Pict-005.pngPict-006.pngLa Révélation de la Septième Heure

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Dans la série

Vérités Restaurées - Vérités Restaurées - Vérités Restaurées

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« La connaissance de Dieu »

Jésus a déclaré (Jean 17 : 3) : « Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ».

Ce verset le prouve, pour pouvoir hériter de la vie éternelle, nous devons, au préalable, apprendre à connaître Celui qui la propose : le grand Dieu créateur, législateur et rédempteur soit, Celui qui rachète l’âme pécheresse. Ces trois critères présentent Dieu comme Père, Juge et substitut en victime expiatoire.

Le verbe fondamental de cette étude, « connaître », signifie étymologiquement : « naître avec ». La Bible l’utilise, dès la Genèse, pour évoquer l’accouplement d’Adam et Eve (Ge.4 : 1) « Adam connut Eve, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit : j’ai formé un homme avec l’aide de l’Eternel ». Ils devenaient ainsi « une seule chair » selon l’annonce divine (Ge.2 : 24) : « C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair ».

Dans ce premier emploi biblique du verbe « connaître », Dieu nous révèle le sens qu’il lui donne : une fusion de deux âmes, deux esprits, deux pensées qui ne font plus qu’un.

Ecoutons la prière de Jésus-Christ qui intercède dans ce même objectif pour ses élus (Jean 17 : 21 à 23) : « ... afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu’eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m’as envoyé.  Je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient un comme nous sommes un, moi en eux, et toi en moi, afin qu’ils soient parfaitement un, et que le monde connaisse que tu m’as envoyé et que tu les as aimés comme tu m’as aimé ».

Les dernières paroles de ce verset évoquent l’amour de Dieu pour ses élus en Christ. Nous relevons, ainsi, le caractère prophétique de la fusion charnelle d’Adam et Eve, image du Christ et de l’Eglise et de leur fusion spirituelle, programmée et souhaitée par Dieu, selon 1 Cor.1 : 10 : « Je vous exhorte, frères, par le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, à tenir tous un même langage, et à ne point avoir de divisions parmi vous, mais à être parfaitement unis dans un même esprit et dans un même sentiment ».

Le souhait de Jésus est simplement que le type de relation fusionnelle qui l’unit au Père, le Dieu esprit créateur, se prolonge après son ministère avec ses disciples. Car Jésus vit une vie d’homme tout comme nous et, pendant son temps terrestre, il dépend, comme nous, de sa communion avec l’Esprit divin. La puissance qui l’accompagne, dans son œuvre, est obtenue par sa parfaite union de pensée et d’action avec la norme établie par Dieu. Jésus nous laisse ainsi un message : « Vivez comme j’ai vécu et vous vivrez ce que j’ai vécu ». Notre problème, est notre expérience du péché auquel notre vie s’est habituée, contrairement à Jésus qui, lui, a toujours résisté jusqu’à la fin de sa vie terrestre. Mais, avec la grâce, qu’Il nous accorde en Christ, l’Esprit saint nous encourage et nous exhorte à reprendre la lutte jusqu’à l’obtention de la victoire. Nous perdons des batailles mais sortirons vainqueur de la guerre avec son aide.

L’idée de « naître avec » est soulignée par l’Esprit qui déclare, par la bouche de Jean (1 Jean 3 : 9) : « Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui ; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu ».

A la lumière de ce verset, il apparaît, très clairement, que celui qui se réclame de Jésus-Christ doit résister au péché qui est la transgression de la loi divine, selon 1 Jean 3 : 4. Le vrai serviteur de Dieu, soucieux de plaire à son Père céleste, refusera donc de suivre les hommes et les doctrines qui font choix de glorifier les transgressions des commandements et des lois établis par le grand Dieu créateur. Mais, en 2013, qui se soucie de cela, alors que depuis des siècles, le péché est adopté, accepté et enraciné dans la pratique religieuse chrétienne ? La pratique respectueuse, du vrai sabbat du septième jour, abandonnée depuis l’année 321 de notre ère, au profit du dimanche imposé par l’empereur Constantin sous le nom de « jour du soleil », ne constitue-t-elle pas un péché inacceptable, durablement, pour Dieu ? Pourquoi ce commandement du décalogue, le quatrième, est-il considéré comme ayant moins d’importance que les neuf autres ? Dieu, qui a créé et organisé l’ordre de la semaine, peut-il accepter de voir son septième jour, sanctifié au repos, être déplacé sur le premier jour dédié, par lui, avec les cinq suivants aux activités profanes de l’être humain ? La sanctification du septième jour a pour but de faire du sabbat, chaque semaine, le jour d’une rencontre exceptionnelle entre Dieu et sa créature soit, un jour de religion (latin = religare = relier) où l’esprit humain et l’Esprit divin se relient et communient ensemble. Pouvez-vous, sainement, choisir de manquer ce rendez-vous d’amour fixé par Dieu pour ses élus de toute l’histoire humaine, depuis Adam jusqu’à la fin du temps de grâce ?

Ceux qui acceptent et légitiment cette situation de péché ne connaissent visiblement pas leur Dieu et, en conséquence, ils n’obtiendront jamais la vie éternelle.

Jésus a parlé à Nicodème de la nouvelle naissance (Jean 3 : 3 à 8) : « Jésus lui répondit : en vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Nicodème lui dit : comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ? Jésus répondit : en vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est esprit. Ne t’étonne pas que je t’aie dit : il faut que vous naissiez de nouveau. Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit ; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit ».

Jésus compare ici l’Esprit de Dieu au souffle du vent ; les deux sont invisibles mais on les identifie par leurs effets. De plus, le vent, comme l’Esprit, occupe tout l’espace. Jésus sait combien il est difficile, pour un être humain limité par ses caractéristiques, d’appréhender l’état et la nature de la divinité illimitée. Il révèle, à Nicodème, ce dont l’homme doit se contenter ; savoir que Dieu se voit dans l’action et que là, où il passe, des effets seront constatés. L’Esprit va faire le ménage et s’employer à nettoyer l’âme de ses souillures. Ce sera la condition de la cohabitation entre l’élu et Dieu. Or, la souillure détestée par Dieu c’est le péché, aussi Dieu va-t-il  réconcilier son hôte avec ses lois et ses commandements.

Il faut « naître d’eau et d’Esprit » a dit Jésus.

L’eau jouera un rôle avec le baptême par lequel l’appelé signe son alliance avec le gouvernement du ciel. Mais cette eau là ne fait pas naître, au contraire, elle fait mourir spirituellement le vieil homme pécheur, ce qui est le but recherché par Dieu. « Naître d’eau » a donc une autre signification. En prophétie, « l’eau » désigne des peuples ou l’enseignement de la Bible, la parole de Dieu. Visiblement, Jésus fait allusion à cet enseignement biblique par lequel la connaissance de Dieu va grandir grâce à l’action du Saint-Esprit. Sans l’aide de Jésus-Christ ressuscité, la lecture de la Bible et sa compréhension resteront stériles. Sans l’approbation et le soutien de Dieu, la Bible n’est rien d’autre qu’un écrit d’hommes. Seul l’Esprit qui l’a inspirée peut l’interpréter correctement et permettre d’en tirer profit.

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Connaître le caractère de Dieu

Beaucoup d’êtres humains s’illusionnent, croyant connaître Dieu parce qu’ils sont engagés religieusement. Cependant, ces personnes trient dans la Bible les passages qui leur plaisent et répondent à leurs désirs. Elles refusent de regarder en face d’autres citations où Dieu se met en colère et prend un aspect terrifiant. Disons simplement qu’elles « refusent de regarder la vérité en face ». Ce n’est pas cela, connaître Dieu. Ce type de comportement équivaut à se construire un faux dieu comme le faisaient, et continuent de le faire, les peuples païens dans leur activité religieuse. Le refus de regarder Dieu sous tous les aspects de sa réalité causera leur perte. Je rappelle, ici, qu’au moment de lui présenter ses dix commandements, Dieu a choisi de se révéler, au peuple hébreu, dans des conditions terrifiantes et il précise : « afin qu’ils gardent ma crainte ». Pensez-vous que cette crainte soit aujourd’hui devenue inutile ? Dieu a-t-il changé pour justifier cela ? N’est-ce pas aux premiers Chrétiens que Paul s’adresse, les exhortant à travailler à leur salut « avec crainte et tremblement, car notre Dieu est aussi un feu dévorant » ? Ces pionniers, de la foi chrétienne, connaissaient l’amour de Dieu aussi bien et mieux que nous, ce qui ne les empêchait pas de conserver une crainte salutaire qui les aidait à ne pas pécher contre ses lois et à lutter contre leur mauvaise nature.

Pour être aujourd’hui agréable au Dieu Sauveur, nous devons reproduire leur comportement. La vie moderne et les progrès techniques ne changent pas la manière dont Dieu nous regarde et nous juge. Car, en ce qui le concerne, il n’a pas changé. Il faut donc que ce soit nous qui changions et nous adaptions à lui car il ne s’adaptera pas à nous.

Ce que les rebelles refusent de regarder en face est pourtant sur le point de s’accomplir. Au cours de l’histoire biblique, les terreurs divines sont apparues à l’heure du déluge qui a anéanti toute l’espèce humaine excepté huit personnes. Puis, dans le temps d’Abraham, le feu divin désintégrateur que nous appelons, aujourd’hui, atomique, a fait disparaître Sodome et Gomorrhe et toutes les créatures vivant dans la vallée fertile qui enrichissait ses habitants. A cet endroit, Dieu a formé la « mer morte » rappelant ainsi aux hommes que le salaire du péché est la mort. Puis ce fut au tour d’Israël quand, lassé par ses péchés, Dieu l’a détruit et a conduit les survivants en déportation à Babylone. Ezéchiel 9 : 4 à 7, présente Dieu dans un aspect de fureur, extrême, exacerbée par l’iniquité de son peuple Israël, en 586 avant notre ère. Il fait néanmoins une distinction entre ceux qui le servent et ceux qui ne le servent pas correctement : « L’Eternel lui dit : passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. Et, à mes oreilles, il dit aux autres : passez après lui dans la ville, et frappez ; que votre œil soit sans pitié, et n’ayez point de miséricorde ! Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n’approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Il leur dit : souillez la maison, et remplissez de morts les parvis ! …  sortez ! …  ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville ».

Cette fureur divine s’est reproduite, pour Jérusalem, en 70 de notre ère où elle a été détruite par les troupes romaines. Au cours de l’ère chrétienne, la colère de Dieu s’est encore exprimée, mais là, le message de la prophétie et son bon décryptage deviennent nécessaires. Prenant l’église de Rome et les peuples européens associés pour cible, des guerres incessantes ont fait périr des multitudes d’hommes, de femmes et d’enfants. Et de temps à autres, les fléaux naturels divins se sont ajoutés, épidémies mortelles, peste, choléra et autres fièvres décimant l’humanité ; et encore aujourd’hui, le cancer et le sida.

Après cette présentation, certains auront peut-être de la difficulté à reconnaître leur Dieu Amour, cependant c’est bien lui qui châtie de la sorte les pécheurs invétérés qui osent défier sa patience. Notez bien que, dans le même temps de ces colères, ses élus sont gardés et préservés dans son amour.

Au milieu des colères divines, les élus partagent son sens de la justice. C’est cela, connaître Dieu, et c’est, uniquement, pour cette sorte de disciples que Jésus a accepté de se laisser crucifier pour expier leur péché. Seule cette véritable connaissance obtiendra la vie éternelle promise en son nom.

Aujourd’hui, une compréhension particulière du projet divin, révélé prophétiquement par Dieu, me conduit à vous prévenir qu’une nouvelle colère, de sa part, vient sur notre génération et de manière imminente. L’humanité va sombrer dans un déferlement de violences jamais atteint et entrainer dans la mort des multitudes humaines. Trois prophéties de la Bible l’annoncent de manière complémentaire ; Daniel 11 : 40 à 45, au titre suggéré de « guerre de Syrie », Ezéchiel 38 et 39, et Apocalypse 9 : 15 à 21, au nom symbolique de « sixième trompette » qui désigne une troisième guerre mondiale tant redoutée mais inévitable.

C’est alors qu’il vous faut mesurer l’avantage de réellement connaître Dieu, car il déclare dans Ap.3 : 10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre ». 

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- Fin du message -

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