, en apparence seulement, légèrement dépassé. Derrière nous, deux guerres mondiales, 14-18 et 39-45 ; devant nous, une troisième ; quels chiffres lui donnera-t-on ? Mystère ! Mais nous serons fixés probablement dans très peu de temps.

Je réponds tout de suite à une idée fausse très répandue. Non, les prophéties de Daniel et Apocalypse ne sont pas conditionnelles. Leur accomplissement, dans les détails de leur description, est inévitable, contrairement à la prophétie circonstanciée annoncée par le prophète Jonas aux habitants de Ninive. La condamnation est, cette fois, collectivement irrémédiable mais le salut individuel reste possible pour ceux qui se conforment à la vérité divine révélée. A la différence de la prophétie de Jonas, Daniel et Apocalypse couvrent 26 siècles de l’histoire religieuse. Dieu y révèle, pas à pas, son jugement et sa condamnation du mensonge religieux qui va perdurer jusqu’à la fin du monde. Il se fait une gloire de pouvoir dire 26 siècles avant que les choses arrivent, ce que seront les œuvres et la fin du camp adversaire. De même qu’il connaît le nom de ses élus depuis la création du monde, il connaît tout autant ceux des rebelles qu’il va supporter jusqu’à la fin du temps de grâce où il les détruira. Ils seront inconscients et poussière jusqu’à leur résurrection pour le châtiment du jugement dernier où ils seront définitivement anéantis.

------------

La troisième guerre mondiale ou sixième châtiment divin

La troisième guerre mondiale est présentée dans le livre Apocalypse sous le symbole de la « sixième trompette ». Il en mentionne « sept » et « la septième » désigne le retour glorieux de Jésus-Christ. Les « sept trompettes » illustrent sept châtiments successifs qui vont frapper les pécheurs rebelles au cours de l’ère chrétienne, pour une seule et unique raison qu’elles ont en commun. Celle-ci se trouve dans l’histoire, logiquement, avant que la « première trompette » frappe. C’est ici que nous découvrons l’année 321 en laquelle, le respect du quatrième commandement de la loi de Dieu a été renversé par l’empereur Constantin 1er. La réaction de Dieu ne s’est pas faite attendre très longtemps, elle a pris la forme des invasions de l’Europe chrétienne infidèle par les peuples barbares, au titre symbolique, ignoré mais certifié par l’Esprit, de « première trompette », dans le livre Apocalypse. Les « trompettes » suivantes ont successivement représenté l’instauration du régime papal romain de 538, les guerres de religions du 16ème siècle opposant les catholiques et les protestants. Ensuite, en « quatrième châtiment ou trompette », la révolution française est venue mettre fin à l’intolérance monarchique catholique. Les trois dernières « trompettes » couvrent le temps dit de « perfection ». La « cinquième trompette » qui ouvre cette période, ne fait pas de bruit, ni aucun cadavre mais son caractère spirituel est autrement plus dommageable. Elle représente l’abandon au diable de multitudes de chrétiens héritiers de « la foi protestante » qui vont ignorer, jusqu’à la fin, leur terrible situation. Quand l’endurcissement des hommes et leur indifférence pour ses vérités révélées auront atteint la mesure insupportable, Dieu livrera, cette fois, à la mort une grande partie de cette humanité. Ce sera l’heure de la « sixième trompette » dont le développement est proposé dans le livre de Daniel au chapitre 11 dans les versets 40 à 45 ; un thème expliqué et commenté dans « l’ABC d’ère » sur ce site. Et je le précise, en ce temps des « marchands du temple », cette information est disponible en toute gratuité.

------------

A propos de la nation juive, Israël

Comprendre notre époque exige que nous ayons, du rôle de l’Israël national reformé depuis 1947, une juste idée conforme à celle de Dieu. Est-ce par bénédiction qu’Israël est revenu sur le territoire d’où il a été chassé par les Romains en 70 de notre ère ? La réponse se trouve dans la Bible. Comparez les circonstances dans lesquelles Dieu a installé Israël en terre de Canaan avec celle du retour de 1947. Que voyons-nous ? D’énormes différences ! Au temps de Josué et Caleb, Dieu, lui-même, détruit et anéantit des populations de géants pour donner leur terre aux enfants d’Israël qu’il vient de délivrer de l’esclavage égyptien, 40 ans plus tôt. S’engage-t-il de même pour Israël en 1947 ? Pas du tout ! La victoire juive de la « guerre des six jours », en 1967, contre les peuples arabes de la région n’est pas divine. Elle est basée sur une supériorité de l’armement du camp juif, équipé d’armes automatiques fournies par le camp occidental. Que font-ils de cette victoire ? Pas d’extermination des ennemis comme pour les Cananéens. Des compromis sont signés avec les peuples vaincus et Israël ne retrouve pas l’intégralité du territoire de ses ancêtres. De plus, la raison du retour des juifs sur leur ancienne terre devenue, entre temps, la Palestine, repose sur la prise en compte, par l’Amérique humaniste, de la tentative d’extermination de leur race par l’Allemagne nazie d’Adolph Hitler.

Cette expérience, du dernier châtiment des Juifs rebelles, a été voulue par Dieu et mise en évidence afin de présenter, aux rebelles chrétiens, comment il peut châtier ceux qui lui résistent. C’est de sa part, un funeste avertissement, une puissante allusion au troisième conflit universel annoncé par la « sixième trompette » du livre Apocalypse. L’Allemagne n’était pas plus juste que le peuple juif. Dieu l’a cependant utilisée pour accomplir son dessein, après quoi, il a veillé à ce qu’elle soit à son tour sévèrement châtiée. Cette expérience est comparable à la déportation du peuple juif à Babylone à partir de 605 avant notre ère, plus tard, cette ville impériale a été, à son tour, frappée par les armées mèdes et perses. Des événements aussi marquants, dans l’histoire, ont forcément une raison pour Dieu qui revendique l’initiative de punir les pécheurs rebelles. A ce sujet la Bible déclare (Amos 3 : 6) : « … Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que l’Eternel en soit l’auteur ? » Pour sa part Job dit (2 : 10) : « … quoi ! nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! … ». La société humaniste trouve injuste l’œuvre nazie mais les juifs, eux-mêmes, sont instruits par leurs écritures saintes qui témoignent des châtiments que Dieu leur a fait subir, dans le passé, au cours de leur alliance. Ils devraient donc comprendre, d’eux-mêmes, le sens qu’ils doivent donner au fait que les nazis les ont, particulièrement, pris pour cible, ou tout au moins, devraient-ils s’interroger sur la raison pour laquelle Dieu a autorisé cette terrible expérience. Un juif béni par Dieu, pour avoir reconnu son messie en Jésus-Christ, l’apôtre Paul, témoigne de la malédiction de sa nation dans Romains 2 : 9 : « Tribulation et angoisse sur toute âme d’homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec ... »

L’Angleterre qui gérait en 1947 la Palestine s’est opposée au retour des juifs. Et c’est par leurs armes qu’ils ont su s’imposer, obtenant un soutien international de l’occident. La cause de la dispersion des Juifs, en 70, était le refus national du messie Jésus qui s’est présenté à eux entre l’automne 27 et « la pâque » 31. La bénédiction de Dieu ainsi perdue ne peut être retrouvée que par la production du fruit de repentance soit, la reconnaissance du messie Jésus. Le peuple revenu en Palestine en 1947, a-t-il reconnu Jésus pour son messie ? Non, clairement non. Il faut donc en conclure que la bénédiction de Dieu n’est pas non plus revenue sur ce peuple. En fait, vous allez comprendre que c’est tout le contraire qui s’est produit. Israël est revenu en Palestine pour être un sujet de malédiction jusqu’au retour de Jésus-Christ. Le retour en Palestine a créé une injustice insupportable pour les arabes qui s’étaient installés au cours des siècles, après l’exil forcé des juifs. La seconde partie du 20ème siècle a été marquée par les actions terroristes des groupes palestiniens et le commerce occidental en a été perturbé et affaibli. En 2013, où j’écris ces lignes, le problème soulevé n’est toujours pas réglé et, à mon humble avis, il n’est pas prêt de l’être d’une manière positive. Tout simplement parce que cette situation, excitée par la haine, a vocation à embraser le monde pour le faire entrer dans la troisième guerre mondiale. La malédiction du peuple juif, qui a rejeté son messie sera, alors, rendue évidente et indiscutable. Mais elle sera partagée par les nations chrétiennes infidèles qui feront bien de regarder la poutre qui est dans leur œil avant la paille placée dans l’œil juif.

Comprendre notre époque, nous oblige à tenir compte des héritages du passé. Notre société moderne est, en effet, dans un état de confusion extrême, due au mélange des genres. Le 18ème siècle nous a légué l’esprit libre penseur et la fin du 19ème, la pratique du « spiritisme ». Ce mélange conduit les gens religieux à attribuer à Dieu, systématiquement, toutes les formes de faits surnaturels. Ils ont oublié que l’apôtre Jean nous invite à agir avec prudence, comme Jésus, lui-même, l’a enseigné. Et Jean nous dit (1 Jean 4 : 1) : « ... éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu ... ». C’est un sage conseil, car les croyants de notre époque semblent ne plus se souvenir de l’existence du diable et de ses démons et l’illusion, collective, d’appartenir au Christ, qui est censé les protéger, explique la chose. Ce n’est donc pas sans raison que l’homme moderne est devenu incapable de comprendre le projet dévastateur de Dieu. Aussi, quand on lui parle d’une troisième guerre mondiale, l’être humain imagine qu’elle sera comparable aux deux conflits qui l’ont précédée. C’est une erreur totale. Les deux premières guerres mondiales concernaient en premier et surtout, les corps des militaires qui mouraient sur le terrain de la bataille. Dans la seconde, il y a eu davantage de victimes civiles. Mais dans la troisième qui vient, la cible de Dieu sera l’homme, la femme, le vieillard et l’enfant. La mise en parallèle de cette ultime guerre mondiale, avec la destruction de la nation Israël, en 586 avant notre ère, par les armées chaldéennes du roi Nébucadnetsar, confirme l’intensité du drame qui se prépare. Dans Ezéchiel 9 : 4 à 7, Dieu révèle l’aspect que sa colère peut prendre envers les humains rebelles : « L’Eternel lui dit : passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. Et, à mes oreilles, il dit aux autres : passez après lui dans la ville, et frappez ; que votre œil soit sans pitié, et n’ayez point de miséricorde ! Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n’approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Il leur dit : souillez la maison, et remplissez de morts les parvis ! …  sortez ! …  ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville ». Assurément, ces propos ne sont pas ceux que les chrétiens humanistes de notre époque aiment entendre, mais ce sont ceux que l’Eternel, le grand Dieu créateur, leur adresse encore aujourd’hui, pour marquer et confirmer la fin de ses alliances.

La vie n’est pas que spiritualité, elle est aussi économie, politique, technologie, science. Ce sont certains de ces sujets que nous aborderons maintenant car ils sont révélateurs et sources d’explications pour comprendre notre époque.  

------------

Après la seconde guerre mondiale

Les nations contemporaines se sont alignées, progressivement et successivement, sur le modèle présenté par l’Angleterre et les USA. Ainsi, le capitalisme, prôné par ces deux nations, triomphe sur l’autre modèle opposé dit « socialiste », adopté pour un temps par l’URSS. Et aujourd’hui, même en Russie, la société est organisée sur un principe capitaliste. Or ce type de régime contribue à creuser toujours plus l’écart entre les riches et les pauvres des nations ; ceci me permet d’affirmer que l’homme du 21ème siècle est devenu égoïste et individualiste. Faut-il s’en étonner ? Certainement pas, car au cours de l’histoire, les hommes ont toujours fait preuve de solidarité dans « le temps du malheur » et se sont toujours également montrés égoïstes dans les moments favorables de l’opulence et de la satiété.

Derrière ces réactions humaines se tient le diable, toujours prêt à exploiter les mauvais penchants et les méchantes pensées humaines. Mais comment expliquer, dans ce cas, cette unanimité quasi universelle en faveur des valeurs encouragées par le diable ?

------------

La puissance d’égarement

Pour comprendre la situation de notre époque, nous devons, avant tout, comprendre comment la vie humaine fonctionne. Créées par Dieu, nous sommes ses créatures et, à ce titre, entièrement dépendants de lui et de sa puissance illimitée. Or, la Bible nous dit, dans 2 Th.2 : 11 et 12 : « … Aussi Dieu leur envoie une puissance d’égarement, pour qu’ils croient au mensonge,  afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l’injustice, soient condamnés ». Il en résulte que celui qui reçoit cette puissance d’égarement ne le sait pas et il ignore le drame de sa situation jusqu’au moment où le jugement divin lui la fera découvrir ; pour certains, uniquement pour le jugement dernier à la fin du septième millénaire. Celui qui est ainsi frappé par cet égarement n’est pas un fou, ni un débile mental. Il présente au contraire, un aspect tout à fait normal, intelligent et instruit, voire couvert de diplômes et peut, même, faire partie de l’élite humaine. Ce que vous devez comprendre c’est que Dieu contrôle l’usage de notre intelligence de manière sélective. Le sujet de sa sélection, c’est le domaine spirituel concernant la religion. Ainsi l’homme peut être en même temps à la fois, un savant, un « cerveau » honoré par les autres hommes et « un ignare » sur le seul sujet spirituel. Relevez combien Dieu fait preuve de logique dans sa démarche. Il abêtit celui qui le méprise. Ayant échappé à cette puissance d’égarement qui frappe actuellement la quasi-totalité de l’espèce humaine, l’intelligence, que je reçois de Dieu, me permet de relever, dans l’actualité, des détails auxquels les multitudes donnent peu d’importance, alors qu’ils permettent d’expliquer le pourquoi des choses.

Dans le verset que nous venons de voir, l’Esprit divin oppose les mots « vérité » et « injustice » ; la vérité est donc la justice. Dans la bouche de Dieu, qui est le grand Juge des êtres humains, ce mot « justice » suggère la présentation, de chacun, devant le tribunal suprême. Dieu nous rappelle, de la sorte, que tout homme lui doit obéissance, honneur et gloire. A ce titre, l’être humain a le devoir de tenir compte de tous les enseignements qu’il a déjà faits connaître, ou fera, encore, découvrir par ses saints serviteurs jusqu’à la fin du monde.

C’est ici qu’intervient le rôle des prophéties, préparées, par le Dieu créateur, pour ses serviteurs, fidèles, des derniers jours du temps de grâce, proposées aux habitants de la terre. Dieu m’ayant accordé le privilège de comprendre le sens de ses messages spirituels codés par un code biblique, je bénéficie d’un avantage indiscutable sur les spécialistes humains coupés de Lui. Ainsi, nous les entendons continuellement, sur les ondes et les écrans, approuver et justifier l’économie capitaliste adoptée par les peuples dominateurs de notre siècle. Le vrai problème n’est pas, spécifiquement, dans le principe capitaliste lui-même mais avant tout dans la rupture entre Dieu et l’homme. La démonstration a été donnée par l’échec du régime communiste des pays socialistes ; échec dû également à la rupture avec Dieu. Notre Créateur est le seul qui puisse inspirer ses créatures de pensées nobles réellement positives. Le capitalisme individuel style USA et le capitalisme d’état du genre URSS ont produit les mêmes caractères humains ; cupidité, orgueil des dirigeants qui exploitent et écrasent les dirigés. Il n’a manqué, au régime communiste, qu’une seule chose pour en faire un régime idéalement béni pour les hommes ; un lien solide et efficace avec Dieu, le Sauveur des hommes quand ils le laissent les diriger. La Bible nous enseigne que les premiers chrétiens, persécutés alors par les juifs, « mettaient tout en commun » selon  Actes 4 : 32 : « La multitude de ceux qui avaient cru n’était qu’un cœur et qu’une âme. Nul ne disait que ses biens lui appartinssent en propre, mais tout était commun entre eux ». Nous avons là, une toute première forme de « communisme » où Dieu est actif et approbateur. Le sens du partage est une véritable valeur divine.

Dans notre société actuelle l’esprit de partage disparaît, non seulement dans les esprits des plus riches mais, ce qui montre la progression du mal, également, dans les pensées des pauvres. L’homme ne voit plus le mal sous sa valeur divine. Le pauvre convoite et envie les avantages du riche mais ne sait plus condamner son égoïsme.

Ne soyez donc pas étonnés du succès remporté par l’esprit individualiste des USA, car cette victoire a été prophétisée par Dieu. J’imagine votre étonnement. Sachant que la fin de l’écriture des textes de la sainte Bible remonte au premier siècle de notre ère, les initiés peuvent, difficilement, imaginer qu’elle ait évoqué le peuple américain, dont la terre n’a été découverte par nos peuples occidentaux qu’au 16ème siècle. Pourtant, je l’affirme, toutes les Bibles imprimées prophétisent l’ultime domination impérialiste américaine. Pour arriver à cette connaissance, nous devons faire un bon usage des prophéties révélées, successivement, au prophète Daniel vers 605 avant J-C puis, au prophète Jean à la fin du premier siècle de notre ère chrétienne.

------------

Première bête ou première intolérance chrétienne

Dans le chapitre 13 du livre Apocalypse, mot signifiant, « Révélation », l’Esprit de vérité, envoyé par Jésus-Christ, prévient ses serviteurs que deux « bêtes » soit, deux régimes « chrétiens » religieux intolérants, parce que diaboliques, vont se manifester successivement au cours de l’ère chrétienne. A partir du livre écrit par Daniel, l’Esprit cible premièrement le régime intolérant papal romain établi depuis l’année 538. Ce n’est qu’en cette année, que le titre papal reçoit l’autorité universelle, de la part du pouvoir civil, incarné à cette époque par l’empereur Justinien 1er. A partir de ce moment de l’histoire, l’Eglise du Christ s’est vue imposer un chef terrestre dont sa présence et son action vont faire oublier le véritable Chef suprême, Jésus-Christ, qui est, Lui, céleste et qui est désigné pour ce titre par la Bible (Eph.5 : 30). Depuis le temps des 12 apôtres, cette vérité était reconnue et respectée. Après l’intronisation du pouvoir papal de 538, l’histoire a enregistré les exactions, les méfaits commis par ce régime orgueilleux, outrancier, « impudent et artificieux », selon les termes choisis par Dieu lui-même dans Daniel 8 : 23. Contre les hommes, elle a organisé des massacres inutiles et injustifiés comme ses « ordres des croisades ». Mais également, par ses conversions forcées, imposées aux peuples païens, elle a fait la gloire et la puissance de l’empereur Charlemagne et plus tard, celle des conquistadors de l’Amérique du sud. En dernière outrance, elle a rejeté et combattu l’œuvre de la réforme protestante engagée, dans la même époque, par la volonté de Dieu. Il faudra la puissance populaire du peuple révolutionnaire français pour détruire, entre 1789 et 1798, son arrogance et sa domination intolérante tyrannique. Pour confirmer son approbation de cette destruction, l’Esprit évoque dans Apocalypse 13 : 3 le moment accompli, en 1798, où le pape Pie VI, « une des têtes de la bête », est arrêté et mis en prison dans la citadelle de Valence sur Rhône dans laquelle il est mort l’année suivante. Ainsi, « la bête était blessée à mort ». Mais, conformément à la prophétie, sa blessure mortelle devait « guérir » et cette guérison, la foi catholique romaine la doit, uniquement, à l’empereur Napoléon 1er qui instaura le « concordat » par lequel il mettait fin aux conflits religieux chrétiens opposant les protestants aux catholiques. Un temps de paix religieuse va ainsi se prolonger, dans le seul christianisme, jusqu’au temps de la fin du monde.

------------

Deuxième bête ou deuxième intolérance chrétienne

Selon Apocalypse 13 : 11, cette seconde bête « qui monte de la terre » nous suggère, subtilement, qu’elle est sortie de la première qui l’a précédée. En effet, la première était « montée de la mer ». Or, dans le récit de la création de la terre, selon Genèse 1 : 9-10, « la terre soit, le sec, est sortie de la mer ». Je précise, ici, que la recherche du sens que Dieu donne au mot « terre », dans le livre de la Genèse, est lourdement suggérée par l’Esprit, par son insistance sur la notion « de début et de fin » citée sous plusieurs formes dans Apocalypse 1 : 8-18 et 22 : 13. Or, le premier livre de la Bible commence par l’expression, « Au commencement ». Après ce raisonnement, ce seul détail, fondé sur la sortie de la seconde « bête » de la première, me permet de désigner la foi protestante, sortie de la foi catholique au 16ème siècle, comme étant bien le régime ciblé par l’Esprit de vérité. De nombreuses preuves vont renforcer cette interprétation. Mais sachez que, si cette « bête » ne persécute pas encore, c’est uniquement parce que le temps où elle doit le faire n’est pas encore arrivé.

Notre époque a ceci de particulier, qu’elle est située entre deux messages divins prophétisés. Le premier est derrière nous, déjà accompli ; le second est devant nous et il reste à s’accomplir. De la sorte, notre foi sur l’avenir dépend de notre conviction sur l’interprétation et la compréhension que nous avons des messages concernant le passé. La révélation divine se présente alors à nous comme un long train qui ne s’arrête qu’au début et à la fin de son parcours. On ne peut monter pendant qu’il roule. C’est cette nécessité d’étudier la prophétie, du début jusqu’à sa fin, qui conduit l’Esprit inspirateur de la prophétie Apocalypse à se présenter sous les termes « l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le début et la fin ».

Il nous reste à découvrir et à établir clairement les raisons qui, selon Apocalypse 13 : 11, vont justifier que la foi protestante, imagée par un « agneau » pour le seul temps de sa naissance, finira par « parler comme le dragon » soit, en foi protestante intolérante diabolique. Cette idée dérange les convictions, des multitudes de croyants, qui acceptent les remises en cause, quand elles concernent les autres mais les rejettent quand elles les concernent eux-mêmes. La foi protestante suppose, pour ses adeptes, une sécurité spirituelle en ce qu’elle est une réforme sortie de la foi catholique. Ce raisonnement convenait entre l500 environ et 1844 mais, depuis cette dernière date, la remise en cause, par Dieu, de la foi protestante héritée est confirmée et authentifiée par une annonce prophétisée dans la sainte Bible. Nous la trouvons dans Daniel 8 : 14. Elle est là, l’unique clé proposée, par Dieu, pour comprendre la lente et progressive transformation de la foi protestante, de l’image d’un « agneau » à celle du « dragon ».

Je le dis et le répète, l’évolution de la relation entre l’humain chrétien et son Dieu repose entièrement sur ce seul verset. Avant de le citer, je vous rappelle que Dieu dirige souverainement toute chose et parmi ces choses, l’usage de sa sainte Bible, sa parole écrite. Je suis en mesure de vous dire, que ce verset si important a été, premièrement, mal traduit, afin d’en permettre une première interprétation et ceci, par volonté divine.  

La première forme devait permettre de croire à un possible retour de Jésus-Christ pour l’année 1844, désignée comme terme des 2300 jours années cités dans le verset :

« Jusqu’à deux mille trois cents soirs et matins, puis le sanctuaire sera purifié ».

Sous cette traduction, William Miller, instrument choisi par Dieu, a annoncé le retour de Jésus-Christ pour l’année 1844. Ne retenant que l’intérêt et la joie manifestés par les adeptes du mouvement de réveil religieux créé, Dieu a béni et mis à part ceux qui l’ont, par leurs œuvres, ainsi glorifié et ils sont devenus les pionniers de ce qu’il convient d’appeler « la foi adventiste » ; « adventus », en latin, signifie avènement, celui de Jésus-Christ. En signe de leur sanctification divine, l’esprit de vérité leur a fait découvrir et adopter le vrai respect du quatrième commandement. Celui-ci concerne la pratique du repos du sabbat, dans le véritable septième jour, qui est le samedi déjà observé par les juifs et les premiers chrétiens et non, le dimanche établi par Rome depuis 321. Encore très éloignés du temps du véritable retour du Christ, ces chrétiens sélectionnés ont logiquement, partiellement, mal interprété les prophéties de Daniel et Apocalypse. Mais selon Daniel 12 : 10, la compréhension de la prophétie sera progressive jusqu’au temps de la fin, choisi souverainement par Dieu. Au temps marqué, cette fois par la prophétie de l’Apocalypse soit, 1994, un nouvel usage de ce verset a été rendu possible en me permettant, à mon tour, en instrument de Dieu, de  découvrir les erreurs de la mauvaise traduction de Daniel 8 : 14. Le verset apparaît ainsi :

« Jusqu’à, soir matin, deux mille trois cents et sera justifiée, la sainteté » (ou, ce qui est sainteté).

La précision et le respect du texte hébreu original m’oblige à présenter ce texte sous cette forme peu littéraire. Cette phrase repose sur une construction de subtilités spirituelles que je détaille dans le document appelé « ABC d’ère », disponible sur ce site : « petit-livre-ouvert.com ». Vous y découvrirez comment la foi adventiste a été testée et éprouvée, par Dieu, entre 1980 et 1994. A cette dernière date, le refus officiel d’un message divin, visant à mettre à jour l’interprétation des prophéties, a marqué la fin de l’approbation de Dieu pour l’institution, uniquement, représentant officiellement jusque-là, la foi adventiste sur la terre. Mais je vous présente, sur ce site, ce message actualisé, inspiré continuellement par le Dieu de vérité, révélé en Jésus-Christ. La foi adventiste n’est donc pas morte. Elle subsiste par ceux chez qui Dieu a attesté la conformité avec les pionniers de l’œuvre adventiste soit, l’intérêt profond pour la prophétie divine révélée. Signe de sa condamnation divine, dès 1995, l’église adventiste officielle est entrée dans l’alliance œcuménique, rejoignant ainsi le camp des églises déchues, tour à tour condamnées par Dieu.

Je rappelle ici, qu’au 16ème siècle, les croyants protestants ont su condamner les transgressions des commandements de Dieu instaurées par la religion catholique. Mais à cette époque, ils n’ont pas relevé la transgression du sabbat, objet du quatrième de ses dix commandements. Si la transgression du second commandement, carrément supprimé dans la version catholique, était et continue à être répréhensible, appliquer au premier jour de la semaine, la sanctification, réservée au septième jour par Dieu, l’est tout autant. Un changement dans la pratique religieuse des élus de Jésus-Christ devenait nécessaire et Dieu l’exige depuis le 22 Octobre 1844, date du décret de Daniel 8 : 14.

Ainsi, le cheminement de notre réflexion nous ramène vers la foi protestante et je vous propose de relever les éléments révélant la malédiction qui est venue la frapper, à partir de 1844. La foi protestante a un fief universel ; le territoire des USA. Ces états américains se sont unis sur des bases religieuses communes et le président de la nation s’engage en posant sa main sur la sainte Bible. Jusqu’en 1844, des immigrants viennent s’installer sur ce nouveau continent où ils commercent avec les véritables « américains », les hommes à la peau rouge, faussement appelés « les indiens » à cause de la croyance, momentanée, d’une arrivée sur la terre de l’Inde. Nous devons retenir que la terre des USA a été, avant toute autre chose, une terre d’exil. Les premiers arrivants européens étaient des chrétiens réformés, exilés par les puissances catholiques et anglicanes européennes. Ils sont arrivés sur le « Mayflowers » et se sont installés sur cette « terre promise », nouvelle Canaan, offerte au peuple opprimé de Dieu.

Les malheurs vont s’abattre sur les USA après 1844. Successivement, la découverte de l’or dans les montagnes rocheuses va engendrer le massacre de l’homme rouge. Cette découverte de l’or porte des conséquences jusqu’en notre époque. En effet, elle justifie le caractère de l’américain moderne. L’or des rocheuses a attiré, vers les USA, des multitudes qui avaient toutes un caractère commun ; le goût du risque. Il s’est produit une sélection parmi les hommes car, le départ pour l’Amérique était associé au danger extrême et nul n’était en mesure d’assurer qu’il n’y perdrait pas sa vie. C’est ce qui explique la différence que chacun peut encore, aujourd’hui, relever entre le caractère type de l’américain et celui de l’européen. Les différences s’estompent, progressivement, depuis qu’un long temps de paix, débuté en 1945, a placé les USA en vainqueurs et libérateurs de l’Europe dévastée. La paix a été favorable aux échanges commerciaux, aux voyages touristiques et, avec le développement de la technologie, les hommes se déplacent d’une nation à l’autre, s’y installent, les peuples se mélangent et gagnent en uniformité. Dans le camp occidental chrétien, cette ressemblance donne l’impression d’une nouvelle « tour de Babel ».

Mais après 1844, un deuxième malheur, terrible, est venu ensanglanter les USA ; la guerre fratricide de « sécession ». Le motif de cette guerre n’est pas honteux, en lui-même, puisque les nordistes veulent imposer l’abolition de l’esclavage aux sudistes. Des multitudes vont cependant mourir dans les deux camps, ce qui constitue un signe de malédiction divine.

Après ce bain de sang, la foi religieuse subit les attaques des manifestations du « spiritisme » et beaucoup de croyants vont, dès lors, croire solidement au dogme de l’immortalité de l’âme, trompés par les esprits séducteurs des anges démoniaques. La foi chrétienne est également victime des théories évolutionnistes présentées par Darwin. Le modèle américain est maintenant prêt et il faudra simplement attendre deux guerres mondiales centrées sur l’Europe, pour qu’il s’applique aux peuples européens. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, la puissance américaine a converti les européens à sa culture, son cinéma, son style de vie et sa conception de la vie sociale. La France a été le pays qui aura résisté le plus longtemps à sa domination culturelle. Mais ce n’est pas le cas en matière économique. Et ce dernier point est à l’origine de la crise précisément économique citée par tous les médias en écrits, en sons et en images. Le modèle économique du camp occidental est celui que l’Amérique a pu imposer au titre de libérateur de l’Europe. L’Allemagne, longtemps occupée après la défaite par les vainqueurs américains, a été nourrie de culture économique américaine. L’Angleterre est restée indépendante, enrichie par sa politique coloniale source du système capitaliste.

Mais sommes-nous réellement victimes d’une crise économique ? Ce que je veux dire, c’est ceci : le drame que nous subissons, convient-il de lui donner le nom de crise ? Les hommes ont pour habitude de considérer une crise comme étant une situation passagère dans l’attente de son règlement. Or, je dénie à la situation actuelle, le nom de crise, car averti par la parole prophétique divine, je sais qu’il n’y aura pas de règlement au drame économique qui nous étreint et nous étrangle chaque jour davantage. Je ne fais en cela pas preuve de pessimisme et n’en appelle pas non plus à plus d’optimisme. La connaissance du projet préparé par Dieu me contraint au réalisme. Devant nous, est le pire. Une troisième guerre mondiale est annoncée en plusieurs fois dans la sainte Bible, de manières différentes et complémentaires. De plus, pourquoi appeler « crise » ce qui était parfaitement prévisible ? Ce que nous subissons, n’est-ce pas tout simplement la conséquence des choix politiques et économiques faits par les dirigeants nationaux des quarante dernières années ? Concernant spécialement la France, son déclin ne doit-il pas être rattaché à l’année 1974 en laquelle pour la première fois ce pays s’est endetté ? Et cette dette n’a fait que croître, car l’emprunt restait, pour tous les gouvernements qui se sont succédés, le seul moyen de boucler le budget national. En effet, les recettes diminuaient alors que les dépenses augmentaient. Est-ce un hasard si cette même année est celle où la France a commencé à abandonner sa totale souveraineté en faveur de l’alliance « du marché commun », dans laquelle elle s’est liée les mains pour obéir aux directives adoptées par six pays, économiquement et politiquement, très différents ? Jusque-là, dans un équilibre social entre USA et URSS, notre pays a été dirigé dans une politique de plus en plus favorable aux USA. Progressivement, le parti communiste va régresser au profit du parti socialiste. Ne faut-il pas en déduire que les français sombrent, lentement mais sûrement, dans l’individualisme et l’égoïsme. Les idées sociales perdent progressivement le soutien du peuple. Avantagés par le grand développement industriel et technique, les cœurs et les esprits des ouvriers s’endurcissent. Ils seront de moins en moins solidaires.

Pour arriver à leurs fins les agents du capitalisme ont exploité, habilement, la sensibilité des masses aux idées humanistes. On en a appelé à une solidarité avec les peuples du tiers-monde. On a fait vibrer les cœurs à la perspective, d’une entente universelle, d’une réunion des hommes, de tout peuple, de toute nation et de toute langue. Mais depuis quand le riche capitaliste s’inquiète-t-il de la misère des peuples ? Lui qui dévore, assèche, et s’en va vers une nouvelle proie.

Les peuples ont été dupés, trompés par l’évolution du temps qui a favorisé les riches possédants au détriment des pauvres. Ne faudrait-il pas, alors, regarder le principe capitaliste responsable de l’organisation économique de notre époque pour ce qu’il est véritablement ? Une sorte de cancer au sein de l’humanité et l’image n’a rien d’exagéré. Jugez plutôt. Que fait le capitaliste ? Pour investir son argent, il cherche sur la terre le lieu, l’organisation, l’entreprise, où l’homme accepte de travailler pour le moins cher possible ; ensuite il vendra le produit de ce travail le plus cher possible à ceux qui ont encore la possibilité d’acheter au prix exigé. La preuve de ces choses est dans l’actualité et se traduit par les délocalisations vers des pays au niveau toujours plus bas. L’acceptation du libre échange, voulu par les USA, est une folie suicidaire pour les peuples européens, dont le haut niveau de vie actuel les rend incapables de retenir leurs emplois qui se délocalisent, systématiquement, vers des pays inférieurs. Or le pouvoir d’achat n’est pas illimité ? Si on vide sa bourse sans l’alimenter, la ruine survient et avec elle, tous les drames humanitaires qui se règlent par des guerres civiles, religieuses, politiques et vont aboutir à terme au troisième conflit universel programmé par le grand Dieu créateur.

Tel un cancer qui dévore l’une après l’autre les cellules du corps humain, la cupidité aveugle des capitalistes de notre monde détruit, sans s’inquiéter des conséquences, des peuples et des nations qui constituent pour un temps la source de leur enrichissement. On comprend alors que ce principe conduit l’humanité vers le pire. Aveuglés par la cupidité, ces capitalistes scient la branche sur laquelle ils sont eux-mêmes assis. Qui peut dans cette perspective contredire la sainte Bible, parole écrite de Dieu, qui dit (1Tim 6 : 10) : « Car l’amour de l’argent est une racine de tous les maux ... ».  Peut-on encore après cela croire à une bénédiction de l’Amérique conquérante ?

La tentative de l’union européenne est un échec programmé. Victimes de leur rupture avec Dieu, les masses humaines sont manipulées. Pourtant, la Bible nous permet de ne pas nous illusionner sur la nature et le caractère des hommes. La duperie, l’exploitation de la faiblesse sont dans son naturel. C’est pourquoi, Dieu nous dit par le prophète Daniel (2 : 43) : « Tu as vu le fer mêlé avec l’argile, parce qu’ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l’un à l’autre, de même que le fer ne s’allie point avec l’argile ».

Regardons, de plus près, l’alliance européenne réalisée uniquement afin de faire tomber les oppositions faites au capitalisme américain. Les accords du GAT témoignent des avantages qu’ils ont pu tirer de l’alliance européenne. La France s’est engagée à acheter aux américains des produits céréaliers qu’elle aurait pu produire, ce qui la contraint à laisser des parties de ses propres territoires productifs en jachères.

Les alliés européens exploitent tous, la faiblesse de la France, qui revendique être à l’origine du statut des droits de l’homme. Alors que de manière louable, elle se refuse à abandonner son caractère social, elle fait alliance avec des peuples qui n’ont pas les mêmes scrupules. Comment remporter des marchés avec un tel handicap ? Depuis le commencement du « marché commun » dans lequel elle est entrée sous ses propres conditions, l’Angleterre a pu prospérer en inondant le marché européen de ses productions délocalisées à Hong-Kong et à Taïwan. Plus tard, au passage à la monnaie commune, elle a résisté et a conservé sa monnaie nationale : la livre. N’ayant pas imposé un salaire minimum sur son sol, elle trouve chez elle, la main d’œuvre étrangère qu’elle accueille et peut exploiter, sans avoir besoin de continuer à délocaliser. Dans une moindre mesure, l’Allemagne, nourrie par l’Amérique victorieuse, a été la première à exploiter les différences de niveau de vie des pays alliés. L’entrée du Portugal dans l’alliance lui a permis d’exploiter ses travailleurs et de vendre sur le marché interne européen à des prix bas une production que les salaires allemands ne permettaient pas. Et puis, comme le veut le dicton : « chassez le naturel, il revient au galop ». Avant l’alliance européenne, l’Allemagne jouissait déjà d’un prestige technique universel. Son génie technique est apparu dans son armement pendant la seconde guerre mondiale ; une écrasante supériorité. Au sein de l’alliance européenne, elle jouit encore de ce prestige et contribue d’une manière perverse à notre affaiblissement. En effet, elle s’enrichit en construisant les outils de production utilisés par la Chine que personne ne peut concurrencer et qui nous ruine. Comment s’étonner dès lors de sa réussite ? Ce n’est pas sans raison que l’alliance européenne, débutée à six, se retrouve aujourd’hui à vingt-sept pays. Au fur et à mesure de la croissance des premiers « entrants », il fallait faire « entrer », dans l’alliance, de nouveaux pays pour exploiter leur main d’œuvre encore moins chère. Et il se passe la même chose sur toute la planète, puisque la Chine, elle-même, se met à délocaliser vers l’Afrique pour les mêmes raisons. L’esclavage est aujourd’hui économique et le marché mondial libéré accentue et creuse chaque jour, plus profondément, l’écart entre les plus riches et les plus pauvres de la terre ; et ceci jusqu’à l’explosion programmée par Dieu.

L’alliance européenne est une malédiction. Jugez-en vous-mêmes. A la télévision, dans un reportage, un commissaire européen proposait à un patron français de délocaliser le siège de son entreprise au Portugal afin, disait-il, de réduire ses charges de 30 à 40 %. Très logiquement, le patron français lui dit : « mais ce n’est pas bon pour la France ! ». Le commissaire lui répond : « Non, mais c’est bon pour l’Europe ». Ainsi, l’Europe s’est construite au détriment de la France et c’est bien la situation que chacun peut aujourd’hui tristement constater. A partir de 1974, les différents secteurs économiques, ont été attaqués et détruits successivement ; en premier le textile et on n’a pas relevé, à l’époque, le moindre signe de solidarité dans le camp des travailleurs. Soyez sans illusion, le redressement économique est impossible. Si la France ne s’est pas encore totalement écroulée, c’est uniquement par le moyen de l’endettement dont les chefs d’état successifs ont, tour à tour, usé et abusé pour boucler le budget national. Depuis 2007, ce problème est pris en compte, mais comment payer ses dettes quand on ne produit plus pour vendre suffisamment et que le dernier président a alourdi de son tiers soit, 600 Milliards d’Euro, celle de la France en cinq ans ? Le chaos est bien devant nous. Le commerce intérieur est basé sur une production étrangère essentiellement chinoise. Ce type de commerce enrichit donc, avec la Chine, quelques revendeurs étrangers et nationaux au détriment des travailleurs du peuple mis au chômage, étant, eux, beaucoup plus nombreux.

L’immigration, supportable dans un pays prospère, se transforme en malédiction quand ce pays entre en crise économique. Je rappelle que l’immigration africaine et nord-africaine a été encouragée, réclamée et obtenue en 1976 par le patronat français, afin de concurrencer, sur son sol, la main d’œuvre ouvrière locale. Ce n’est pas l’amour de la France qui a poussé des masses à venir se réfugier chez ceux qui les ont longtemps colonisées. C’est la famine, la ruine, l’échec économique de leur indépendance et le simple instinct de conservation. Notre pays de France va bientôt découvrir la véritable nature de la relation établie entre les colons et les anciens colonisés. Un pays qui ne se construit pas sur l’amour de la nation est comme une bombe à retardement qui sera dégoupillée par Dieu au temps choisi par lui. Les vieilles haines ancestrales seront alors réveillées et exacerbées et l’apparent ami d’un jour apparaîtra comme l’ennemi le plus acharné.

Il est trop tard pour qu’un bulletin de vote vienne inverser la situation. Ni le changement d’homme, ni le changement de parti politique ne peuvent rattraper la destruction économique réalisée sur près de quarante années de manière progressive et continue.

Il faut se souvenir d’où nous venons. La France a été sauvée par deux hommes aux choix opposés au moment de la seconde guerre mondiale. Si le maréchal Pétain a sauvé le pays d’un désastre militaire en cédant à l’Allemagne, de son côté, le général De Gaulle a sauvé son honneur. Ensuite dans la difficulté pour arriver à mettre fin au régime colonial, la quatrième république a été remplacée par la cinquième taillée à la mesure exclusive du général De Gaulle, homme d’une grande probité. Cette cinquième république n’est en fait qu’une dictature dans laquelle premièrement tous les sept ans, puis plus récemment tous les cinq ans, le peuple choisit son dictateur. Et arrive 1973 où commencent tous nos  problèmes, une véritable année du malheur qui coïncide avec la mort prématurée du président Pompidou. En 1974, c’est le choc pétrolier qui provoque une augmentation de 40% du coût de la vie. Et c’est le futur désastre européen qui est engagé avec le président V.G.E. qui favorise une politique d’immigration. A partir de ce moment l’endettement de la France ne fera que croître.

Depuis 40 ans, les hommes politiques ont menti aux masses populaires car, il leur était impossible de présenter clairement la situation réelle. Il n’est pas certain que tous en ont été conscients, car chacun compte sur quelqu’un d’autre pour redresser la situation. Exemple, l’homme politique compte sur le génie inventif des équipes des industriels pour produire une richesse exclusive que la Chine ne pourrait pas concurrencer. Mais en vérité dans le même temps, les industriels placent leur espérance dans les hommes politiques pour qu’ils allègent leurs différentes charges. Mais quand bien même ils obtiendraient la suppression de toutes leurs charges, jusqu’à diminuer de moitié le prix de revient de leurs productions, pourraient-ils concurrencer les salaires chinois dix fois, voire davantage, inférieurs aux tarifs de la main d’œuvre des pays riches européens ? De plus, victimes de la situation, les travailleurs français réclament des augmentations de salaire, alors que leurs salaires actuels empêchent l’exportation et freinent la vente locale de leur production. Dans la jungle du commerce international le gagnant sera toujours le moins cher. Le perdant est donc le plus cher, le plus social, le plus accueillant envers les miséreux de la planète. Et la situation étant sans remède, l’heure n’est plus à se demander, « que faut-il faire ? », mais plutôt, « qu’aurions-nous dû pas faire ? »

Sous  l’apparence séductrice du « progrès », l’humanité, dirigée par l’idéologie capitaliste, est revenue en arrière, en établissant les conditions du moyen-âge, tant les écarts de niveau de vie entre riches et pauvres se sont creusés. Il y a sur notre terre, en fin 2013, de nouveaux seigneurs qui exploitent les nouveaux serfs et les esclaves.

« Les conseilleurs ne sont pas les payeurs », dit le dicton. Il sera cette fois démenti. Car les conseillers économiques, favorables à l’économie de marché proposée par l’Amérique, subiront, comme le reste des hommes, la destruction annoncée. Pour l’heure, on les entend, sur les médias, défendre le droit des riches qui profitent de la situation pour exiger des abaissements de charges et des droits encore plus avantageux pour eux. Cette société est monstrueuse parce qu’elle s’est coupée du Dieu amour.

En dernière heure, je relève dans l’actualité un fait qui va tromper les nations européennes. La chancelière de l’Allemagne, réélue, vient d’accepter un compromis pour former avec le SPD, le parti socialiste allemand, un gouvernement avec son parti CDU soit, la droite. Dans la corbeille des noces, la chancelière accepte l’instauration d’un SMIC, salaire minimum pour les travailleurs allemands… Hélas, l’application de ce SMIC est prévue pour 2017. La mesure prise n’aura une incidence, sur la concurrence avec les autres pays européens, dont la France, au plus tôt, qu’en 2018 soit, dans environ 5 années. Il reste à savoir si notre pays, à bout de souffle, peu tenir jusqu’à cette date, sans explosion populaire. Et une fois de plus cette fausse espérance offerte par l’Allemagne fait oublier que c’est l’invasion des produits chinois, et non allemands, qui supprime nos productions françaises et les emplois qu’elles utilisaient. Cette fausse espérance va donc renforcer l’alliance européenne jusqu’au moment du drame annoncé. Tout est fait pour entretenir l’espoir d’une relance économique qui ne reviendra jamais.

La destruction de la prospérité a été si longue et progressive, qu’il est impossible désormais de redresser la barre, telle l’histoire dramatique du Titanic en 1912. L’inertie du navire va le précipiter contre l’iceberg. Il va faire naufrage entrainant dans la mort une grande partie de ses passagers et de son équipage.  

Toutes ces explications ont un seul but, vous amener sur le pont du Titanic où vous tournerez votre âme vers Dieu, occupant les derniers instants de votre vie à rechercher les manières de lui plaire afin qu’il la sauve. Mais je le rappelle, Dieu n’attend pas les cantiques, ni les prières qui lui sont désagréables quand ils n’émanent pas de ses élus. Et ce n’est pas sans raison que nous lisons dans Proverbes 28 : 9 : « Si quelqu’un détourne l’oreille pour ne pas écouter la loi, sa prière même est une abomination ».

------------

Les démocraties chrétiennes du temps de la fin

Dieu avait une bonne raison de laisser les nations chrétiennes s’organiser en démocraties depuis 1844 et jusqu’à la fin du monde. Tous les peuples chrétiens ont adopté ce type de régime, même l’Angleterre dont le gouvernement est une monarchie parlementaire. L’intérêt des régimes démocrates est d’accorder aux hommes, aux femmes et même aux enfants, une liberté maximale dans laquelle chacun affiche, sans crainte, sa véritable nature. Le voleur, le menteur, le meurtrier et l’abominable, assument pleinement leurs œuvres au nom même de leur liberté. C’est nécessaire, car de la sorte, les anges fidèles, qui assistent Dieu dans sa gouvernance universelle et qui n’ont pas, comme lui, la faculté de sonder les cœurs et les reins, ni les pensées cachées humaines, peuvent en connaissance de cause approuver le jugement de Dieu. Nos sociétés abominables actuelles se révèlent aux regards invisibles du ciel, telles qu’elles sont ; elles constituent, Amérique en tête, les nouveaux « marchands du temple ». C’est à ce titre que le jugement divin de la « sixième trompette », que constitue la troisième guerre mondiale, vient pour les détruire. De la même manière, au temps d’Abraham, les habitants des villes Sodome et Gomorrhe, qui commettaient des abominations sans frein, furent détruits par le feu du ciel désintégrateur, quand la patience de Dieu a pris fin.

En permettant aux hommes d’afficher librement leurs œuvres, Dieu apporte une démonstration de sa réalité. L’organisation établie vient confirmer le sens des saintes écritures révélées. Car l’expression  « je connais tes œuvres » est répétée avec insistance (Ap.2 : 2 ; Ap.3 : 15 ; etc.) dans sa « révélation » plus connue sous le nom Apocalypse. Il y révèle le principe de son jugement, en disant, (Ap.20 : 13) : « chacun fut jugé selon ses œuvres » ; d’où l’importance de l’affichage des œuvres des hommes en notre époque. Et pour sa part, l’apôtre Paul nous rappelle dans 1Cor. 4 : 9, que « nous sommes en spectacle au monde et aux anges ». Et le tableau qui leur est présenté aujourd’hui n’est pas glorieux pour le Dieu créateur. La société occidentale, principalement ciblée parce qu’elle est dite « chrétienne », est gangrenée par le mal légitimé.

La réaction des êtres humains, placés face à la crise économique, nous permet de prévoir leur comportement futur, quand la colère de Dieu s’abattra sur eux. Comme le font les économistes coupables aujourd’hui, les représentants des religions rebelles chercheront dans le camp des serviteurs de Dieu, les plus fidèles et les plus irréprochables, les responsables de leur malheur, et aveuglément les masses humaines survivantes avaleront leurs injustes explications. Elles ne pourront même pas agir autrement, car leur manque d’amour pour la vérité divine, les aura livrées définitivement au camp satanique du mensonge, pour leur destruction. Pour des multitudes, dont Dieu seul connaît les noms, il est déjà trop tard ; elles ont choisi sans le savoir le camp des « ténèbres » qu’elles appellent « lumière ».

Dans une telle situation qui va, uniquement, s’intensifier rapidement et s’aggraver avec le temps, au point d’égaler celle qui caractérisait Sodome et Gomorrhe, la seule chose à faire est de rechercher, individuellement, l’approbation et la protection de Dieu, en qui la puissance se trouve, avec la capacité d’offrir à ses élus, la vie éternelle qu’il leur offre au nom de Jésus-Christ.

-------------

- Fin du message -

-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-