Pict-005.pngPict-006.pngLa Révélation de la Septième Heure

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Dans la série

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Halloween, signe de la soumission à la bête ?

L’adoption de cette célébration américaine apparue en France en 1995 confirme la direction de l’accomplissement des faits prophétisés par Dieu. Déjà la célébration de l’horreur révèle des pensées perverties peu compatibles pour une alliance avec le Dieu de vérité.

Il y a 50 ans, alors qu’elle était dirigée par le Général de Gaulle, la France, quatrième puissance occidentale, résistait aux idées américaines. En abandonnant sa souveraineté pour la construction de l’idéologie « européiste », la France s’est affaiblie et s’est retrouvée contrainte à adopter le point de vue de ses partenaires européens majoritaires. Elle est tombée dans le piège de l’illusion qui dit « l’union fait la force ». Le présent le prouve, et l’avenir le confirmera, cette maxime ne mène pas au bonheur des peuples, mais à la tyrannie. Dans cette démarche, nous trouvons une analogie avec l’enseignement d’Apocalypse 17 :13 : « Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête ». L’analogie ne confirme que le principe déjà accompli par la soumission des monarchies à l’idéologie religieuse catholique papale romaine pendant 1260 années prophétisées dans Daniel 7 :25 et dans l’Apocalypse aux chapitres 11 et 12. Ce premier accomplissement était placé sous l’égide de « la bête qui monte de la mer » citée dans Apocalypse 13 :1 à 10. C’était le temps donné par Dieu pour l’intolérance religieuse faussement chrétienne. Au 16ème siècle, l’œuvre de la réforme protestante a apporté des explications sur les causes de cette intolérance : l’irrespect de l’autorité de la  Bible ; la parole de Dieu écrite. Ce temps est derrière nous. Mais retenez l’idée suivante : Apocalypse 8 :8 : « Le deuxième ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jetée dans la MER ; le tiers de la MER devint du sang ». Conséquence de cette action, dans Apocalypse 13 :1, il sort de cette MER « la bête qui monte de la MER ».

Devant nous, une autre « bête qui monte de la terre » doit apparaître selon Apocalypse 13 :11 à 18. En se fondant, sur l’image du récit de la création terrestre, la TERRE est sortie de la MER. Telle est la logique qui a conduit Dieu à utiliser ces symboles. L’idéologie protestante sortie du catholicisme romain est ainsi idéalement ciblée pour représenter la TERRE. Mais une épreuve de foi, préparée par l’entrée en application d’un décret divin programmé prophétiquement par Dieu dans Daniel 8 :14, est venue condamner cette doctrine protestante. Cette condamnation vient éclairer le sens du mystère concernant la 5ème trompette décrite en ces termes dans Apocalypse 9 :1 : « Le cinquième ange sonna de la trompette. Et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la TERRE ; la clé du puits de l’abîme lui fut donnée… ». Conséquence de cette action, dans Apocalypse 13 : 11, il va monter de la TERRE une autre bête appelée logiquement « la bête qui monte de la TERRE ». Le verset précise : « une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme le dragon ». Sa comparaison à un agneau rappelle son origine chrétienne bénie par Dieu depuis le 16ème siècle jusqu’en 1844. Lâché par Dieu qui exige depuis cette date la restauration de la pratique de son saint sabbat du septième jour, le protestantisme a épousé la cause du dimanche catholique romain lui-même ayant détenu son pouvoir du dragon ; le diable. C’est en soutenant une idée diabolique que le Protestantisme américain se met à parler comme le dragon. C’est parce qu’elles se sont rejointes dans la malédiction divine que les idéologies religieuses protestantes et catholiques ont pu s’unir dans l’alliance œcuménique, où l’on retrouve également le Judaïsme première victime de la condamnation divine universelle par son rejet de Jésus, son messie.

En confirmation de cette interprétation des choses, relevez cette différence : la montagne embrasée papale romaine est JETEE dans la MER, tandis que l’étoile du protestantisme est TOMBEE sur la TERRE. En disant la seconde TOMBEE, l’Esprit suggère une approbation précédant une condamnation. Ce fut le cas des Réformateurs protestants bénis par Dieu jusqu’en 1844, terme des 2300 années au bout desquelles Dieu devait juger la qualité de la foi chrétienne en disant : « la sainteté sera justifiée ». La première bête a été JETEE. Elle ne sort pas de Dieu et commence dès son apparition son ministère à titre de malédiction pour l’humanité symbolisée par le mot MER.

Quand je vous aurai dit qu’entre ces deux bêtes religieuses chrétiennes, la Révolution française de 1789-1798 est venue accomplir une première apparition de la « bête qui monte de l’abîme » citée dans Apocalypse 11 :7, je vous aurai dit l’essentiel, mais un lien marqué subtilement établissant une relation étroite entre cette première forme rattachée à la quatrième trompette, et la sixième, annonce un renouvellement de son caractère. Que retient-on de la Révolution française, l’acquis de la liberté ? Dieu pour sa part la rattache à une hécatombe exprimant son châtiment de l’infidélité catholique romaine et de la monarchie qui partageait sa culpabilité selon Apocalypse 2 :22 où il appelle cette Révolution « une grande tribulation » : « Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu’ils ne se repentent de leurs œuvres ». La seconde apparition de la « bête de l’abîme » révèle l’hécatombe qui va caractériser la troisième guerre mondiale dans laquelle l’arme nucléaire va remplacer la guillotine.

J’en reviens à l’adoption récente de la fête américaine Halloween par certains Français, ce qui confirme la lente glissade des peuples occidentaux qui passent sous la domination de l’impérialisme américain. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale où ce peuple est intervenu pour libérer l’Europe du joug de l’Allemagne nazie, son image est devenue la norme que l’on doit adopter. Le rêve américain fait partout rêver. L’Amérique a su engranger les bénéfices de cet engouement universel et la construction européenne lui a été très profitable, les accords commerciaux et les traités passés avec l’Europe lui sont très favorables et son idéologie capitaliste a été renforcée. La construction européenne a affaibli la rivalité française ; et grâce aux délocalisations vers la Chine dont elle a soutenu l’entrée dans l’OMC, la rivalité européenne tombe en ruine. La terre ou presque mange dans sa main. Mais, il reste en face d’elle un peuple puissant adversaire depuis longtemps, le peuple Russe. Ce dernier et redoutable rival sera réduit au silence dans la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale. Parvenue alors au summum de sa domination, elle utilisera son pouvoir pour rallier sous son autorité les survivants dispersés de cette hécatombe. Un seul gouvernement pour toute la terre à l’image de la tour de Babel fera adopter la marque de la bête qui selon Dieu reste un signe très religieux et très spirituel. La marque de la bête est depuis 321 où il fut adopté par l’ordre de l’empereur Constantin 1er, le repos du premier jour appelé originellement « jour du soleil ». C’est sous ce nom que l’Amérique a conservé jusqu’à aujourd’hui son repos hebdomadaire qu’elle appelle « Sunday ». Cette adoption en 321 a fait de ce jour l’ennemi absolu de Dieu qui a pour sa part choisi dès la fondation du monde de sanctifier le septième jour qu’il appelle son saint sabbat. Quelque soit la puissance humaine américaine la prophétie nous dit à propos de la coalition défendant  le « jour du soleil » dans Apocalypse 17 :14 : « ils combattront contre l’Agneau, et l’Agneau les vaincra parce qu’il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus, et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi ».

Posez-vous déjà cette question : Jésus-Christ victime consentante expiatoire du péché, doux, humble de cœur, abnégation suprême, révélation de l’amour du Dieu créateur, notre Père, peut-il se reconnaître dans l’esprit capitaliste universel qui ravage les peuples et les presse comme des citrons, les rejetant dès qu’ils n’ont plus de jus, constamment en recherche de nouveaux esclaves encore moins chers sur lesquels la part du profit augmentera ?  Qui osera faire une estimation du nombre de morts dus à l’idéologie capitaliste ? Les morts victimes de l’économie cupide, ne sont-ils pas égaux aux morts des guerres ? Là encore, Dieu, le créateur de la vie, ne fait pas de différence. Le châtiment final des responsables sera donc plus que terrible.

N’est-ce pas l’Amérique qui impose son principe du libre échange international qui permet aux investisseurs de réaliser des profits faramineux en exploitant les différences des niveaux économiques des pays ; différences qu’elle ne souhaite surtout pas voir disparaître. Comment les Européens ont-ils pu croire qu’ils avaient la moindre chance de subsister économiquement en étant en concurrence avec des pays où la main d’œuvre peut coûter 50 fois moins cher ? La prétendue concurrence de l’Allemagne ne vient-elle pas masquer cette vérité que les dirigeants politiques ne souhaitent pas regarder en face parce qu’elle est sans remède ? Cet aveuglement fait aussi parti d’une action divine puisque, selon 2 Thessaloniciens 2 :10 à 12, ceux qui n’ont pas l’amour de la vérité ... Dieu leur envoie une puissance d’égarement afin qu’ils croient au mensonge. Or tous les mensonges mèneront les menteurs et leurs victimes à la mort, salaire du péché selon Romains 6 :23. La crise économique actuelle est le fruit de la cupidité du capitalisme insatiable anglo-américain adopté par les pays européens. Et comme en 1929, elle va conduire les peuples de la terre à s’entretuer (1939), après quoi, une dernière épreuve de foi testera universellement les croyants, et Jésus reviendra chercher les siens pour les conduire dans son royaume céleste, selon sa promesse.

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- Fin du message -

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