Pict-005.pngPict-006.pngLa Révélation de la Septième Heure

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Dans la série

Vérités Restaurées - Vérités Restaurées - Vérités Restaurées

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« La Bible »

La Bible : ce qu’elle est et ce qu’elle n’est pas !

Avec raison on l’appelle « la sainte Bible », car elle porte un authentique caractère de sainteté ; ce qui explique déjà qu’elle soit la cible privilégiée des attaques du diable et de ses suppôts humains. Sa sanctification se justifie par son autre nom : « la parole de Dieu ». Or, cette définition va donner lieu à divers comportements chez les hommes qui la lisent et la vénèrent. Nous allons voir que ces différences vont dépendre intégralement de la nature spirituelle de chaque être humain.

Deux voies principales se présentent, pour l’appréciation de la sainte Bible, la bonne : la religion de la foi et son opposée, la mauvaise : la religion de la superstition qui se revendique, néanmoins, de la foi également. Il y a donc une bonne et une mauvaise foi.

Regardons donc, en premier, ce que doit être la Bible pour un appelé béni par Dieu. C’est un récit et plus précisément, un assemblage de nombreux témoignages inspirés, par Dieu, à des hommes qu’il a choisis, pour cette tâche, au cours du temps. L’inspiration divine donne à l’écrivain plus ou moins de liberté ; très peu, voire, pas du tout, dans les écrits de l’ancienne alliance et, un peu, dans ceux de la nouvelle alliance fondée sur le sang expiatoire de Jésus-Christ.

La Bible nous présente divers types de livres qui sont de caractère prophétique ou historique, ou poétique et certains sont, en alternance, historiques et prophétiques. Les premiers écrits de la Bible ont été rédigés, par Moïse, sous la dictée directe de Dieu comme en témoigne le livre de la Genèse. La religion monothéiste ne repose donc pas sur du vent ou sur une illusion humaine et, tout comme on dit qu’il n’y a pas de fumée sans feu, il n’y a pas, non plus, de religion divine sans Dieu. Et chacun peut le constater, la religion divine monothéiste est bien présente et développée dans notre humanité.

Aujourd’hui, la religion souffre à cause de la concurrence de la science qui prétend tout expliquer, mais je rappelle, ici, que comprendre un mécanisme ne permet pas de nier l’existence de son auteur inventeur et créateur, unique et éternel. Ainsi, puisque notre époque laisse si peu de place à la vraie croyance, je vous invite à porter votre regard et toute votre attention sur l’époque de Moïse en laquelle, Dieu s’est approché des hommes et est intervenu pour délivrer, les enfants d’Israël, de l’esclavage du pharaon égyptien. A cette époque, aucun homme n’était assez orgueilleux ou stupide pour croire que la vie et son intelligence pouvaient devoir leur origine au seul hasard. C’est pourquoi, tous croyaient aux divinités et faute de relation avec le vrai Dieu ils en adoraient des multitudes que le diable, déjà à l’œuvre depuis le commencement, leur présentait. Si Moïse, seul, pouvait approcher Dieu, en ce qui les concerne, les autres témoins de l’époque voyaient, collectivement, la présence de Dieu sous la forme d’une nuée qui montait et descendait sur le tabernacle, type du temple qui sera, plus tard, construit par le roi Salomon ; le fils du roi David. Vous le voyez nous sommes entrés dans l’histoire dont notre présent n’est qu’une logique continuité.

Réalisez donc combien ce témoignage, voulu et organisé par le Dieu Tout-Puissant invisible, est précieux pour comprendre le sens que nous devons donner aux événements. Faut-il qu’il soit important pour que son existence ait été menacée par l’aveuglement, successif, de l’église catholique romaine papale intolérante et son exécuteur, l’athéisme révolutionnaire français de 1793-1794 !

Après ces tentatives de destruction, la liberté instaurée a favorisé le développement et la dispersion de la sainte Bible en toutes langues et vers tous les peuples mais, parallèlement, la science et le darwinisme primaire ont saboté son autorité. Dès lors qu’ils en font un mauvais usage, la dispersion de la sainte Bible ne dérange plus le diable, et mieux, il exploite la situation en se faisant passer lui-même pour l’être de lumière, en vierge, pour les catholiques, ou en Jésus-Christ, pour les protestants. Mais la Bible demeure intacte et nous parle toujours aujourd’hui ; faut-il encore « avoir » des « oreilles pour entendre ce que l’Esprit dit aux églises ». En fait, les oreilles n’y sont pour rien pas plus qu’un autre organe aussi important que le cerveau, ou le cœur. L’aptitude à entendre et comprendre, la pensée de la volonté divine, repose sur l’usage de notre intelligence et le résultat sera celui de la nature d’une personnalité libre et responsable de ses choix. Ce n’est pas moi qui le dit mais Dieu lui-même qui déclare au prophète Daniel : (Da. 12 : 10) « Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l’intelligence comprendront ». L’intelligence va donc faire toute la différence, mais de quelle intelligence s’agit-il ? Il y a une intelligence primaire qui caractérise l’homme par rapport à l’animal et dont tous les hommes sont dotés par nature. Dieu ne parle pas de cette intelligence naturelle mais il évoque ce que son jugement considère comme « intelligent » dans les choix spirituels pratiqués par ses créatures. Et dès le commencement de toute chose, il a connu d’avance les choix que ses créatures feraient, en leur temps, et c’est à ce titre qu’il connait depuis le commencement les noms de ses élus.

L’intelligence va être révélée par l’usage que chacun va faire de sa lecture de la sainte Bible. Or, pour beaucoup, la sainte Bible constitue un recueil d’articles de loi comparable au « code de la route » ou au « code civil » ou encore au « code pénal ». Chaque verset est ainsi sorti de son contexte et interprété comme applicable systématiquement. Il en résulte la création de nombreuses dénominations et groupes religieux fondés sur une doctrine appuyée sur un ou plusieurs versets bibliques dont le fondateur tord le sens et fait un mauvais usage. C’est ce qui explique l’aspect de la religion chrétienne universelle de notre temps. Cette approche de la Bible est de type mystique et de caractère superstitieux. L’attitude mentale du croyant est identique à celle du religieux païen, sauf qu’il se revendique de la sainte Bible.

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La bonne démarche

Nous trouvons, dans la nouvelle alliance, un verset qui nous dit : (1Thes. 5 : 21) « Examinez toutes choses, retenez ce qui est bon ». Ces choses qui devaient, et doivent encore être examinées, sont la Bible et toutes les explications que des hommes peuvent présenter pour la commenter et l’éclairer, y compris mes écrits. En effet, à l’époque où les épîtres des apôtres sont rédigées, la Bible reliée, telle que nous la connaissons aujourd’hui, n’existe pas étant, alors, seulement dans sa phase de composition. Les épîtres, ou lettres écrites, circulaient, dans l’empire occidental, transportées par les Chrétiens, de ville en ville, et chacun découvrait le dernier message proposé par l’Esprit de Dieu. Le mauvais usage actuel de la Bible n’est pas nouveau, car déjà, en son temps apostolique, Pierre met ses lecteurs en garde contre les mauvaises et fausses interprétations que certains faisaient des écrits de Paul ; des mises en garde encore, aujourd’hui, totalement ignorées, qui ne concernent pas uniquement les écrits de Paul, mais toute la Bible. En nous invitant à examiner et à retenir uniquement ce qui est bon, l’Esprit divin inspirateur nous autorise à faire usage de notre intelligence pour disséquer les écritures saintes.

Dans sa création terrestre, Dieu a mis toute chose en mouvement, le temps, la croissance matérielle et spirituelle également. Il avait dit à Daniel « la connaissance augmentera ». Lorsque Dieu parle de « connaissance », il désigne la croissance de la « connaissance de son projet » et non pas celle des hommes qui les porte à développer les moyens techniques de leur propre destruction. Les étoiles, les planètes et les galaxies, comme toute autre chose, bougent et se déplacent. Notre compréhension du projet de Dieu est soumise à la même règle : « je comprends aujourd’hui mieux qu’hier et moins que demain ». Je dois, en premier, comprendre quel type de relation Dieu veut construire avec sa créature, sachant qu’il est, et restera, invisible pour elle. Cette invisibilité divine, Jésus l’image, dans ses paraboles, par le départ du Maître de la vigne qu’il confie aux soins de ses vignerons, ses serviteurs. Dans Jean 4 : 24, nous lisons : « Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent, l’adorent en esprit et en vérité ». La rencontre avec le Dieu vivant doit passer, pendant notre temps terrestre, uniquement par une forme spirituelle et une communion de son Esprit avec notre esprit, au niveau de notre pensée.

Nous avons donc toute liberté pour trier, dans la Bible, ce qu’il convient à Dieu de retenir parce qu’il le juge bon. Cette liberté ne m’autorise pas à rejeter ce qui ne me plait pas à titre personnel. Et c’est bien là que beaucoup se trompent et vont en perdre le salut ; dans leur liberté ils auront rejeté le bien, croyant faire accepter leur choix par Dieu. Le risque encouru dans notre libre choix, responsable, est donc immense et c’est ainsi que Dieu peut résumer la situation en disant à Daniel : (Da. 12 : 10) « Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l’intelligence comprendront ». Comment va-t-on réaliser ce tri de la « parole de Dieu » ? Cela nécessite, de notre part, une étude profonde et engagée qui ne soit en rien superficielle. Là encore, la nature du lecteur fait la différence, car celui qui aime la vérité est incapable de se satisfaire d’une lecture superficielle de la Bible. Par la profondeur de son analyse l’élu, reçoit de l’Esprit, quand il l’approuve, dans sa pensée, les logiques divines, de la vérité, adaptées à son temps. Il ne suffit pas de passer du temps à étudier la Bible, pour être approuvé par Dieu. Car le juste Juge sonde les hommes et attend d’eux des « œuvres » comme le démontre l’Apocalypse où l’Esprit répète, à plusieurs reprises, dans les chapitres 2 et 3, la formule : « Je connais tes œuvres ... ». Les prétentions et revendications, en paroles humaines, restent, devant lui, sans aucune valeur parce que seules comptent, à ses yeux, les œuvres saintes qu’Il à, lui-même, préparées d’avance pour ses élus.

Au risque de choquer certains et afin d’écarter l’approche, purement, mystique hautement nuisible, je dirai, de la BIBLE, que nous devons la lire en lui appliquant la même analyse critique que nous adoptons lorsque nous lisons les articles des journaux et des revues modernes. La Bible est l’œuvre de Celui qui incarne l’intelligence suprême, aussi sa compréhension va-t-elle dépendre du soutien de l’Esprit de vérité. Depuis que j’ai compris que le salut des créatures dépendait, uniquement, de leur profonde nature personnelle, j’ai appris à accepter l’irrémédiable vérité : deux chemins mènent, en fonction des choix individuels soit, vers la vie éternelle soit, vers la mort et l’anéantissement définitif de l’être. Aucune vérité biblique n’est capable de mener, à la Vie, une nature indifférente ou peu attentive à la vérité approuvée par Dieu. Il y aura donc des multitudes de morts pour une multitude d’élus.

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La critique n’est pas l’incrédulité

La critique est nécessaire et elle nous permet de faire constamment des choix dans notre vie dans tous les domaines. Entre ceux qui considèrent, à tort, que l’ancienne alliance était uniquement pour les Juifs et qui se limitent à lire et interpréter, faussement, le message de la nouvelle alliance et la position des Juifs de race qui rejettent le Christ et les écrits qu’il a inspirés, il y a place pour un choix intermédiaire équilibré. Comprenez que l’œuvre de Dieu est une continuité entièrement logique. L’ancienne et la nouvelle alliance ne se distinguent qu’au niveau du sang du pacte, animal, dans l’ancienne, en préfiguration, symbolique, du sang de Jésus-Christ qui caractérise la nouvelle. Depuis Adam et Eve, Dieu fait alliance, par le sang de Jésus-Christ, avec des hommes et des femmes qu’il sauve, mais tous ceux, qu’il sauve, se distinguent par l’étroite relation qui les unit au Dieu créateur. Or, cette relation n’est rendue possible que par la soumission à sa volonté révélée et exprimée. Ainsi se démarquent, au fil du temps, des humains, authentiques « fils de Dieu », qui honorent, par leur obéissance, leur Père céleste ; ce fut le cas « d’Abraham l’ancien » dont la foi est donnée en exemple, aux hommes, après la tragique expérience du déluge et, ceci jusqu’à la fin du monde. La première apparition du Christ est venue éclairer les hommes jusqu’au temps de sa seconde apparition. A son retour, il jugera les diverses sortes d’appelés par rapport à l’interprétation et l’importance qu’ils auront accordées, en libre choix, aux enseignements de la Bible entière.

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Ce qu’elle apporte à l’être humain

La Bible est, pour l’être humain, une bouée pour son âme en errance dans le flot tumultueux de la vie ; une ancre pour un navire en détresse qui dérive. Elle apporte des réponses là où toutes les autres voies ont échoué.

Elle lui apprend son origine, la raison de son existence et ce que peut devenir son avenir, répondant ainsi aux trois questions auxquelles, vainement, les philosophes grecs ont consacré leur existence pour trouver des réponses : d’où viens-je ? Qui suis-je ? Où vais-je ?

Pour obtenir d’elle ce résultat, il faut tirer profit de tout son enseignement et, particulièrement, de ses révélations prophétiques dans lesquelles Dieu a, sagement, caché le meilleur pour les plus sincères et les plus persévérants de ses élus bien-aimés du temps de la fin.

Elle révèle le grand projet formé par Dieu, dès le commencement, avant  qu’il ait créé une vie libre en face de lui. Elle présente la construction du plan de salut qu’il a préparé, pour sauver ses élus, qu’il sélectionne parmi les âmes sensibles à sa démonstration d’amour magnifiée par l’offrande en sacrifice expiatoire de Jésus-Christ. Sa conception parfaite de la justice exige la mort du transgresseur de sa loi soit, de l’être désobéissant. Paul confirme le principe disant : (Rom. 6 : 23) « … car le salaire du péché c’est la mort ». Toutefois, pour sauver ceux qui l’aiment, parmi ces pécheurs, Dieu a conçu l’idée de se substituer au coupable pour recevoir à sa place le châtiment du péché. Cette souffrance qu’il s’est lui-même, par amour, imposé nous montre combien le respect de sa loi est fondamental dans sa démarche. Aussi, ceux qui méprisent sa loi et ses révélations ne profiteront jamais de sa grâce. Confirmant cette vérité la Bible nous montre, en Jésus, le parfait modèle de vie libre agréé par Dieu qui devra caractériser les âmes des élus. Or ce parfait modèle déclare : (Jean 15 : 10) « ... j’ai gardé les commandements de mon Père ... ». Cette norme est le seul « passeport » permettant l’entrée au ciel éternel ; ce que Jésus image comme « l’habit de noce des invités au repas des noces de l’Agneau ». Assurément, il ne suffit pas de « se coller » l’étiquette de « chrétien », sur le front, pour entrer dans l’éternité. Le prix payé par Dieu exige beaucoup plus de ceux qu’il sauve. Mais pour ceux qui l’aiment, réellement, le prix semble réduit et l’accès au salut devient pratiquement gratuit. Ici encore, la nature des appelés fait toute la différence en sorte que ce qui est, pour l’infidèle, « un fardeau » devient, pour l’élu authentique, « un fardeau doux et léger ».

Pour diriger la vie de l’être humain, la Bible nous présente des expériences bonnes, pour qu’il les reproduise et des mauvaises, pour lui éviter de souffrir les mêmes conséquences que le modèle présenté. Ainsi, le bon et le mauvais sont également utiles et profitables pour les candidats à l’éternité.

Mais il y a encore un cadeau divin de valeur inestimable dans la Bible. Sachant que l’être humain s’engage dans un combat spirituel contre des forces invisibles, l’amour divin a préparé, pour les élus, des derniers jours où nous sommes, des révélations prophétiques dans lesquelles il nous montre, pas à pas, l’identité des ennemis des élus. La situation spirituelle, établie actuellement sur notre terre, est tellement ténébreuse et trompeuse que si cette révélation ne venait pas ouvrir la connaissance des élus, personne ne pourrait plus être sauvé. Notre époque répond à ce critère défini par Jésus où « la lumière est ténèbres ». Le diable et ses démons ont réussi à séduire les habitants, de la terre entière, par tous les moyens de séduction qu’ils ont pu imaginer. Le développement de la technologie fait que tous les esprits sont rendus esclaves de la « société de consommation » tant les produits techniques sont séduisants. Le renouvellement des produits informatiques s’accélère et il faut constamment acheter le dernier modèle sorti sur le marché et, dans le même temps, une crise du capitalisme occidental va faire s’effondrer l’économie préparant un grand drame humanitaire. Dans cette course folle quelle place reste-t-il pour la foi et la recherche de Dieu ? Bien peu. Mais pour ceux que la religion attire encore, le diable offre un « supermarché international » où grâce aux échanges universels chacun peut adopter les « aliments » qui lui convient. Mais attention ce qui les nourrit et les satisfait, aujourd’hui, devra être payé très cher au jour du jugement divin, car dans la vie, comme au supermarché, on passe à la caisse, au moment de sortir du magasin. Aussi, afin d’éviter les mauvaises surprises qui apparaîtront lorsqu’il sera trop tard, profitez de ce site et découvrez dans l’étude appelée « l’ABC d’ère », la révélation divine présentée dans les livres de Daniel et Apocalypse, sous une forme entièrement décryptée en date de 2013. Les événements qui viennent ne vous surprendront plus car vous les attendrez. Ce sera là, le dernier critère d’identification des vrais élus aimés par Dieu en Jésus-Christ : (Apo.17 : 8) « … et les habitants de la terre, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s’étonneront en voyant la bête, parce qu’elle était, et qu’elle n’est plus, et qu’elle reparaîtra ».

Traditionnellement, la Bible est présentée sous la forme de deux livres principaux appelés, à tort, l’ancien et le nouveau testament. Partant du principe que le testateur est vivant et immortel, je préfère mentionner « des témoignages de l’ancienne et de la nouvelle alliance ». Nous avons donc un « ancien témoin » et un « nouveau témoin » suscités, en leur temps, par Dieu, pour éclairer la vie des hommes. Dans Apo.11 : 3, l’Esprit confirme cette vision de la Bible en disant : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours ». Il convient de relever la continuité du message des deux témoins divins car, en dépit des conventions adoptées, les textes des quatre Evangiles sont presqu’intégralement placés dans le contexte légal de « l’ancien témoin ». Ce n’est, en effet, que par sa mort sur la croix que Jésus-Christ inaugure le temps de la nouvelle alliance fondée sur le versement de son sang soit, sur l’extrême fin des quatre évangiles. Pendant son ministère terrestre Jésus s’est montré extrêmement respectueux envers la loi divine au point qu’il est resté sans péché. C’était là, le modèle de vie qu’il présente à ses élus pour qu’ils l’imitent. Relevez-le, Jésus a bien dit : (Matt. 5 : 17) « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir ». Ceux qui se réclament de son salut ne peuvent donc que respecter cette loi divine.  L’incompréhension, de cette démarche, justifie l’aspect confusionnel de la religion chrétienne, actuelle, qui n’est que l’aboutissement de la déformation, constante, de la vérité apostolique attaquée tout au long de l’ère chrétienne. Mais Dieu n’a pas renoncé à ses principes et les élus des derniers jours doivent être à l’image de ceux des premiers jours. Obtenez donc, de lui, « l’habit de noce » en vous montrant fidèle à ses commandements comme Jésus-Christ et ses apôtres l’ont fait avant nous.

Pour finir je vous propose la réflexion suivante : faisant allusion aux grumeaux de sang apparus sur le visage de Jésus, dans son combat contre le diable, le soir précédent sa crucifixion, l’apôtre Paul nous dit encore, à nous chrétiens des derniers jours, comme aux autres disciples de son époque : (Héb.12 : 4) « Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang, en luttant contre le péché ». Le péché étant la transgression de la loi divine, pensez-vous que la transgression, depuis 321, du quatrième commandement, du décalogue divin, soit conforme à cette exhortation de Paul ? Sachant qu’à la suite de Pierre, nous devons obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. Ignorez-vous que l’empereur romain Constantin 1er a fait abandonner la pratique du repos du sabbat du septième jour, sanctifié par le Dieu créateur, pour faire adopter, par les chrétiens, le repos hebdomadaire du premier jour consacré à l’adoration du dieu soleil par les païens de son empire ? Si c’est à Dieu que vous désirez plaire, rendez-lui ce qui lui appartient et laissez, au diable, ses œuvres et leur terrible éternelle conséquence : l’impossibilité d’entrer dans l’éternité auprès de Jésus-Christ, le Tout-Puissant, l’incarnation momentanée du grand et souverain Dieu créateur. Le mépris de la vérité, révélée par la Bible, sera, également, durement châtié par le juste Juge qui a, personnellement, payé, dans de terribles souffrances, le prix du rachat des âmes des élus. Et Paul, qui vous interpelle disant : (Gal.2 : 17) : « Mais, tandis que nous cherchons à être justifiés par Christ, si nous étions aussi nous-mêmes trouvés pécheurs, Christ serait-il un ministre du péché ? Loin de là ! », a une réponse claire : « loin de là ». Par votre engagement religieux, donc par vos œuvres, direz-vous, en parlant de Jésus : « oui il est ministre du péché ? ». Je doute qu’aucun humain, qui se dit « chrétien », soit capable de cet outrage, pourtant c’est ce que signifie, en œuvre, la pratique du dimanche romain.

Retrouvez donc, en acceptant de restaurer la vérité, le chemin qui mène réellement au ciel ; c’est dans la Bible, bien utilisée, que Dieu nous le présente. Ecoutez ces appels et ces invitations lancés par notre bon Père céleste : (Osée 4 : 6) « mon peuple meurt faute de connaissance ». Et encore : (Jean 17 : 3) « la vie éternelle c’est qu’ils te connaissent toi et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ». C’est le projet de Dieu qu’il en soit ainsi : (Dan.12 : 4) « ... la connaissance augmentera » (au temps de la fin).

Je dois à la Bible ma connaissance du terrible drame dans lequel des multitudes vont bientôt périr. Je n’invente rien et ne fais que profiter d’une révélation préparée par Dieu. Vous trouverez tous les détails concernant la troisième guerre mondiale dans « l’ABC d’ère ». Mais sachez qu’aveuglément l’humanisme béat a préparé et organisé les conditions de son châtiment. La haine universelle portée contre le nationalisme a encouragé un mélange multiethnique qui constitue une dispersion de bombes à retardement. A l’heure imminente, prévue par Dieu, les sociétés humanistes exploseront en de multiples guerres civiles provoquant l’affaiblissement général du monde occidental … D’autres haines, séculaires ou, plus récentes, feront le reste.

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- Fin du message -

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