Pict-005.pngPict-006.pngLa Révélation de la Septième Heure

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Dans la série

Vérités Restaurées - Vérités Restaurées - Vérités Restaurées

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« Au sujet de la sainte trinité »

Nous ne trouverons nulle part, dans les textes bibliques, ce terme « trinité ». Il revêt cependant une grande importance car il concerne la nature de Dieu.

Ce terme est apparu afin de définir la caractéristique de Dieu à partir de la déclaration de Jésus-Christ que nous pouvons lire dans Matthieu 28 : 18 à 20 : « Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi : tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre.  Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde ».

Ne soyez pas étonnés par l’explication qui va suivre, car le dogme de la sainte « trinité » est un dogme formé par l’église catholique romaine qui, dès son apparition, était porteuse de malédiction dans le projet prophétique révélé par le Dieu vivant, le Créateur. Son caractère charnel justifie son incapacité à suivre Dieu dans ses subtilités spirituelles.

A l’origine de l’église catholique romaine, actuelle, se trouve des païens mal convertis à la foi chrétienne puisqu’ils préférèrent « obéir à l’homme plutôt qu’à Dieu » lorsqu’en 321, l’empereur Constantin 1er, dit le grand, leur imposa l’abandon du sabbat divin, au profit du jour du soleil pour repos hebdomadaire. On relève alors combien la prétention papale à être le successeur de saint Pierre est démentie par les faits. Car, nous trouvons dans Actes 4 : 19-20,  comment dans les mêmes circonstances, en leur temps, les saints apôtres Pierre et Jean avaient répondu aux chefs religieux de Jérusalem : «  Pierre et Jean leur répondirent : jugez s’il est juste, devant Dieu, de vous obéir plutôt qu’à Dieu ; car nous ne pouvons pas ne pas parler de ce que nous avons vu et entendu ».

En résumé, les vrais saints nous disent que « nous devons obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ». Et ceux qui sont d’un autre avis ne profiteront, de la part de Dieu, ni de son Saint-Esprit, ni de la vie éternelle qu’il propose au pécheur véritablement contrit et repentant.

La vérité sur la « trinité »

L’ordre de Jésus-Christ concerne le baptême des appelés d’origine juive ou païenne. Jésus place ainsi le baptême sous l’égide du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Ces trois termes présentent un caractère successif, dans la chronologie du plan du salut, progressivement révélé aux hommes. Il convient donc de définir chacun d’eux.

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Au nom du Père

Tout homme normal, de la descendance d’Adam, sait qu’il est né de l’accouplement de son père et de sa mère. Ce père terrestre est son géniteur, ce qui signifie qu’il transmet « mécaniquement » à son enfant une partie de son patrimoine génétique, le reste des gènes de l’enfant venant, en plus ou moins grande quantité, de sa mère. Mais la présence charnelle, de ce père et de cette mère, ne devrait pas faire oublier qu’ils ne sont, en fait, que les éléments physiques par lesquels Dieu, notre Père céleste suprême, fait se prolonger l’héritage de la vie. Dès le début il avait dit à Adam et Eve : « Croissez et multipliez … ». Un principe mécanique était ainsi mis en route. Ils ont donc commencé à croître et à se multiplier et se sont tellement regardés, entre eux, qu’ils ont perdu Dieu, de vue. Pour les yeux humains, il est facile d’oublier la présence d’un Père invisible. Aussi Dieu doit-il chaque fois, au cours du temps, prendre l’initiative pour rappeler son existence aux hommes.

Après la leçon du déluge, le châtiment divin a fait oublier que Dieu est le Père de l’humanité. Les hommes l’ont placé au même rang que les multiples faux dieux que le diable a su leur inspirer. Honoré par Abraham, il est resté dans le temps de l’ancienne alliance juive, le Dieu « grand et redoutable », mais pas le Père de la vie. Les textes bibliques, de cette ancienne alliance, ne font, eux-mêmes, jamais mention du Dieu esprit créateur comme Père. Un seul texte évoque, cependant prophétiquement, le ministère et la venue d’un Père éternel, admirable et conseiller dans Esaïe 9 : 5 ou 6 (selon version) : « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule ; on l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix ».

Dieu ne nous dit rien sur lui-même mais il nous présente des textes de lois qui révèlent son caractère. Et seuls quelques privilégiés vont comprendre, avant les autres, que Dieu est amour et qu’il fait bon de lui obéir et de le servir. Il faudra attendre le ministère du « Fils » annoncé, pour apprendre, dans Jean 4 : 24, que « Dieu est esprit », mais ce n’est pas une révélation pour l’humanité croyante qui l’avait déjà compris depuis longtemps. En fait, si Jésus en vient à faire cette déclaration, c’est pour faire comprendre que, dans leurs actions, les hommes ne tiennent pas compte que Dieu est Esprit. Ils le prouvent en lui attribuant, de façon exagérée, des lieux religieux qu’ils honorent sur la terre. Notre Père céleste est donc un esprit invisible, créateur, auquel rien n’est impossible, car il fixe lui-même les limites aux choses et à ses créatures.

Si le baptême est placé sous l’égide du nom du Père, c’est que le baptisé reconnaît sa dépendance totale du Dieu esprit, le créateur de sa vie et de toutes les autres formes de vie. Au nom du Père, il reconnaît la Bible entière comme parole de Dieu et doit s’y soumettre, sachant que son bonheur terrestre et son adoption céleste en dépendent. C’est dans ce but que, selon Actes 15 : 21, les nouveaux convertis seront dirigés, chaque sabbat, vers des synagogues juives où ils recevront l’enseignement de la loi de Moïse, les bases fondamentales indispensables, de la révélation divine, qui concernent les cinq premiers livres de l’ancienne alliance. « Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu’on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues ».

Je dois rappeler ici, que le mot « Père » est, au sens spirituel, exclusivement réservé à notre Père céleste, notre unique et tout-puissant Dieu créateur. Jésus en a fait un ordre selon Matthieu 23 : 9 : « Et n’appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux ». Confirmant mes propos précédents, chacun peut constater l’indifférence, de la foi catholique romaine, à cet ordre du Seigneur Jésus-Christ, puisqu’elle va jusqu’à appeler « très saint père » son chef terrestre religieux : le pape. De même elle nomme « pères » spirituels tous ses prêtres.

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Au nom du Fils

Esaïe 9 : 5 ou 6 (selon version) a prophétisé : « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule ; on l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix ».

A la lumière de ce verset, une déduction s’impose : le « fils » est lui-même le « Père éternel » et Jésus va clairement confirmer cette situation dans Jean 14 : 9, en répondant à Philippe qui lui demande « fais-nous voir le Père » : « Jésus lui dit : il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père ; comment dis-tu : montre-nous le Père ? ».

Par cette révélation, d’Esaïe 9 : 5 ou 6 (selon version), notre Créateur nous annonce son projet de venir dans une chair humaine sur la terre, ce qu’il réalisera par la naissance miraculeuse de l’enfant Jésus. Ce détail est important, Jésus-Christ n’a pas de père géniteur et son humanité, apparente, repose uniquement sur sa mère, porteuse, que fut la vierge Marie. Ainsi, le projet annoncé, également à Abraham s’accomplissait ; une postérité bénie lui était donnée. De même, pour David, sa lignée recevait le Messie annoncé par les Ecritures.

Pour admettre que le « Fils de Dieu » est aussi le « Père éternel » d’Esaïe 9 : 6, nous devons nous souvenir que pour Dieu rien n’est impossible. Or c’est là, la source de tous les problèmes religieux ; l’homme a, par nature, une énorme difficulté à tenir compte de tout ce qu’implique le fait que pour Dieu rien n’est impossible. Face à ce sujet, l’incrédule préfère rire, quant aux faux croyants, ils considèrent toujours que cette « possibilité divine » a des limites qu’ils établissent, eux-mêmes, selon leur propre avis et leurs critères personnels.

Première leçon à retenir de cette réflexion, la venue de Dieu sur notre terre, sous un aspect faible et charnel, ne doit pas nous faire oublier la nature sévère et juste du Dieu révélé dans l’ancienne alliance car, c’est le même Esprit qui agit.

La faiblesse, apparente, du Christ ne concerne que son aspect charnel car, sous cet aspect trompeur il y a l’esprit, persévérant, du Dieu qui combat pour obtenir sa victoire contre le diable, son adversaire mortel. Le projet consiste à accepter de mourir pour pouvoir racheter les âmes des élus et, finalement, détruire le diable et tous les rebelles : hommes et anges. Mais avant d’accepter la mort, Dieu doit démontrer la possibilité de vivre sans jamais pécher dans une chair humaine. Ayant vécu cette expérience, après sa résurrection, Jésus pourra, divinement, venir en aide à ses disciples dans leur combat quotidien. Et c’est là qu’intervient le Saint-Esprit.

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Au nom du Saint Esprit

Jésus-Christ l’annonce comme étant, « le Consolateur, l’Esprit de vérité qui vous conduira dans toute la vérité ». Il dit encore de lui, dans Jean 16 : 14 : « Il me glorifiera, parce qu’il prendra de ce qui est à moi, et vous l’annoncera ». Si Jésus parle du Saint-Esprit à la troisième personne c’est, uniquement, parce que son action est prophétisée comme une troisième phase de l’action divine. Vous l’avez peut-être relevé, mais, souvent, Jésus parle de lui-même à la troisième personne, exemple : « le Fils de l’homme n’a pas un coin où reposer sa tête … ». L’esprit divin de Jésus se met en retrait par rapport au corps physique qui sera bientôt offert en sacrifice car, cet esprit divin est celui du Père. On assiste également à un paradoxe qui va permettre l’attribution de la foi aux élus. Alors que Jésus se présente toujours au titre de « Fils de l’homme », l’élu, type Pierre, va devoir, lui, reconnaître le titre de « Fils de Dieu ». Mais ne nous y trompons pas, Dieu n’a pas de Fils et ce terme, « fils », s’applique, uniquement, à un corps de chair dans lequel, pour peu de temps, l’Esprit de Dieu a pris place. La vraie foi doit donc identifier « l’homme Jésus-Christ » comme seconde phase du salut des élus. Après cet accomplissement, l’Esprit divin, qui était en Jésus, se manifeste puissamment sous l’égide du Saint-Esprit. Ce nom définit, lui-même, qui il est : l’Esprit, le Saint, qui sanctifie les élus par la vérité. Cette définition va nous permettre de confondre le faux « saint-esprit » présenté par le diable aux croyants infidèles. Dans quelle vérité le vrai Saint-Esprit va-t-il conduire les élus en Christ ? Bien évidemment dans la seule qu’il a toujours enseignée sous le nom du Père et du Fils ; soit, dans l’ancienne et dans la nouvelle sainte alliance. Car la norme de la sainteté reste constante et Paul le confirme en disant dans Romains 7 : 12 : « La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon ». Le véritable Saint-Esprit ne peut donc que convaincre les hommes à l’honorer autant qu’ils le peuvent ; la sainteté étant son critère particulier.

En conclusion, les noms « Père, Fils et Saint-Esprit » représentent trois actions, successivement, engagées, par le Dieu Créateur, pour sauver les saints élus. Entre le temps du Père soit, celui de l’ancienne alliance et celui du Saint-Esprit, pour la nouvelle, s’intercale, comme une parenthèse, le temps du ministère terrestre du « fils » fondateur en victime sainte de la nouvelle alliance. Relevez le fait que jusqu’à sa mort sur la croix, le Messie s’emploie à révéler la justice et l’amour du Père. Ainsi conformément à l’annonce d’Esaïe 9 : 5 ou 6 (selon version), le Père est découvert et révélé dans le ministère du fils prophétisé. Jésus confirme en disant dans Jean 17 : 26 : « Père ... je leur ai fait connaître ton nom ... ».

Le temps, réservé à l’action du Saint-Esprit, s’allonge sur deux millénaires qui s’achèveront, bientôt, par le retour en gloire de notre Seigneur Jésus-Christ. Son nom qui obtient, de manière exclusive, le pardon de Dieu pour les péchés commis, ne doit pas nous faire oublier son retour à son état divin originel. Dans son rôle de Saint-Esprit il condamne encore à mort les transgresseurs de sa sainte loi mais, au nom de la miséricorde, reposant sur la sainte mort du corps appelé Jésus, il vient patiemment en aide aux véritables saints.

Toutefois, ne prenez pas la patience de Dieu pour une action de tolérance de sa part. Le mot « tolérance », pas plus que le mot « trinité », d’ailleurs, n’apparaissent jamais dans les Ecritures. La patience est pour ses saints qui ont compris que ses exigences de sainteté sont justifiées pour pouvoir vivre avec lui, le Dieu trois fois saint, pendant l’éternité. Apocalypse 14 : 12 confirme ce critère : « Ici est la patience des saints ; ici, ceux qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus ».

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Un bien triste constat

Voici que près de 20 siècles se sont écoulés depuis la première venue du Messie sur la terre. Et il suffit de comparer les situations du début et de la fin pour constater une énorme différence de définition et de conception de ce que doit être la foi chrétienne.

Pourquoi relève-t-on cette énorme différence ? Plusieurs raisons l’expliquent :

1-      Au début, la foi chrétienne est persécutée et la sélection qualitative des élus, qui mettent en jeu leur vie dans leur engagement, fonctionne. Alors qu’aujourd’hui, en 2013, l’absence de la persécution fait « s’engager » des êtres mal convertis.

2-      Au début, les convertis bénéficient de l’enseignement des apôtres qui fait autorité ; cela fonctionne jusqu’à la mort de l’apôtre Jean, à la fin du premier siècle de notre ère. Au contraire, le Christianisme, de la fin, est le fruit de multitudes, qui l’enseignent selon leur convenance. Nous sommes dans ce temps annoncé par Paul à Timothée, celui où « les hommes ne supporteront plus la saine doctrine de la vérité, ils se tourneront alors vers les fables, et se donneront des foules de docteurs conformément à leur propre désir ». Ces paroles de Paul ont trouvé, en notre temps, leur accomplissement.

3-      Au début, la foi chrétienne est, majoritairement, représentée par des Juifs de race convertis au messie Jésus. A l’opposé, à la fin de l’ère chrétienne, notre époque, Le christianisme est, presqu’intégralement, représenté par des non juifs.

Des prêtres, puis des pasteurs, légitimes ou auto proclamés, ont prolongé, jusqu’à nous, un enseignement religieux qui frustre Dieu de toutes les manières. Aussi, des multitudes, d’êtres humains trompés, sont entrées dans l’assurance de leur salut. C’est ce que Paul suggère comme le fruit des « fables » qui sont la réponse à « la démangeaison d’entendre des choses agréables ».

Ainsi, des multitudes marchent vers la désillusion finale pour avoir répété, après leurs enseignants : « C’était pour les Juifs, mais pas pour nous qui sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ». C’est là, que ces victimes malheureuses, des mensonges du diable, irritent et attirent la colère de Dieu sur elles. Comment peuvent-elles croire que la seule récompense, des souffrances atroces endurées par Dieu, en Jésus-Christ, doit être de renoncer à faire pratiquer, par ses élus, les saintes œuvres définies dans ses diverses lois et ordonnances ? N’a-t-il pas au contraire donné, aux générations à venir, des modèles d’obéissance par Jésus lui-même, puis par les apôtres et les premiers disciples réellement convertis ?

Quel a été l’enseignement apporté par Jésus-Christ ? Il n’est pas venu instaurer une nouvelle religion. Il est venu, uniquement, pour accomplir une promesse prophétique faite par Dieu à Abraham. Pendant son ministère terrestre, Jésus est amené à reprendre les fautes des Juifs, à arracher, de leurs pensées, les erreurs de leurs préjugés ; à ramener à l’équilibre leur perception de Dieu qui est autant justice, selon la lettre, qu’amour miséricordieux. En plus de ces réparations nécessaires, dans les cœurs des hommes, il nous a révélé les principes, fondamentaux, caractérisant la vie céleste offerte en récompense aux véritables élus. Parmi tous ceux qui se pressent pour revendiquer leur droit à entrer dans l’éternité, combien ont compris que leur approbation de l’orgueil, de la réussite et de l’écrasement du pauvre, suffisait pour leur fermer la porte du ciel ? Sont-ils prêts à devenir « le serviteur de tous » ? Car c’est bien ainsi que Jésus a présenté les conditions de la vie céleste dans Marc 10 : 44.

Le baptême « au nom du Père », suggère l’étude et la pratique de la loi de Moïse. Les cinq premiers livres de la Bible nous présentent les normes de la sainteté, approuvée par Dieu, pour l’homme qui veut lui plaire, qu’il soit d’origine juive ou païenne. Car l’amour de l’homme, pour son Dieu, est manifesté et concrétisé, uniquement, par le souci d’obéir et de respecter toutes les choses sur lesquelles Dieu a révélé son opinion. Ne dites donc plus jamais, au sujet des textes de l’ancienne alliance, « c’était pour les Juifs » car, les Juifs n’étaient qu’un « échantillon » proposé, en bon et mauvais modèle, précurseur, pour l’humanité entière. Je l’ai déjà dit, et je le répète, dire « c’était pour les Juifs » revient à penser que Dieu leur avait imposé, de manière méchante, la pratique de choses inutiles, alors que l’Eternel « ne change pas ».

Celui qui est véritablement en Christ, le prouve par l’intelligence de son raisonnement et c’est là qu’il trouve les moyens de résister au diable et à ses mensonges. Comme il l’a fait, collectivement, pendant son ministère sur la terre, en Saint-Esprit, Jésus-Christ, ressuscité, reconstruit l’image de Dieu dans le caractère de son élu. Cette intelligence là se montre capable « d’examiner toute chose et de savoir retenir ce qui est bon ». Selon ce principe nous pouvons comprendre que les fêtes de l’Eternel, prophétisant la première venue du Messie, disparaissent au moment où il vient et les fait accomplir. De même, sa vie sacrifiée rend caduque et inutile toute forme de sacrifices animaliers.

Sous l’action du Saint-Esprit, dans Actes 15 : 19-20-21, Jacques dit aux chrétiens, d’origine païenne, de « s’abstenir de l’impudicité, du sang et des animaux étouffés ». Les autres détails seront découverts, sabbat après sabbat, dans la lecture de la « loi de Moïse » dans toutes les synagogues juives. Avez-vous reçu, ce type d’enseignement dans vos églises venues remplacer les synagogues juives ? Non, bien sûr, aussi mesurez votre état spirituel et comparez-le avec les élus du « saint » commencement de l’église chrétienne. Il n’est pas trop tard, retrouvez le « saint » raisonnement envers la « sainte » doctrine de la vérité et Dieu vous retrouvera, pour vous « sanctifier » à son service, maintenant sur la terre et, bientôt, pour l’éternité dans son royaume céleste. Mon message ne fait, aujourd’hui, que vous rappeler celui de l’apôtre Jean qui a écrit, dans sa lettre, (1 Jean 5 : 3-4) : « car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, car tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi ». Attention au piège ! Jean a ajouté ensuite mais, uniquement, pour le contexte de son époque : « Qui est celui qui a triomphé du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? ». Si Jean image la victoire, sur ce seul critère, c’est parce qu’il était, à son époque, le seul critère de foi requis pour un Juif déjà formé par sa pratique de la loi de Moïse. Le même texte ne peut pas s’appliquer pour un païen non formé, traditionnellement, par cette loi de Moïse, comme c’est le cas dans notre contexte actuel. Et pour sa part, Paul nous rappelle, dans 1 Corinthiens 7 : 19, que le seul sujet de controverse, qui soit apparu dans l’église du début, fut le problème de la circoncision qui est aussi le sujet du concile de Jérusalem, thème d’Actes 15. Il en a retiré cette leçon : « La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien, mais l’observation des commandements de Dieu est tout ».

Etes-vous d’accord avec Paul ? Qu’on soit d’origine juive ou païenne, la seule chose qui importe est d’observer, scrupuleusement, les commandements de Dieu. Si oui, revenez à la pratique de son saint sabbat, le samedi, l’authentique septième jour de la semaine, du vendredi soir au samedi soir, afin de rendre à Dieu, en Jésus-Christ, le culte qui lui est agréable et découvrez page après page dans la loi de Moïse sa conception de la véritable sainteté.

Allez-vous refuser, au nom de Jésus-Christ qui a souffert le martyre pour sauver ses véritables élus, de rendre gloire au Dieu créateur qui l’exige d’eux depuis 1844, selon Da.8 : 14, et Ap.14 : 7 où l’Esprit déclare : « Craignez Dieu et donnez-lui gloire car l’heure de son jugement est venue ; et [prosternez-vous devant] (Grec : proskunesate) celui qui a fait le ciel, la terre, la mer, et les sources d’eaux » ? Oui, vous oserez le faire, si votre nom doit être effacé du livre de vie de l’Agneau, Jésus le Messie. Mais à l’opposé, ceux que Dieu sauve lui obéissent, lui donnant ainsi une preuve d’amour en réponse à son amour, démontré en Jésus et en abondante lumière venue éclairer la Bible, sa sainte parole écrite.

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Un blasphème contre le Saint Esprit

Devant ce type de péché, où la volonté humaine s’engage, Dieu refuse sa grâce rattachée au sacrifice volontaire de Jésus-Christ. En quoi consiste ce type de péché ? En attribuant au diable, l’œuvre évidente et logique du Saint-Esprit. Or que peut-on trouver dans l’œuvre du « vrai » Saint-Esprit, sinon la recherche de la glorification des lois présentées par Dieu ? Lorsque le faux jour de repos, le dimanche, est imputé à l’action du Saint-Esprit, les chrétiens se rendent coupable du pire des péchés ; ils attribuent à Dieu, une authentique initiative du diable. Aussi, légitimement, le Créateur méprisé refuse t-il de les sauver et de les couvrir au nom du sang versé par l’Agneau de Dieu. Ayant fermé les yeux sur cette faute, pour les protestants du début de la Réforme, programmée pour le 16ème siècle, ce qu’Apocalypse 2 : 24 révèle en ces termes, « Je ne mets pas sur vous d’autre fardeau », la transgression volontaire du sabbat du quatrième commandement du « décalogue divin » est imputée, comme péché contre l’Esprit, depuis 1844, où, son exigibilité est révélée dans Daniel 8 : 14, mal traduit dans un premier temps, par « Jusqu’à 2300 soirs et matins et le sanctuaire sera purifié » et, depuis que Dieu me l’a fait découvrir, dans le texte  hébreu, par la forme : « Jusqu’à soir matin, 2300 et sera justifiée la sainteté ».

Celui qui nous juge « sonde les cœurs et les reins » et ne se laisse tromper par aucun engagement, aucune parole d’homme, ni aucune de ses pensées. Son jugement est juste et irréprochable. Il a tout annoncé d’avance, le sacrifice volontaire du Messie et l’enténèbrement de la foi chrétienne après son glorieux commencement. Toutes les preuves prophétiques de ces choses sont disponibles sur ce site. Etudiez « l’ABC d’ère » ; un concentré pour assouvir la faim et la soif de l’être humain spirituel.

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- Fin du message -

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