La Révélation de la Septième Heure
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Dans la série
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Le miroir de la société moderne
L’accoutumance au mal est lente, progressive, et insidieuse. Avec du temps, on peut tout faire avaler aux hommes. Ce qu’ils refusent et condamnent aujourd’hui fera leurs délices demain.
Je vous propose d’être attentif au constat que je vous soumets. Ce qui horrifiait les Chrétiens fidèles de l’église naissante de l’époque de l’apôtre Paul, ne scandalise plus grand monde aujourd’hui. Ce qu’il tenait pour abomination, parce que Dieu le révèle ainsi dans la Bible, n’est plus aujourd’hui considéré comme tel.
La question se pose alors : comment et pourquoi ce changement s’est-il produit ?
La réponse est dans l’histoire. La nouvelle alliance basée sur la terrible crucifixion du Christ appelé Jésus, est venue remplacer l’ancienne alliance juive. Alors laissez-moi vous présenter l’image que le miroir de notre société moderne renvoie vers les « spectateurs invisibles célestes » que sont les anges … sur lesquels, comme sur nous, le grand Dieu créateur, de toute chose et de toute vie, règne souverainement, et sans partage.
Voici déjà un résumé des conceptions que les hommes modernes, dits « chrétiens », ont du grand Dieu dont ils se réclament pour qu’Il les sauve :
- « Dieu est Amour ; mais il s’est montré arbitraire et très dur envers le peuple hébreu. La preuve en est qu’il leur a interdit de manger plein de « bonnes choses » dont on se régale aujourd’hui. N’est-ce pas merveilleux ? En passant d’une alliance à l’autre, miraculeusement, ce que Dieu avait déclaré impur est devenu pur. Ce qu’il a appelé abominable ne l’est plus. Un miracle s’est produit, puisque la chair du porc a changé de nature.
- Heureusement que Jésus est venu pour contenter son caprice. Car il est capricieux notre Dieu ! Puisque pour le contenter il lui fallait qu’un homme réussisse une seule fois à vivre dans la perfection sa loi. Ce n’est pas tout ; il lui fallait aussi que ce parfait homme meure en sacrifice. Et bien il l’a obtenu ce sacrifice ! Aussi maintenant que son caprice a été satisfait, nous avons obtenu la liberté d’agir et de faire notre volonté.
- N’allons tout de même pas trop loin ; il y a des limites à tout, car il faut être raisonnable. Il ne faut pas tuer, la vie d’un être est importante, et le commandement de Dieu l’interdit. Et à tout péché, miséricorde, nous devons pardonner même au coupable, et au récidiviste, car la vie est sacrée, c’est un don de Dieu. Et puis d’ailleurs, de quoi serions-nous coupables ? N’est-ce pas lui qui nous a créés tels que nous sommes ? S’il a fait des erreurs dans notre conception, c’est à lui de réparer les choses. D’accord, notre liberté nous rend plus égoïstes et les adultères se multiplient au rythme des divorces, mais la chair est faible, et ce n’est pas facile de vivre toute une vie avec la même personne.
- De toute manière, nous ne sommes plus sous la loi mais sous la grâce, et la loi des dix commandements de Dieu ne nous condamne plus, puisque nous sommes en Jésus-Christ, et que la Bible le dit bien, il n’y a désormais plus de condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En tout cas c’est notre manière d’interpréter la chose. Quel merveilleux Sauveur que ce Jésus qui nous a libérés de cette menace permanente de perdre la vie éternelle ! Aussi, sur cette terre, nous lui préparons une place afin de l’accueillir royalement quand il va revenir établir son royaume sur la terre, et il nous trouvera réunis pour célébrer chaque dimanche, le premier jour de la semaine, le mémorial de sa glorieuse résurrection ».
Ne croyez pas que j’exagère, je traduis simplement la manière dont Dieu analyse les réflexions secrètes des hommes. C’est ce que Jésus-Christ fait dans sa parabole des talents, où il impute au méchant serviteur, les pensées qui résultent de ses œuvres, en ces termes : « S’avançant à son tour, celui qui avait reçu un seul talent dit : Maître, je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes où tu n‘as pas semé, tu ramasses où tu n’as pas répandu ». Matthieu 25 : 24
Soyez prudents et intelligents, être en Jésus-Christ ne dépend pas seulement d’un baptême. C’est avant tout suivre Jésus, et obéir comme il l’a fait aux ordonnances du Dieu législateur qui a déclaré : « Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche : elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins ». Esaie 55 : 11
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Les réponses bibliques de Dieu
« Il n’entrera chez elle rien de souillé, ni personne qui se livre à l’abomination et au mensonge ; il n’entrera que ceux qui sont écrits dans le livre de vie de l’agneau ». Apocalypse 21 : 27. Les bases du jugement divin ne changent pas pour la nouvelle alliance. Par le pronom « elle », l’Esprit désigne l’assemblée des élus qu’il appelle « la ville sainte, la Nouvelle Jérusalem, l’Epouse », dans Apocalypse 21.
« Vous ne mangerez pas le porc, … vous le regarderez comme impur ». Lévitique 11 : 7. La consommation du porc est dangereuse à cause du rôle de nettoyeur des impuretés que Dieu a voulu lui donner. Il en est de même pour tout ce que Dieu a interdit. Sa parfaite connaissance des créatures lui permet de protéger, par ses interdictions, ceux qui l’aiment, et qu’Il aime. Ce genre d’obéissance est donc totalement justifié par ceux que le sacrifice de Jésus sauve, puisqu’il veut leur bonheur. Il en a donné la preuve en disant aux Hébreux, dans Deutéronome 29 : 5 : « Je t’ai conduit pendant quarante années dans le désert ; tes vêtements ne se sont point usés sur toi, et ton soulier ne s’est point usé à ton pied ». L’état de notre santé dépend de notre obéissance à ses commandements et ses lois sanitaires ; Exode 23 : 25-26 : « Vous servirez l’Eternel, votre Dieu, et il bénira votre pain et vos eaux, et j’éloignerai la maladie du milieu de toi. Il n’y aura dans ton pays ni femme qui avorte, ni femme stérile. Je remplirai le nombre de tes jours ».
« … ce que tuera l’Eternel seront en grand nombre. Ceux qui se sanctifient et se purifient dans les jardins, au milieu desquels ils vont un à un, qui mangent de la chair de porc, des choses abominables et des souris, tous ceux-là périront dit l’Eternel. Je connais leurs œuvres et leurs pensées, le temps est venu de rassembler toutes les nations et toutes les langues ; elles viendront et elles verront ma gloire ». Esaie 66 : 16 à 18. Message pour le temps du jugement au retour en gloire de Jésus-Christ.
« … L’Eternel est lent à la colère et riche en bonté, il pardonne l’iniquité et la rébellion ; mais il ne tient point le coupable pour innocent, et il punit l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération». Nombres 14 : 18 et Exode 34 : 37
« … car je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaitra pas de la loi, un trait de lettre, ou un iota, avant que tout soit arrivé ». Matthieu 5 : 18. On le constate, le ciel et la terre ne sont point passés, donc la loi est toujours active.
« … car le péché c’est la transgression de la loi ». 1 Jean 3 : 4
« … je n’ai connu le péché que par la loi. Car je n’aurais pas connu la convoitise, si la loi n’eût dit : tu ne convoiteras point ». Romains 7 : 7
« … car le salaire du péché c’est la mort ». Romains 6 : 23
« … que le péché donc ne règne plus dans vos corps mortels, et n’obéissez plus à ses convoitises ». Romains 6 : 12. Pour que le péché ne règne plus, il faut donc obéir aux commandements de Dieu.
« … je m’en vais vous préparer une place, et quand je vous aurez préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis, vous y soyez aussi ». Jean 14 : 2-3. Où Jésus est-il parti ? Dans son royaume céleste, c’est donc là qu’il prépare une place pour ses élus, dans la demeure du Père.
« Ensuite, nous les vivants qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur ». 2 Thessaloniciens 4 : 17
«… je regardais et voici une porte était ouverte dans le ciel… la première voix que j’avais entendue, comme le son d’une trompette, et qui me parlait, dit : Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite ». Apocalypse 4 : 1. C’est dans le royaume céleste que Jésus prépare une place pour ses élus, et non sur la terre où il établira son royaume renouvelé et glorifié uniquement après le septième millénaire.
« … souviens-toi du sabbat pour le sanctifier, tu travailleras six jours et tu feras tout ton ouvrage, mais le septième jour (le samedi) est le jour de repos de l’Eternel, ton Dieu, tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l’Eternel a fait les cieux, la terre, et la mer, et tout ce qui est contenu, et il s’est reposé le septième jour ; c’est pourquoi l’Eternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié ». Exode 20 : 10-11. Un commandement qui compte pour le grand Dieu créateur frustré par les hommes de ses droits d’Auteur depuis l’an 321 de notre ère chrétienne.
L’époque moderne a beaucoup fait changer en mal les hommes ; dommage pour vous, dit le grand Dieu Créateur, car moi, « je suis l’Eternel, je ne change pas ». Malachie 3 : 6
Pour ceux qui feraient encore une différence entre les deux noms, (Dieu et Jésus) je propose encore ces deux autres versets de la sainte Bible :
« Jésus-Christ est toujours le même, hier, aujourd’hui, et éternellement ». Hébreux 13 : 8
« … toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en-haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement, ni ombre de variation ». Jacques 1 : 17
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- Fin du message -
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