La Révélation de la Septième
Heure
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Dans la série
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Message pour notre époque
« On attend la paix, et il n’y a rien de bon, le temps de la guérison, et voici l’épouvante ».
Les paroles que je viens de lire pourraient être lues dans la chronique d’un journaliste contemporain, tant elles correspondent à la situation créée par le désastre économique des peuples occidentaux américains et européens. L’économie actuelle repose sur le développement du capitalisme prôné et imposé par les Etats-Unis d’Amérique du nord, le pays sorti vainqueur de la seconde guerre mondiale. Il y aurait beaucoup à dire sur les critères du caractère de ce capitalisme froid marqué par la cupidité, bien éloigné du caractère de Jésus-Christ, ce qui lui présageait un fruit désastreux selon qu’il est écrit dans la Bible : « L’amour de l’argent est une racine de tous les maux ».
Revenant à ces paroles que je relis : « On attend la paix, et il n’y a rien de bon, le temps de la guérison, et voici l’épouvante », cette citation n’est pas celle d’un journaliste contemporain mais celle de Jérémie, prophète du Dieu Vivant, et témoin oculaire de la ruine venue frapper le peuple Juif en 586 avant notre ère chrétienne. Entre son époque et la nôtre, il y a donc environ deux mille six cents années. Cet événement daté pour 586 avant Jésus-Christ n’est pas légendaire mais totalement historique.
Pourquoi évoquer cet événement si éloigné de nous ? Tout simplement parce que nous allons y retrouver des explications pour comprendre ce qui arrive à notre époque. Ceci va nous permettre de mettre à l’épreuve notre foi qui selon la volonté de Dieu doit se manifester par une confiance absolue dans sa parole écrite ; sa sainte Bible construite sur ses révélations de ses deux alliances.
Pourquoi la Bible et pas un autre livre ? Très logiquement parce qu’elle constitue la plus ancienne révélation inspirée par le grand Dieu Créateur qui a choisi dans son élection Abram rebaptisé Abraham, et sa descendance. Quelque soit notre situation religieuse héritée, quelque soit le pays où nous sommes nés, nous ne pouvons que reconnaître le choix du Dieu tout-puissant. Ce choix a laissé une marque que personne ne peut ignorer ; je parle de l’existence du peuple Juif que l’actualité contemporaine cible continuellement. Personnellement né en France, j’ai choisi de suivre la religion de Jésus-Christ apparue sur la terre d’Israël, et ainsi je réponds par mon engagement au projet divin dans lequel les élus viendront des quatre points cardinaux « à la table d’Abraham ».
Le projet du salut divin est universel ; il est donc unique et exclut toute idée de formes concurrentes. S’il y a concurrence religieuse, c’est parce qu’il existe un concurrent opposé de manière systématique au projet divin. Dieu l’appelle le diable. Ce rebelle de la première heure a été définitivement condamné à mort par l’obéissance parfaite manifestée par Jésus, le Christ ou Messie du Dieu vivant. N’ayant plus rien à perdre, avec les démons qui l’ont suivi dans sa révolte, il s’emploie à perdre les âmes pour faire échouer l’œuvre de salut que Dieu propose à l’humanité au nom de Jésus-Christ.
Comprendre ces choses, c’est admettre que l’œuvre du diable n’a pas de limite, sauf celle que Dieu lui impose, et que nous devons nous attendre de sa part aux pièges les plus subtils. Les plus grossiers sont reconnus et identifiés par beaucoup. Mais les plus subtils nécessitent un secours divin particulier qu’il offre à ses fidèles serviteurs dans des révélations codées dans les textes prophétiques de la Bible entière.
Cette intention divine, chacun peut la retrouver dans ce premier verset du dernier livre de la nouvelle alliance appelé Apocalypse et qui signifie « Révélation ». Je cite : « Révélation de Jésus-Christ que Dieu lui a donnée pour montrer à ses esclaves les choses qui doivent arriver bientôt, et qu’il a fait connaître à son esclave Jean ». Il s’agit là d’une traduction darbyste qui peut déplaire mais rend le message de l’auteur divin plus conforme à son intention. Esclave ? C’est bien ce que nous sommes puisque, Dieu, notre Maître, a pouvoir de vie et de mort sur chacun de nous.
Pour nous convaincre de l’extrême importance de sa Révélation codée, l’Esprit divin nous propose une image dans le cinquième chapitre. On y voit Jean pleurer beaucoup quand on lui dit que personne ne peut ouvrir le livre scellé de sept sceaux, ni le regarder. Il est ensuite consolé en apprenant que l’Agneau de Dieu, celui qui ôte les péchés du monde par son sacrifice volontaire expiatoire, a vaincu pour ouvrir le livre. Humainement, ne connaissant pas le contenu du livre, Jean n’a pas de raison particulière de pleurer. Pourtant, dans le rôle qu’il lui fait tenir, Dieu le fait beaucoup pleurer. Souvenons-nous alors des paroles de Jésus-Christ qui parlant de la géhenne a dit: « c’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents ». Les pleurs suggèrent donc la perte du salut par des croyants faibles et sensibles mais infidèles, et au contraire, les plus méchants réagissent dans les mêmes circonstances par des grincements de dents. Par cette scène, présentée dans Révélation au chapitre 5, Jésus présente le caractère vital de la connaissance des messages cachés dans sa Révélation ; c’est pour ses serviteurs une question de vie ou de mort spirituelle. Sa révélation prophétique est ainsi présentée comme ayant autant d’importance que la reconnaissance de son sacrifice expiatoire volontaire. Si l’œuvre de la croix offre le salut divin, la conformité aux messages cachés dans la prophétie permet, elle, de conserver ce précieux salut et de ne pas le perdre, car ceci peut étonner certains croyants, mais le salut reste toute notre vie conditionné par notre conformité aux exigences de Dieu pour notre temps. Et à chaque temps, il y a des exigences divines nouvelles, selon son projet révélé dans ses prophéties.
Vous découvrirez dans la Révélation de la Septième Heure, sur le site « petit-livre-ouvert.com » comment, depuis 1844, l’application d’un puissant et souverain décret divin ignoré des hommes est venu remettre en cause le statut des églises issues de la foi protestante appelée également, par opposition à la foi catholique romaine, foi réformée. Mais cette date 1844 ne marque pas la fin des épreuves de foi préparées par Dieu. Elle constitue au contraire la base d’une dernière épreuve rattachée à la date 1994. Ces deux dates sont obtenues à partir des données chiffrées présentées respectivement dans le livre de Daniel et dans la Révélation ou Apocalypse. Dans ce dernier livre Jésus invite ses serviteurs à garder jusqu’à la fin ses œuvres. Il s’agit des épreuves de foi successives révélées dans son montage prophétique. Comment pourrez-vous garder ces œuvres si vous en ignorez la signification ? Là encore, la Révélation de la Septième Heure du site « petit-livre-ouvert.com » vous livrera tous les détails nécessaires pour pouvoir vous conformer aux exigences de Dieu.
Il est donc possible d’aimer le Seigneur Jésus-Christ et malgré cela perdre le salut. La cause devient alors évidente ; l’âme aimante s’est laissée tromper par des séductions diaboliques particulièrement subtiles qui vont la séparer de Dieu. Pour éviter ce drame, Jésus nous indique un seul moyen ; la découverte de ses révélations cachées dans sa Révélation prophétique.
Ce que vous devez comprendre, et qui justifie l’intérêt de l’étude studieuse et approfondie des prophéties divines, c’est qu’en révélant les choses qui doivent arriver bientôt, Dieu nous propose de découvrir le jugement qu’il porte sur le développement religieux qui va s’accomplir jusqu’à la fin du monde. Entré en connaissance du jugement de Dieu, l’esclave fidèle va découvrir la nature réelle des pièges religieux tendus par le diable, et il sera ainsi rendu capable de les éviter.
Nous sommes dans ce temps de la fin contre lequel Jésus nous a mis en garde, évoquant l’apparition des faux christs et parlant d’une séduction des multitudes si forte qu’elle serait capable de séduire les élus, mais il a précisé, « si c’était possible ». Après ce que nous venons de voir, il apparaît clairement que cette impossibilité de séduire les élus de Dieu en Jésus-Christ repose sur leur connaissance des pièges religieux diaboliques révélés dans ses prophéties consacrées au temps de la fin. Mais relevez bien que, dans cette épreuve de foi, l’intérêt pour la Révélation divine n’est que le moyen par lequel les élus manifestent la profondeur de leur intérêt pour Jésus-Christ et pour sa cause. Il n’est donc pas étonnant que Dieu les aime et les bénisse, les garde et protège jusqu’à leur faire partager son éternité ; ce qui constitue le but suprême de tout son projet divin. C’est en effet pour atteindre ce but suprême que Dieu s’est imposé l’épreuve d’endurer l’opposition d’un camp rebelle dirigé par Lucifer. La sélection des élus repose sur leur liberté de choix. Mais Dieu n’a pas trompé l’humanité sur les conséquences de ses choix. En disant, « J’ai mis devant toi, la vie et le bien, la mort et le mal », il ne reste que le choix de vivre avec Dieu selon ses normes, ou mourir quand on ne supporte pas de lui obéir. Ainsi sont clairement établies les conditions de la bénédiction ou de la malédiction divine. Au cours des six mille années réservées à l’offre du salut divin, les hommes et les femmes de toutes les époques se sont trouvés devant ce choix binaire permanent qui consiste à suivre Dieu, norme du bien, ou le diable, norme du mal. Selon Jésus-Christ la norme divine du bien est semblable à un chemin étroit, ou une porte étroite et il ajoute que peu nombreux sont ceux qui la trouvent. Ceci signifie qu’à part cette porte étroite, tout ce qui reste est exploité par le diable pour piéger de toutes manières les croyants superficiels néanmoins intéressés par l’offre du salut divin. Après avoir, dans un premier temps persécuté ouvertement les croyants, le diable a employé un comportement diamétralement opposé reposant sur la séduction des âmes. Il s’est mis à prêcher le salut chrétien dans une version personnelle qui frustre Dieu sur les points qui l’importent le plus. C’est ainsi que nous pouvons relever la disparition de l’obéissance au repos sabbatique du septième jour, qui selon le quatrième commandement doit entretenir dans la pensée des hommes, comme un mémorial, le souvenir de la glorieuse création effectuée par le grand Dieu Créateur.
Si l’œuvre accomplie par Jésus-Christ est glorieuse et digne d’être honorée, cet honneur ne peut aucunement être réalisé au détriment de l’obéissance au quatrième commandement qui honore Dieu comme Créateur. Principalement, parce que les deux pratiques sont parfaitement compatibles et ne s’opposent pas. Le refus de cette logique est alors considéré par Dieu comme un choix rebelle où l’homme tente de justifier l’injustifiable. La relation bénie avec lui étant devenue impossible, Dieu se retire et abandonne le rebelle à la gouvernance invisible et trompeuse du diable et de ses démons. Les deux camps étant dirigés par des esprits invisibles, on comprend la justification de la mise en garde de l’apôtre Jean qui nous exhorte à éprouver les esprits pour savoir s’ils viennent de Dieu. Se fondant sur la tactique du diable de son temps, Jean propose des moyens pour identifier ces esprits inspirateurs. Mais les critères qu’il propose ne sont plus justifiés de nos jours à cause du changement de la tactique des actions du diable et de ses démons. Reconnaître Jésus-Christ venu en chair ne constitue plus une preuve de l’action divine au moment où le diable prêche lui-même la foi chrétienne, et donc, Jésus venu en chair.
De même, quelle valeur peut-on donner à la réalisation d’authentiques miracles, quand on sait que Jésus nous avertit, dans Matthieu 24, que dans les derniers jours, les FAUX CHRISTS feront des prodiges et des miracles, au point de séduire les élus si c’était possible. Le diable est capable de reproduire les miracles que Jésus avait réalisés pendant son ministère terrestre et Jésus le confirme encore dans Matthieu 7. Ceux qui se réclament de lui, diront : « Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? » Et Jésus leur répondra : « retirez-vous de moi. Je ne vous ai JAMAIS connu, vous qui commettez l’iniquité ! » La précision « JAMAIS connu » indique que Jésus n’a JAMAIS pris part à la réalisation des miracles revendiqués par ce type de chrétiens trompés par les démons.
A la suite de ces constatations, il apparaît que le plus sûr moyen de ne pas honorer le diable en croyant honorer Dieu repose sur une parfaite connaissance du Dieu Créateur et Rédempteur et de ce qu’il ordonne ou conseille, approuve et bénit. Seule, la Bible permet d’atteindre ce but. Retrouvez la foi chrétienne pratiquée idéalement par les apôtres et vous serez en situation d’être bénis par Dieu qui affirme qu’il ne change pas. Si son jugement et ses valeurs ne changent pas, en parfait stratège il sait aussi adapter ses actions en fonction des tactiques employées par le diable. Aussi, quand le diable fait des miracles pour séduire les croyants superficiels, Dieu éclaire ses enfants par le moyen de ses prophéties codées.
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Afin de vous donner toutes les raisons de le pratiquer, je vous propose de suivre une étude qui a pour titre…
Toute la justification du sabbat
L’obéissance au vrai jour de repos sanctifié par Dieu, le septième dans l’ordre qu’il a établi dès la création du monde, se justifie encore par le fait que Jésus n’a pas laissé de message visant à mettre fin à sa pratique ; bien au contraire, il déclare dans Matthieu 5, je cite : « Tant que le ciel et la terre ne passeront point il ne disparaîtra pas un trait de lettre ou un iota de la loi jusqu’à ce que tout soit arrivé ». De plus, la pratique du sabbat ne fait pas non plus l’objet d’une controverse entre les disciples de l’Eglise des apôtres. Ils se sont disputés au sujet de la circoncision mais jamais au sujet du respect du quatrième commandement. En tant que Juifs héritiers de l’enseignement juif, on imagine combien une controverse au sujet du respect d’un commandement de Dieu aurait provoqué un tumulte bien plus grand que celui qui a été provoqué par le sujet de la circoncision. D’ailleurs Paul nous a révélé son opinion sur ces deux sujets en déclarant dans sa première épître adressée aux Corinthiens, chapitre 7 et verset 19 : « La circoncision n’est rien, l’incirconcision n’est rien, mais l’observation des commandements de Dieu est tout ».
J’ajouterai d’autres arguments qui reposent sur une analyse logique. Présenté par Dieu à Israël comme quatrième commandement du décalogue, le sabbat remonte à la première semaine de la Création, moment où Dieu l’a sanctifié comme septième jour. L’organisation de la première semaine est préparée pour l’Homme. Le modèle de la semaine de sept jours va rythmer le temps de la vie des hommes jusqu’à la fin du monde. Le verbe hébreu qui désigne le repos de Dieu est « shabat » dans lequel le « B » central se prononce « V ». Il est de la même racine que le chiffre « sept ». Ainsi, le « shabat », prononcé « shavat », sera plus tard présenté aux Hébreux sous le nom « shabbat », mais il s’agit bien du même repos ordonné par Dieu. Les alliances sont circonstancielles, mais l’ordre établi dès la Création demeure. Ainsi, tant que la terre porte des hommes, ceux-ci ont le devoir d’honorer leur Créateur en respectant ses ordonnances. Ceci d’autant plus que le verbe exprimant le repos de Dieu est conjugué au temps dit « imparfait » qui exprime une action inachevée qui va se prolonger dans le futur. Cette particularité de l’hébreu rend la traduction en français impossible, au mieux comprenez « il s’est reposé, se repose, et se reposera ». Cette idée est confirmée dans Révélation 1, verset 8 où Jésus se présente en disant : « Je suis celui qui est, qui était, et qui vient… ». Mais cette subtilité est riche d’enseignement car il se trouve que cette semaine de sept jours, unité du temps, est renouvelée au niveau des millénaires prévus par Dieu pour la démonstration qu’il veut révéler par l’expérience des créatures terrestres ; parmi lesquelles il sélectionne ses élus. Il y aura sept mille ans et le problème de la rébellion du diable sera définitivement réglé. De la Création jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ, il y aura six mille ans. L’anéantissement des créatures terrestres qui succède à ce retour fera de la terre désolée une prison pour le diable pendant les mille ans du septième millénaire. Dans le royaume des cieux, dans une paix parfaite, Dieu et les élus rachetés de la terre apprécieront enfin un vrai repos. C’est en pensant à ce véritable repos, que le Créateur a sanctifié le septième jour de la semaine. Je développe cette logique. Pendant les six mille années du temps de grâce, Dieu est en lutte perpétuellement contre le diable. La victoire de Jésus a condamné Satan à une mort certaine, et il a obtenu pour ses élus qu’ils entrent dans son repos, mais la lutte continue, et ni Dieu ni ses serviteurs fidèles ne connaissent le repos. Ce n’est que par le retour glorieux de Jésus et la fin du temps de grâce, que le vrai repos devient possible. Le sabbat hebdomadaire célèbre ainsi chaque semaine l’entrée future dans le repos céleste éternel obtenu par l’œuvre glorieuse du sacrifice de Jésus-Christ. Qui alors parmi les Chrétiens peut justifier son mépris, son refus, ou son indifférence, à l’égard du glorieux sabbat du septième jour ?
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Je vous invite maintenant à découvrir des drames ignorés en suivant une étude qui a pour titre…
Les leçons de l’Histoire
De même que la Bible est constituée par les témoignages des deux alliances, de même la révélation prophétique concernant le temps de la fin repose sur la complémentarité du livre de Daniel de l’ancienne alliance et du livre Révélation de la nouvelle alliance. Les clés du second se trouvent dans le premier. Les deux livres ayant eux-mêmes besoin de beaucoup d’autres clés dispersées dans toute la Bible en commençant par le tout-premier, celui de la Genèse.
« La Lettre tue, mais l’Esprit vivifie » a dit le Seigneur. Vous devez alors comprendre que le texte biblique peut lui-même devenir un piège mortel quand il est mal interprété. Or notre bonne interprétation de la Bible dépend entièrement de la nature de l’esprit qui nous inspire. Pour que cette inspiration soit celle du Saint-Esprit du Dieu vivant il faut être approuvé par lui et ne le contredire en aucune manière. Ceci explique pourquoi, l’authentique serviteur de Dieu va progresser dans sa connaissance sur un chemin logique et simple. La foi se complique uniquement quand on cherche à justifier l’injustifiable. Ce chemin logique et simple caractérise le projet divin tout entier. Ceci explique pourquoi Jésus a comparé ses élus à des enfants.
Mon expérience au service du Dieu lumière m’a appris que beaucoup d’hommes et de femmes religieux, et aimant la personne de Jésus-Christ, vont perdre leur salut à cause de l’orgueil. C’est bien par orgueil qu’un être vivant refuse de remettre en cause ses conceptions religieuses erronées, reproduisant ainsi l’acte rebelle de Lucifer qui le conduisit à devenir le diable ; l’adversaire, l’ennemi de Dieu. Dieu a pourtant mis l’homme en garde contre l’orgueil en disant qu’il fait grâce aux humbles mais qu’il résiste aux orgueilleux. Il nous a averti également en ces termes, « maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme ». Ce message ne condamne t’il pas la société humaniste actuelle qui concerne les religions chrétiennes occidentales particulièrement ? Cette société ne se prépare t’elle pas aux pleurs et aux grincements de dents ?
La Bible nous dit encore : « au temps du bonheur réjouis-toi ; au temps du malheur réfléchis ». Nous l’avons vu, l’écroulement économique actuel présage d’énormes « malheurs » pour les peuples chrétiens occidentaux. Eclairé sur le projet divin, je suis en mesure de préciser que l’écroulement économique conduira à des guerres civiles et pour finir, à une guerre effroyable où l’arme nucléaire fera perdre à l’humanité toute chance de prolonger à long terme la vie sur la terre. Les candidats au salut divin ont donc toute raison de se mettre à réfléchir pour découvrir les causes des malheurs qui les frappent. Où vont-ils découvrir ces causes ? Dans les révélations prophétiques préparées par Dieu pour ses esclaves fidèles.
L’heure de vérité étant arrivée, je vais vous exposer une traduction succincte en clair de la construction prophétique codée. Je précise que l’autorité de cette interprétation est consultable et vérifiable en vous rendant sur le site « petit-livre-ouvert.com ». Vous y trouverez, toutes les explications et pourrez ainsi constater que l’usage exclusif de la sainte Bible pour sources d’explications lui confère le sceau de l’autorité du Dieu de vérité. Vous aurez besoin d’apprendre à désapprendre, car toujours logique dans ses buts, l’Esprit du Dieu créateur est parfois plus difficile à suivre dans ses moyens.
Je vous présente dans ce message, des lumières tout récemment reçues du Dieu de vérité. Ce qui est nouveau peut ainsi remettre en cause des éléments des interprétations prophétiques précédentes. Vous devrez en tenir compte en vous rendant sur le site « petit-livre ouvert.com » qui présente des études qui conservent néanmoins toute leur valeur spirituelle. Vous devez ainsi suivre le pas à pas de la progression de la lumière divine pour comprendre ce que Dieu appelle aujourd’hui : sa vérité. Car il est écrit : «… la lumière du juste est comme le soleil qui s’en va croissant depuis l’aube jusqu'au milieu du jour ». Et, dans Daniel, Dieu nous prévient que « la connaissance augmentera » ; ce qu’elle a fait progressivement depuis 1844, et continue de faire. Nous devons constamment nous adapter aux nouvelles données accordées par le Souverain Dieu créateur.
Jusqu’à ce jour vous ne l’avez peut-être pas réalisé, mais Dieu attend légitimement de la part de ceux qui se réclament de lui qu’ils commencent par démontrer leur intérêt pour ses projets révélés. La Bible dit : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force ».
Pour mieux comprendre la conséquence du refus de la lumière, je vous donne un exemple qui a coûté à l’Israël de l’époque de Jésus-Christ la fin de son alliance avec Dieu. Dans le livre d’Esaïe, au chapitre 61 et particulièrement au verset 2 nous trouvons l’annonce d’un projet divin qui concerne l’œuvre du Messie. Ces versets ont été lus par Jésus dans la synagogue de Nazareth, la ville où il vivait. Arrivant au verset 2, il referma le livre en ne citant que la seule « année de grâce » mentionnée dans la première partie du verset. Il ne cita pas la deuxième partie qui concerne « un jour de vengeance pour notre Dieu ». La colère qui enflamma le peuple contre lui à sa sortie de la synagogue exprime l’incompréhension humaine des subtilités cachées dans les citations de la Bible. Occupés par les Romains, les Juifs portaient tout leur intérêt sur la seconde partie du verset qui leur permettait d’espérer en apparence d’obtenir du Messie la délivrance de l’occupation romaine. Le peuple occupé rêvait d’un libérateur musclé qui déloge l’occupant, alors que Dieu leur proposait un libérateur spirituel, un « Agneau » qui est venu instaurer « une année de grâce » en livrant sa vie pour les péchés de son peuple. A regarder ce texte de plus près, on peut relever la différence suggérée par les mots « année » et « jour ». Ainsi, par le mot « année », l’Esprit suggérait une longue période de grâce divine qui couvre en fait toute l’ère chrétienne et s’achèvera au moment de la fin du temps de grâce préprogrammée par Dieu. Après seulement, une très courte période sera consacrée à la vengeance de Dieu contre les rebelles de la terre ; d’où l’emploi du mot « jour » pour la désigner dans la prophétie. Les Juifs, ce peuple du Livre, n’avaient pas relevé l’importance entre le choix divin des mots « année » et « jour ».
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Notre réflexion va nous permettre de comprendre maintenant pourquoi la religion est devenue confusion. Le titre de cette étude sera…
Cause d’une première confusion religieuse juive
Daniel 9 : La première venue du Messie
Il existait dans la Bible, une autre prophétie, plus claire qu’aucune autre concernant le Messie. Présentes à l’époque du Christ dans la Torah, il s’agit des prophéties du livre de Daniel. Or, première étonnante constatation, dans la Torah, les Juifs n’ont pas placé le livre de Daniel dans les livres prophétiques. L’étonnement disparaît quand on sait que Dieu dit à Daniel, « scelle le livre ». Le livre devait être scellé « jusqu’au temps de la fin » à partir duquel « on le lira et la connaissance augmentera ». Ses révélations n’étaient donc pas réservées aux Juifs de l’ancienne alliance. Dans la Torah, on trouve le livre de Daniel juste avant celui d’Esdras. Pourtant, vous n’allez pas en croire vos oreilles, mais voici ce que chacun peut lire clairement dans le chapitre 9 de ce livre de Daniel, au verset 25 : « Et sache, et comprends : Depuis la sortie de la parole pour rétablir et rebâtir Jérusalem, jusqu’au Messie, [le] prince, il y a sept semaines et soixante-deux semaines…». J’arrête ici ma lecture pour attirer votre attention sur l’intention de Dieu d’offrir à son peuple la possibilité de ne pas être surpris par l’apparition du ministère terrestre du MESSIE annoncé et attendu. Dieu avait préparé son peuple pour un rendez-vous amoureux. Pour connaître l’heure de ce rendez-vous fixé par Dieu, il fallait faire un bon usage des données révélées dans le verset 24. Au début du chapitre 9, nous voyons Daniel attendant la libération pour quitter Babylone et retourner sur la terre d’Israël. Il s’afflige sur l’état de son temple, alors détruit depuis 586 avant J-C. Dieu va répondre à sa plainte d’une singulière manière, en lui révélant comment rejetant le Messie, son peuple sera frappé et détruit de nouveau. Mais cette annonce prend un caractère exceptionnel quand on découvre les précisions qui permettent de connaître le temps exact de sa venue. Le verset 24 dit : « Soixante-dix semaines ont été déterminées, sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour clore les transgressions, et pour en finir avec les péchés, et pour faire propitiation pour l’iniquité, et pour introduire la justice éternelle, et pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints ». Ces indications expriment la mission prévue pour le Messie et les raisons de sa venue. Il vient pour démontrer l’amour du Dieu créateur à ses créatures, prenant sur lui-même la mort que méritent leurs péchés. Il instaure ainsi une justice éternelle qui s’obtiendra par la foi donnée à sa démonstration.
Dieu a donné des chiffres « Soixante-dix semaines » qui suggèrent un calcul. Le verset 25 apporte l’élément indispensable pour faire un calcul ; le repère du départ. L’ange dit : « Et sache, et comprends : Depuis la sortie de la parole, pour rétablir et rebâtir Jérusalem, jusqu’au Messie, [le] prince, il y a sept semaines et soixante-deux semaines… ». Nous avons maintenant, la possibilité de calculer la date de fin des soixante-dix semaines. Nous avons encore besoin de comprendre que les semaines prophétiques représentent des semaines d’années réelles. La clé de cette interprétation est donnée au prophète Ezéchiel, contemporain de Daniel. Dans son livre, Dieu lui dit au chapitre 4, verset 6: « Je te compte un jour pour chaque année ». Le repère étant un ordre royal autorisant les Juifs à rebâtir Jérusalem ; la réponse sera trouvée dans le livre d’Esdras. Là nous trouvons dans le chapitre 6, au verset 14, la mention de trois rois Perses respectivement, « Cyrus, Darius, et Artaxerxès ». Les trois ont donné leur autorisation, mais seul le dernier, Artaxerxès, va permettre d’obtenir le résultat recherché. Son décret fait le thème du chapitre 7 d’Esdras et on le date en 457 avant J-C. Avec cette date de départ, la fin des soixante-dix semaines ou 490 années s’achèvent en l’an 34 après J-C. Traduite littéralement la prophétie poursuivait en disant au verset 26 : « Et après les soixante-deux semaines, un oint sera abattu, et rien pour lui ».
Cette traduction absolument littérale apporte une richesse d’enseignement inattendue. Jean-Baptiste a dit en parlant des hommes pécheurs : « Tout arbre qui ne porte pas de bon fruit sera abattu (ou coupé) et livré au feu pour être brûlé ». A l’heure de son sacrifice, le Messie (le oint) s’est fait l’image de ce type de pécheur. C’est ce qui justifie l’emploi du verbe « abattu » pour désigner le sens de sa mort expiatoire. De même cité sans être précédé par l’article « le » le Messie est présenté comme « un oint » qui n’est pas le premier à se présenter au nom de Dieu au peuple d’Israël, conformément à l’enseignement de la parabole des vignerons ; cependant c’est uniquement sur lui que le salut des hommes va reposer.
La prophétie annonçait d’avance l’incrédulité nationale que le MESSIE Jésus allait rencontrer. La mort expiatoire du MESSIE est donc bien annoncée, et en précisant « et rien pour lui », l’Esprit prophétise l’incapacité humaine à comprendre le projet divin, tant il est vrai que même ses apôtres qu’il avait personnellement choisis, n’avaient pas compris pourquoi Jésus s’est laissé arrêter et mettre à mort par les autorités juives et romaines. Ce n’est qu’après sa résurrection qu’ils recevront de sa bouche les explications concernant son ministère dans le projet divin que nous appelons le plan du salut. En dehors de ses apôtres et de ses disciples qu’il a éclairés, l’incrédulité prolongée du reste du peuple et des autorités juives devait recevoir une réponse divine. Le « jour de vengeance » espéré contre l’occupant romain s’est retourné contre eux en 70 de notre ère, quand les Romains dirigés par Titus sont venus accomplir la suite du verset 26. Je cite : « Le peuple d’un chef qui viendra détruira la ville et la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ». J’ouvre ici une parenthèse, pour attirer votre attention sur un détail dont les conséquences sont énormes. Ceci concerne le mot « sainteté » qui est la traduction du mot « qodesh » que le texte original hébreu nous propose. Le mot « sanctuaire » illégitimement traduit dans les Bibles se dit en hébreu « miqdash ». Bien que ces deux mots soient d’une même racine, le texte hébreu les distingue clairement par la présence de la consonne « M » placée devant la racine « qdsh » pour le mot sanctuaire. Dans ce verset 26, le « M » ne se trouve pas dans le texte hébreu. La décision divine de détruire la sainteté avec Jérusalem a pour but de retirer à un lieu saint son caractère de sainteté ; la terre sainte est réduite au statut de terre profane. Cet enseignement est confirmé par les propos tenus par Jésus. Je cite : «… Ce n’est plus sur cette montagne, ni à Jérusalem que vous devrez adorer le Père,… …car Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l’adorent, l’adorent en esprit et en vérité ». C’est pour confirmer cette intention qu’en 70 le temple, centre de la sainteté, est détruit ainsi que le clergé juif qui gérait la religion juive. Et Dieu livre la Palestine aux peuples arabes qui vont jusqu’à bâtir une mosquée sur l’emplacement de l’ancien temple. Ainsi disparaît toute justification pour l’humanité de continuer à entretenir l’idée de la sainteté du territoire habité par les Juifs. L’actuel engouement pour la terre et le peuple d’Israël repose donc exclusivement sur la sensiblerie et le sentimentalisme humaniste des sociétés modernes occidentales ; c’est une forme d’idolâtrie contre laquelle Dieu nous a mis en garde. Tout est question d’équilibre. La Bible nous dit que « le salut vient des Juifs ». Comprenez qu’ils ont reçu les enseignements sur lesquels notre foi chrétienne repose. Jésus et ses apôtres étaient bien des Juifs. Nous devons alors regarder l’histoire d’Israël et tirer leçon de son expérience, dans le bien comme dans le mal, afin d’éviter ses erreurs. Si la sainteté de l’Israël juif est détruite en 70, c’est parce que la sainteté authentique appartient, depuis sa mort sur la croix en 31 à Jésus, et ses apôtres, fondement d’un nouvel Israël spirituel ouvert aux païens. Pour mieux comprendre tenez compte de ceci. La promesse fut faite à Abraham sur la base de sa foi ; une foi démontrée par l’acceptation d’offrir en sacrifice Isaac son fils légitime sur l’ordre de Dieu. Cette action fait d’Abraham, également, le père de la foi de la nouvelle alliance basée sur le sacrifice volontaire de Jésus, le Fils de Dieu. Entre Abraham et la nouvelle alliance, il y a l’Israël juif qui a perdu tous ses droits religieux et son titre de peuple élu quand il a refusé le Messie Jésus programmé dans le plan du salut divin. La foi dans la mort volontaire de Jésus étant seule capable de soustraire le pécheur à la mort conséquence du péché, le peuple Juif qui refuse l’offre de grâce qui repose sur Jésus-Christ reste dans son péché et constitue un peuple de pécheurs volontaires dont le salaire est la mort. Ceci explique pourquoi la mort est venue sur eux en 70. Mais un événement tragique plus proche de nous est venu confirmer la condamnation divine de ce peuple comme premier pécheur depuis la promesse faite à Abraham. En effet le peuple Juif a été pris particulièrement pour cible par les Allemands nazis qui avaient fait le projet de l’exterminer. L’analyse spirituelle permet de comprendre que le statut de l’Israël juif ne peut changer et retrouver grâce auprès de Dieu que par sa reconnaissance du Messie Jésus. Cette démarche ne s’étant pas produite, nous devons comprendre que le retour des Juifs en Palestine en 1947 repose uniquement sur la sensiblerie humaniste des peuples occidentaux eux-mêmes frappés par la malédiction de Dieu pour l’infidélité envers la foi chrétienne. Ce retour ne pouvait donc porter qu’un fruit amer pour la planète terre entière. Et le pire est à venir. Autre conséquence de la destruction de la sainteté des lieux saints, il n’y a plus moyen de justifier les « croisades » lancées par la papauté romaine qui avaient pour but de délivrer la terre sainte et le tombeau du Christ. Ainsi s’achève la parenthèse ouverte sur le thème de la sainteté.
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Nous dirigerons maintenant notre attention sur un sujet très controversé que je vous propose sous le titre…
Daniel 9 verset 27 : La 70ème semaine.
Après avoir évoqué dans le verset 26 le châtiment de l’incrédulité juive, l’Esprit prédit une succession de guerres de conquêtes et de dominations profanes jusqu’à la fin du monde. Nous lisons : « et jusqu’à la fin il y aura guerre, un décret de désolations ». Ce message concernant la guerre dans sa généralité, referme la parenthèse ouverte dans le texte biblique à propos du dévastateur romain de l’époque impériale. Le verset 27 va maintenant nous ramener au sujet principal rattaché aux « soixante-dix semaines », le rôle du Messie, et plus particulièrement, le fondement de la nouvelle alliance qu’il établit pendant la 70ème semaine. Car le verset 26 a précisé que le Messie sera « abattu » « après les 62 semaines ». Etant elles-mêmes précédées par une période de « 7 semaines », la 62ème semaine est en fait la 69ème. Et ce n’est « qu’après » elle, soit au cours de la 70ème semaine, que le Messie devait être « abattu ». Dans le texte hébreu le verset 27 se traduit ainsi :
« Et il a fait fortifier une alliance avec des multitudes. Une semaine, et à la moitié de la semaine il fera cesser sacrifice et offrande. Mais sur une aile seront des abominations qui causent une désolation, et jusqu’à une entière destruction, alors ce qui a été arrêté se répandra sur la désolation ».
L’analyse de ce verset est très riche d’enseignement. Il convient de le découper et de relever l’expression « il a fait fortifier une alliance avec des multitudes ». Dans le texte hébreu, le verbe est conjugué au « parfait » qui exprime une action accomplie ; ce qui nous rappelle les dernières paroles de Jésus sur la croix : « Tout est accompli ». Exprimant le passé, ce verbe situe avant tout, l'action du verset 27 comme étant antérieure à « l'abattage » du Messie cité dans le verset 26. La fortification de l’ancienne alliance repose, précisément, sur la mort expiatoire du Messie, conformément au projet divin cité dans le verset 24, où nous lisons qu’il viendra : « pour expier l’iniquité » ou « faire propitiation pour l’iniquité » selon Darby. Cette fortification de l’alliance va ainsi recevoir le nom de « nouvelle alliance » par la bouche de Jésus quand, à la veille de sa mort, il instaure avec la sainte cène la base cérémonielle de cette nouvelle alliance pactée sur le versement de son sang. Jésus a précisé que son sang était « versé pour la multitude ». Ici dans Daniel 9, verset 27, cette multitude est évoquée par un pluriel, « des multitudes », suggérant ainsi, la multitude juive et la multitude païenne. Cette nouvelle alliance qui va se prolonger jusqu’à la fin du monde pour les rachetés de Jésus-Christ doit bien être reçue comme une prolongation et un renforcement de l’ancienne alliance.
Je précise, que dans le texte hébreu il n’y a pas de mot, pas d’article, pas d’adverbe entre les mots « multitudes » et « une semaine » qui vient après. Une rupture littéraire est donc possible entre ces deux mots car justifiée spirituellement. Le renforcement de l’alliance n’est donc pas limité à cette 70ème semaine, et il se fonde essentiellement sur un projet divin rattaché à la mission du Messie, et plus particulièrement à son « exécution » évoquée au verset 26. Dans son projet, Dieu a prévu de faire entrer les païens convertis, par la foi dans sa nouvelle alliance.
La prophétie cible ensuite la 70ème semaine qui va mettre fin au temps de grâce pour la nation juive, pour laquelle cette révélation prend une importance particulière. Mais c’est aussi, le temps où la porte de la grâce s’ouvre aux païens. Cette 70ème semaine marque le relai des deux alliances de la grâce divine. Dans un style respectueux du texte hébreu nous lisons : « une semaine, et à la moitié de la semaine, il fera cesser sacrifice et offrande ». Baptisé en automne, Jésus a été crucifié au printemps trois ans et demi plus tard évoqués par « la moitié de la semaine » d’années de ce verset 27. Nous pouvons donc déjà dater le baptême de Jésus en l’an 27 ; ce qui correspond au début de la 70ème semaine qui s’achève en l’an 34. A cette date correspond approximativement, la mort du diacre Etienne, premier martyr de la foi chrétienne après Jésus. Par cette action, la nation juive a confirmé son refus de reconnaître en Jésus le Messie qu’elle attendait ; ce qui conduit Dieu à la faire détruire en 70 par les Romains. Au milieu de la semaine, soit en 31, Jésus offrait sa vie sur la croix pour expier les péchés de son peuple. La suite du verset 27, « il fera cesser sacrifice et offrande », annonce la conséquence de la mort du Messie qui était jusque-là prophétisée par les rites sacrificiels animaliers. Ils doivent cesser étant devenus caduques. Je vais maintenant attirer votre attention sur des subtilités qui trompent le lecteur de Daniel. Ce livre présente dans les chapitres 8, 9, et 11, des expressions similaires qui semblent être rattachées à un même personnage. L’examen du texte hébreu, avant toute traduction déformée par l’interprétation du traducteur, fait apparaître des différences signifiantes. Nous trouvons dans Daniel 8 et Daniel 11 l’annonce d’un arrêt du « perpétuel », mot qui apparaît seul et qui n’est pas accompagné du mot « sacrifice » ; comme les traductions de la Bible peuvent le faire croire. L’Esprit laisse ainsi libre l’interprétation que nous devons donner au mot « perpétuel ». C’est le contexte historique défini par la prophétie qui va nous conduire à l’interpréter sous l’ancienne ou la nouvelle alliance. Ainsi il apparaît qu’en prolongement des actions imputées à la « petite corne » du chapitre 7, le chapitre 8 évoque l’enlèvement du sacerdoce « perpétuel » de Jésus-Christ par l’évêque de Rome, nouveau chef prétendu de l’église chrétienne depuis 538, année à partir de laquelle il a bénéficié de l’édit de l’empereur Justinien. Dans le chapitre 11 verset 31, le contexte prophétique de l’ancienne alliance suggère, cette fois, l’arrêt du sacrifice « perpétuel » provoqué par les armées du roi séleucide Antiochos IV dit Epiphane vers 168 avant J-C. En fait le seul endroit où le texte hébreu mentionne le mot « sacrifice » se trouve dans Daniel 9 au verset 27 où il est suivi du mot « offrande ». Relevons encore dans Daniel 11 l’usage du verbe hébreu « hésiru », dont la racine « sarah » signifie faire « cesser, finir ». Il marque l’arrêt du rite quotidien du sacrifice « perpétuel » provoqué par les troupes séleucides. Au contraire, sanctifiant une action personnelle de Dieu dans Daniel 9, verset 27, le verbe imputé à l’action du Messie est « yashbit » dont la racine est « shavot » verbe par lequel Dieu marque l’arrêt de ses œuvres dans Genèse 2, verset 3 ; un verbe rattaché à la sanctification divine originelle du « shabbat » ou « jour du sabbat ». Ordonné par le Créateur, le sabbat hebdomadaire célébré chaque semaine par l’humanité ne prend son sens que par la victoire du Messie ; victoire qui repose précisément sur sa fidélité confirmée par son acceptation de la mort. Comprenez ceci : c’est par sa mort volontaire que les élus entrent et entreront dans le repos de Dieu prophétisé par le « shabbat » ordonné et rappelé au souvenir des hommes. De même, étant cité sans l’article « le », l’expression « sacrifice et offrande » évoque tout type de sacrifice et d’offrande. C’est un arrêt total des rites sacrificiels hébreux. C’est précisément pour confirmer cet enseignement que Dieu a fait détruire en 70, par les troupes romaines, les lieux sanctifiés d’Israël.
La religion chrétienne de la nouvelle alliance va donc se prolonger jusqu’à la fin du monde, mais au cours de l’histoire, elle va subir des transformations suite aux nouvelles stratégies du diable qui va en prendre possession. C’est ce que suggère la suite du verset 27. Lisons ce texte : « Mais sur une aile seront des abominations qui causent une désolation… ». Dans la Bible, le mot « aile » symbolise la possibilité de s’élever, soit de dominer ; c’est aussi le symbole de ce qui a un caractère céleste, soit une suggestion de la religion. L’expression « sur une aile » se traduit donc par « situé en position dominatrice religieuse ». Cette religion dominatrice est un christianisme caractérisé par des abominations. Déjà, dans Daniel 8, verset 10 cette élévation était imputée à la « petite corne » papale romaine en ces termes : « Elle s’éleva jusqu’à l’armée des cieux… ». Là encore, il convient de relever une différence avec le texte de Daniel 11, verset 31, où le mot abomination est au singulier, soit attribué à un seul personnage. Ici, dans Daniel 9, verset 27, ce mot est au pluriel, et nous allons comprendre pourquoi, à la lumière de l’Apocalypse de Jésus-Christ. Cette révélation de Jésus nous annonce dans le chapitre 13 l’apparition de deux « bêtes » religieuses au cours de l’ère chrétienne. La première appelée « bête qui monte de la mer » confirme l’élévation du mot « aile » de Daniel 9, et désigne la religion catholique papale romaine. La deuxième est appelée « bête qui monte de la terre » suggérant qu’elle est sortie de la première, si l’on veut bien tenir compte de ce que la terre est sortie de la mer au troisième jour de la Création, selon Genèse 1, versets 9 et 10. Or cette religion sortie du Catholicisme porte un nom ; église réformée, ou église protestante. L’Esprit impute à ces deux religions chrétiennes une action abominable qu’elles partagent et ont en commun. L’allusion à l’adoption du « jour du soleil » ou « premier jour de la semaine » est d’autant plus logique que la nouvelle alliance sainte ordonnée par Dieu est venue donner un sens au « shabbat » dans ce verset 27. La suite du verset présente la conséquence des abominations pratiquées ; « une désolation ». Dans la Bible, une terre désolée représente une terre privée d’habitant. Ce projet divin est ignoré par la multitude chrétienne, mais il est confirmé par Jésus dans l’Apocalypse où la terre est appelée « abîme » dans le contexte du septième millénaire. En effet, dans le récit de la création, au cours du premier jour Dieu emploie le mot « abîme » pour évoquer la planète terre, dans son premier aspect avant la création des différentes formes de la vie. Ce mot suggère donc un projet d’anéantissement de l’humanité. La suite du verset 27 de Daniel 9, va encore confirmer cette idée, puisque nous lisons : « et jusqu’à une entière destruction…». Et ce verset enchaîne : « alors ce qui a été arrêté se répandra sur la désolation ». La fin du verset peut être également traduite par « sur ce qui est désolé ». Dans ces deux possibilités c’est la terre qui est concernée. Le péché, auquel l’humanité doit sa soumission au diable, est devenu la cause de toutes les destructions de vie et de matériels qui ont transformé l’ancien paradis terrestre en terre « désolée », redevenue « informe et vide », entièrement souillée et rendue incapable d’assurer la survie de l’homme. Les dernières heures de l’histoire du salut terrestre ont achevé le travail du « progrès scientifique » mis en route après 1844. Daniel 11 versets 40 à 45, et Apocalypse 9, verset 13 annonce la venue d’un conflit universel nucléaire ordonné par Jésus-Christ pour châtier en dernier avertissement l’incrédulité des nations dites « chrétiennes ». Ce conflit sera pour la troisième fois centré sur l’Europe, territoire du développement du Christianisme.
A l’issue de ce conflit, les rebelles survivants s’uniront pour organiser un gouvernement mondial dans le but d’éviter les conflits nationaux. Le diable en profitera pour tenter de faire abandonner la pratique bénie du sabbat du septième jour par ceux qui lui résistent. Une loi universelle rendra ainsi obligatoire, sous peine de sanctions, l’obéissance au dimanche romain l’ex jour du soleil païen instauré en 321 par l’empereur Constantin dit le Grand. Après cette dernière séparation spirituelle, l’humanité ne sera plus divisée qu’en deux camps. Celui du diable et celui de Dieu, chacun utilisant ses propres armes, pour le diable, la contrainte, et pour Dieu, la démonstration de son amour. Selon Apocalypse 13, nous l’avons vu, en dernière forme religieuse chrétienne regroupant des protestants et des catholiques unifiés par leur attachement au dimanche romain, « la bête qui monte de la terre » manifestera son intolérance par des mesures graduellement intensives. A ce stade de l’histoire vont s’opposer, partisans du sabbat, « le sceau du Dieu vivant », et partisans du dimanche romain, « la marque de la bête ». Les sanctions iront du simple boycott commercial jusqu’à la condamnation à mort des récalcitrants. En réponse à cette intolérance, le Dieu créateur versera sur les rebelles « les sept derniers fléaux de sa colère » ; des fléaux semblables à ceux qui frappèrent l’Egypte 3500 ans plus tôt. C’est dans ce contexte que, par son grand retour glorieux, Jésus-Christ interviendra pour sauver ses fidèles de la haine meurtrière du camp révolté conduit par le diable. Et la mort retombera sur la tête de ceux qui voulaient la donner. C’est ainsi que la terre retrouvera son état « d’abîme » originel privée de toute vie humaine.
Les élus ayant été enlevés et conduits au royaume céleste de Dieu, la terre « informe et vide » deviendra pendant mille ans la prison pour « l’ange de l’abîme ». Sous cette expression, l’Esprit désigne le diable également appelé dans Apocalypse 9, verset 11, le Destructeur, « en hébreu et en grec », les deux langues dans lesquelles le témoignage de Dieu, sa sainte Bible, a été écrit pour éclairer les hommes sur ses volontés. Dieu nous le dit : Le diable a utilisé la Bible pour perdre des âmes. Il convient donc de se montrer extrêmement prudent à l’égard des personnes qui se présentent bible ouverte au nom de la parole de Dieu écrite ; ceci d’autant plus qu’ils seront toujours plus nombreux jusqu’à la fin du monde.
A la fin des mille ans, une deuxième résurrection ramènera à la vie les êtres déchus pour qu’ils soient confrontés à la gloire céleste qui leur a été refusée. Apocalypse 20 verset 8 va désigner les participants de cette deuxième résurrection par les noms Gog et Magog empruntés aux textes d’Ezéchiel 38 et 39. Dans ces deux prophéties, Gog et Magog rassemblent des peuples pour attaquer Israël. C’est également cette situation qui va se renouveler au moment du jugement dernier. Conduit par le diable, la multitude ressuscitée se présente pour porter une ultime attaque contre le camp des saints. Ensuite, en application de leur jugement effectué par les élus et Jésus, un feu descendra du ciel pour les consumer.
Ces explications devaient être présentées pour comprendre le sens exact de cette dernière phrase du verset 27 de Daniel 9. Revenons donc à ce texte :
« Alors ce qui a été arrêté ». Visiblement cette expression suggère une sentence divine déjà annoncée dans Daniel 7 qui illustre dans les versets 9 à 11, les grands principes du jugement dernier. On y retrouve les « livres ouverts » par « les juges » qui désignent les élus enlevés au ciel au retour de Jésus. Ces livres permettent de juger les œuvres des déchus morts selon que Apocalypse 11 verset 18 dit : «…et le temps est venu de juger les morts… ». Ces « livres ouverts » sont également mentionnés dans Apocalypse 20 qui traite du millénium et du jugement dernier par lequel il s’achève. La leçon donnée par Daniel 7 est le châtiment de « l’arrogance » envers Dieu ; ce qui consiste à résister et à lutter contre sa vérité révélée dans toutes les époques, tout en se réclamant de lui.
Reprenons maintenant la suite du verset 27, nous y lisons : « …se répandra sur la désolation ». Le verbe hébreu choisi par Dieu traduit par « se répandra » est « titak ». Sa racine « natak » peut avoir plusieurs sens ; en premier, couler, ou se répandre, et en second : fondre. Ces trois verbes, couler, se répandre, et fondre résument l’action du feu du jugement dernier qui, descendu du ciel, se mêle au magma en fusion libéré par des craquelures de l’écorce terrestre. Il se répand sur toute la surface de la terre qui prend alors l’aspect d’un « étang de feu » cité dans Apocalypse 20 verset 10.
Cet étang de feu est la réponse de Dieu à toutes les créatures qui lui ont résisté et lui auront résisté jusqu’à la fin ; hommes et anges. Leurs « abominations » ont causé « la désolation » de la terre. Le feu qui les a anéantis la purifie des souillures que l’arrogance humaine avait créées. Mais ce feu n’a pas vocation à se prolonger éternellement. Son œuvre faite, le feu est remplacé par une nouvelle création glorifiée qui va devenir le nouveau royaume universel du Dieu vivant et le nouvel Eden éternel pour ses rachetés. A ce point du projet divin, la terre devient le marchepied de Jésus-Christ, ses ennemis étant devenus poussière sous ses pieds. La nuit peut disparaître, le camp de la lumière divine a triomphé. Il n’y aura plus de soir mais qu’un éternel matin.
L’étude de Daniel 9 verset 27 est ainsi terminée.
Que faut-il encore pour vous convaincre que votre étude des révélations prophétiques ne peut que vous apporter le meilleur ? Un meilleur préparé comme véritable nourriture pour votre foi par le grand Dieu créateur de tout ce qui vit et ce qui est.
Dans ce monde où chacun donne une grande valeur à ce qu’il pense, les rebelles de tous ordres continuent à se justifier et à revendiquer une relation avec Dieu. Pensent-ils de la sorte arriver à le convaincre qu’il doit se ranger à leur opinion et les reconnaître pour siens ?
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Nous allons maintenant examiner les différentes confusions religieuses qui concernent le Judaïsme et le Christianisme en commençant par la première. Cette étude aura pour titre…
Première confusion religieuse de l’alliance divine
La confusion religieuse juive
Les rangs du camp rebelle opposé au plan du Dieu de vérité ont grossi au fil du temps. Ceci explique le fait que la religion monothéiste présente aujourd’hui un aspect de confusion totale. Lorsque le Créateur instaure les conditions de son alliance, il y a toujours des rebelles qui lui résistent. On se souvient qu’à leur sortie d’Egypte, certains Hébreux, tels Koré, Natan, et Abiram, ont été engloutis vivants avec leurs familles dans la terre. Dieu a laissé là un exemple, mais après son errance dans le désert pendant 40 ans, Israël n’a pas eu à revivre de pareils événements. Dieu a laissé vivre le rebelle avec son peuple, et ceci explique les raisons des apostasies et des rébellions qui ont caractérisé l’histoire de l’Israël de la première alliance. N’étant pas immédiatement détruits par Dieu, les rebelles ne font que croître et prospérer, provoquant la confusion par leurs faux enseignements et leurs fausses prétentions religieuses. Cette description concernant l’Israël de la première alliance, va également concerner l’Israël spirituel de la nouvelle alliance, et se révéler être un véritable drame.
Avec l’instauration de la nouvelle alliance scellée par le sang du Messie Jésus, l’Esprit de Dieu ouvre la porte du salut aux païens afin qu’ils se convertissent à sa norme religieuse. D’ailleurs l’apôtre Paul est inspiré en déclarant : « Il n’y a plus, ni Juif, ni Grec… etc., car tous sont un en Jésus-Christ ». Dieu confirme ensuite cet enseignement en détruisant Israël, Jérusalem et son temple, par les Romains en 70 de notre ère. Les Juifs survivants du massacre sont dispersés parmi les autres peuples de la terre. Cette souveraine décision divine va échapper aux hommes à cause des fausses prétentions religieuses défendues par les rescapés. La confusion commence ; l’Eglise de Jésus-Christ subit la haine de ceux qu’il convient d’appeler les faux Juifs qui ne supportent pas cette concurrence. Dans sa Révélation, Jésus, fidèle au jugement qu’il a porté contre eux pendant son ministère terrestre, les désigne sous le nom de « Synagogue de Satan ». Paul a également dit : « Le Juif, ce n’est pas celui qui l’est selon la chair, mais celui qui l’est selon l’Esprit ». Alors ne vous laissez plus troubler par les séductions de ce peuple, qui a eu son temps de gloire, et nous a donné, avec le Messie Jésus qu’ils ont rejeté, un Sauveur qui nous offre l’éternité.
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L’étude qui vient maintenant a pour titre…
La confusion religieuse chrétienne
Après le temps apostolique, l’abandon du sabbat du septième jour du quatrième commandement du décalogue de Dieu, au profit du jour du soleil honoré par les païens romains comme premier jour de leur semaine, et ceci sur un édit de l’empereur Constantin promulgué en 321, attire sur l’empire fraichement christianisé, la malédiction de Dieu. La fidélité réciproque, condition de l’alliance sainte, étant rompue par les hommes, Dieu va devoir châtier les rebelles pour les ramener à son obéissance. Dans sa Révélation, Jésus présente ces châtiments sous l’image de « sept trompettes » sur lesquelles la Révélation de la Septième Heure présentée sur petit-livre-ouvert.com vous apportera toutes les explications. L’abandon du sabbat en 321 fait donc apparaître une nouvelle rébellion caractérisée par son adoption du jour du soleil païen comme jour de repos religieux. Mais comme le nom « jour du soleil » révèle trop clairement son origine païenne, ce nouveau camp rebelle va changer son nom et l’appeler « Jour du Seigneur », en latin « Dies Dominica », soit en Français « Dimanche ». Les trompettes des châtiments divins s’enchaînent alors jusqu’à notre époque de la fin et les rebelles n’entendent toujours pas l’invitation de Dieu à produire du fruit de repentance.
Depuis 538, par le décret de l’empereur Justinien, les rebelles fidèles à l’ex-jour du soleil ont obtenu la domination religieuse sur tout l’empire. Un intrigant nommé Vigile, ami de la femme de Justinien nommée Théodora, a obtenu le titre de souverain pontife et fait exiler l’évêque de Rome Sylvère, pour prendre sa place. Le camp rebelle fonde alors l’église catholique papale romaine. L’apôtre Pierre mort martyr de Rome en 64, n’est en rien responsable des fausses prétentions papales établies en 538. La Bible va être remplacée par le missel catholique. La foi chrétienne est alors plus ténébreuse que jamais, et les exactions commises en son nom n’ont aucune limite.
En 1517, un moine catholique formé à l’enseignement, Martin Luther, dénonce officiellement les attaques catholiques portées contre l’enseignement de la Bible. Il proclame deux vérités fondamentales qui sont deux principes ; celui de la justification par la foi, et celui qui donne à la Parole de Dieu écrite, la sainte Bible, une autorité exclusive comme seule base de la vérité, et donc de la foi, principe résumé par l’expression latine « sola scriptura », traduisez « l’Ecriture seule ». Dans le camp rebelle cette révolte reçoit le nom d’hérésie, et s’ensuit la chasse aux « hérétiques ». C’est alors qu’oubliant les ordres de Jésus-Christ « à moi la vengeance et la rétribution », certains de ces « hérétiques » de la foi réformée prennent les armes et rendent coup pour coup aux ligues catholiques. Après l’apogée des persécutions du corps des « Dragons » créé par Louis XIV pour pourchasser les « hérétiques » dans les Cévennes particulièrement, Dieu va faire cesser la domination de la coalition formée par la papauté et la monarchie, en suscitant la Révolution française en 1789. En 1793 et 1794, deux époques dites de « Terreur » vont frapper de mort par la guillotine cette coalition coupable d’adultère spirituel envers Dieu. Dans Révélation, chapitre 2, verset 22 et 23, vous retrouverez l’annonce de cette action que la prophétie appelle « une grande tribulation ». Apparemment frappée à mort l’institution catholique papale romaine va malgré cela se relever sous l’autorité du nouveau maître, Napoléon qui a besoin d’elle pour authentifier son sacre au titre d’empereur. Désormais, la paix religieuse est établie pour longtemps dans l’empire et jusqu’à nos jours. Mais qui a tenu compte du jugement de Dieu manifesté mais incompris ? Personne ou très peu. Selon le jugement divin révélé en 1800 il n’y a plus de peuple juif, ni de croyants catholiques, seuls restent légitimes à cette époque ceux qui ont reçu le message de Luther, les Protestants déjà divisés par groupes. Et, preuve même de l’ignorance et de l’indifférence manifestées par les hommes envers son jugement, le monde d’aujourd’hui se compose encore de Juifs et de Catholiques qui se réclament de la tradition héritée.
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Appelée à tenir le rôle de « la bête qui monte de la terre » dans le combat d’Harmaguédon qui l’opposera à Jésus-Christ et ses fidèles observateurs du sabbat, aux dernières heures de l’humanité, nous étudierons maintenant, les raisons de la déchéance de la foi réformée ; ceci, sous le titre…
La confusion religieuse protestante
Daniel 8, verset 14 : Annonce du retour du Messie Jésus pour 1844
En 1844, un décret divin programmé dans Daniel, chapitre 8, verset 14, est entré en application. Littéralement traduit de l’hébreu, Dieu y proclame souverainement : « Jusqu’à soir matin, deux-mille-trois-cent, et la sainteté sera justifiée ». Cette forme de traduction peut paraître bizarre mais j’en affirme l’authenticité parfaitement conforme au texte original hébreu de la Torah. Elle va nous permettre de comprendre ce que Dieu veut précisément dire. Il convient de relever dans ce verset l’expression « soir matin » utilisée en dehors de ce verset uniquement dans le récit de la Création par lequel la Bible commence. Dans ce récit de la Genèse, cette expression désigne un jour de 24 heures. Le mot « soir » suggère le temps des « ténèbres », et à l’opposé, le mot « matin » le temps de la « lumière ». Le choix de Dieu de marquer le début de la journée par la période des « ténèbres » se fonde sur la situation spirituelle qui prévaut dans la Genèse au moment où il s’exprime. L’ordre choisi prophétise et programme une victoire finale pour sa « lumière ». Ceci s’appliquera donc également au terme des 2300 jours années de Daniel. En fait, le début du verset « jusqu’à soir matin » doit être compris comme « jusqu’au passage du temps des ténèbres au temps de la lumière ». Ceci confirme la décision de Dieu de purifier la doctrine chrétienne souillée jusque-là par Rome. De plus, en se référant à la Création, Dieu s’exprime comme Dieu Créateur qui, à ce titre, vient restaurer la pratique du sabbat abandonnée par décision romaine depuis 321. Ce verset 14 apporte une réponse aux trois questions concernant des sujets de « sainteté » cités dans le verset 13. Des saints s’interrogent et se demandent jusqu’à quand le Chef des chefs, Jésus-Christ, va laisser agir l’église catholique romaine qui trompe les serviteurs de Dieu. Les trois sujets de sainteté évoqués dans le verset 13 concernent :
Ø la sainteté du sabbat transgressé par le Christianisme de l’époque que ce verset appelle « péché dévastateur » faisant allusion au « dimanche » romain venu le remplacer,
Ø la sainteté du sacerdoce céleste « perpétuel » exclusif de Jésus-Christ usurpée par le chef terrestre papal. Je rappelle encore ici, que le mot « sacrifice » rattaché au mot « perpétuel » ne se trouve pas dans le texte original hébreu de la Torah ; il faut donc le supprimer, car il suggère un contexte de l’ancienne alliance, et nous induit en erreur. Une fois isolé, le mot « perpétuel » peut alors être interprété dans le contexte de la nouvelle alliance sous laquelle la mort de Jésus a précisément mis fin aux rites des sacrifices. Dans la nouvelle alliance Jésus tient un rôle d’intercesseur perpétuel comme souverain sacrificateur céleste. Le rappel de son sacrifice dans leurs prières protège ses élus de manière perpétuelle.
Ø Et le troisième sujet de la sainteté concerne « l’armée » des cieux qui désigne les citoyens du royaume des cieux, soit les vrais disciples de Jésus sélectionnés ou sanctifiés, par le jugement de Dieu et non par celui de Rome.
Le verset 13 mentionne encore en clair le mot « sainteté ». Ce terme fait allusion à l’ensemble de ce que Dieu appelle sainteté, c’est pourquoi son jugement divin vient contredire les conceptions romaines de la sainteté. En résumé, après des siècles de ténèbres spirituelles, Dieu reprend le contrôle de la religion pour la restaurer selon sa norme ; un retour aux bases apostoliques, un retour de la lumière divine ; le passage du « soir au matin ». Mais comme chaque fois qu’il propose une remise en cause de la situation établie, Jésus-Christ se heurte à la résistance des croyants traditionnels qui n’aiment pas les changements. Pourtant, par ce décret, Dieu place l’homme religieux devant deux choix, « la vie et le bien, la mort et le mal ». Ou bien on obéit sagement en se conformant à son exigence, ou bien on s’entête et lui résiste s’agrippant à l’héritage, et on perd de la sorte le bénéfice de la « justice » apportée par le sang de Jésus-Christ ; car il est bien question de « justice » dans ce verset 14, Dieu évoque dans ce verset, pour la remettre en cause pour un type de croyant trop léger, la « justice éternelle » instaurée par le Messie dans Daniel 9 au verset 24. Ce lien justifiera le fait de prendre la clé du départ des 70 semaines d’années du chapitre 9 pour départ des 2300 jours-années du chapitre 8 ; deux durées, mais une seule clé pour marquer le départ, celle de Daniel 9, verset 25 : « Depuis la sortie de la parole pour rétablir et rebâtir Jérusalem, jusqu’au Messie, le prince, il y a… ». Nous l’avons vu, le départ des 70 semaines ou 490 années se trouve en 457 avant Jésus-Christ au décret du roi perse Artaxerxès, et la fin de cette durée aboutit en 34 de notre ère, soit sur la fin de la 70ème semaine réservée au ministère du Messie et à son acceptation par la nation juive.
Avec la même date de départ, l’autre durée plus longue désignée par 2300 jours-années s’achève en 1844. Ce calcul repose sur une logique simple, pour pouvoir être évoquée et remise en cause dans Daniel 8, « la justice éternelle » doit avoir déjà été instaurée. Or Dieu a choisi de faire du chapitre 9 le thème principal du livre de Daniel, puisqu’il est consacré à prophétiser l’instauration de « la justice éternelle » fondée sur l’obéissance parfaite du Messie Jésus ; obéissant jusqu’à la mort, en sacrifice volontaire programmé par le Dieu vivant. Cette action rejetée par le peuple Juif a marqué le début de la confusion religieuse. Pour résumer ces calculs, disons que Dieu propose depuis 457 avant J-C 2300 années qui aboutissent en 1844. Sur ces 2300 années, 490 sont réservées à la nation juive pour se convertir au Christianisme ; ce qu’elle n’a pas fait. Les malheurs qui l’on frappée témoignent de ce que les épreuves annoncées par les prophéties portent de terribles conséquences. Les conséquences seront à terme tout aussi terribles pour les Chrétiens rejetés en 1844.
En 1844, le décret de Daniel 8, verset 14 était lu selon une fausse traduction présente encore aujourd’hui dans les Bibles. On lisait : « Jusqu’à 2300 soirs et matins et le sanctuaire sera purifié ». Comparée au texte hébreu de la Torah, ce verset comporte pas moins de trois erreurs que les initiés pourront à loisir vérifier. Première erreur, les mots « soirs et matins » sont ici au pluriel ; dans la Torah, ils sont au singulier. Deuxième erreur, le mot « sanctuaire », en hébreu « miqdash » n’est pas dans le texte hébreu. On y trouve le mot « qodesh » qui se traduit par sainteté. Et enfin, troisième erreur, le verbe « purifié » n’est pas logique puisque le verbe utilisé dans la Torah est en hébreu « nitsdaq » qui dérive de la racine « tsedeq » qui signifie justice, d’où le verbe « justifier ». La mauvaise traduction a servi néanmoins les intérêts de Dieu …pour un temps, celui de 1844. Mal traduit, ce verset a permis une fausse interprétation par laquelle Dieu a soumis le Protestantisme américain à une épreuve de foi. De manière entièrement programmée par l’Esprit du Dieu créateur, ce verset a été interprété comme annonçant le grand retour du Christ pour la date 1844. Avant cette date, la réaction des Chrétiens auditeurs de cette annonce a fait apparaître deux catégories de croyants. Les croyants appréciés par Dieu se sont réjouis de l’imminence du retour de leur Sauveur, et ils se sont fortifiés dans leur espérance par une étude approfondie des enseignements prophétiques proposés. Les autres, jugés par Dieu comme hypocrites se sont trouvés toutes les raisons puisées dans la Bible elle-même pour mépriser et rejeter l’annonce prophétique. Ainsi, Dieu a pu commencer en 1844, la sélection des saints qui allaient conserver la justice éternelle que Jésus leur a imputée par le baptême, et ils n’étaient pas nombreux. D’autre part, une fausse sainteté protestante à laquelle Jésus retirait sa justice allait durablement augmenter la confusion religieuse. Qu’arrive-t-il quand Jésus-Christ vous lâche ? Quelqu’un, très mal intentionné, vient le remplacer, mais personne ne voit rien car ces choses se passent dans le monde invisible des esprits. A partir de là, c’est la Bible et la Bible seule, « sola scriptura », qui va permettre aux saints de juger et d’identifier les faux saints et les vrais en fonction de leurs œuvres qui expriment ou reflètent la nature de leur foi. « On juge un arbre à son fruit », « Vous les reconnaîtrez à leur fruit », autant de déclarations de Jésus qui justifient cette démarche. Le comportement de l’Agneau Jésus le prouve, le fruit attendu et exigé par Dieu, c’est l’amour de sa personne qui s’exprime par l’obéissance et la docilité. Celui qui l’aime s’intéresse à tout ce qu’il propose, et à tout ce qui le concerne. La réaction de chaque individu dépend de sa véritable nature. « Mes brebis entendent ma voix, et elles me suivent » a dit le Seigneur.
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L’étude qui vient maintenant est placée sous le titre…
La séparation rendue officielle
En 1844, Dieu a ainsi séparé du reste des autres croyants de la confusion religieuse ceux auxquels il confère un caractère de sainteté. En signe de cette sainteté, il les a conduits à reconnaître la légitimité de son saint sabbat du septième jour. Ce n’est que le commencement ; un commencement fondé sur une traduction erronée du verset sur lequel sa sainteté s’établit. Les choses resteront dans cet état jusqu’au moment où Dieu offrira plus de lumière.
En 1863, les saints de 1844 se regroupent en institution officielle sous le nom « Adventiste du Septième jour » ; un nom qui résume les causes de sa bénédiction divine. Le nom Adventiste, du latin « adventus » signifiant « avènement », celui de Jésus, rappelle l’« attente » de ce retour par ses pionniers en 1844. Le Septième Jour rappelle sa reconnaissance et sa pratique du repos du sabbat ordonné par le quatrième commandement de Dieu ; et ceci en parfaite harmonie avec sa foi purement chrétienne. Une durée prophétique de 1335 jours-années de Daniel 12 marque le début de la mission universelle de cette nouvelle institution en 1873. Cette action est accompagnée d’une béatitude dédiée par Dieu en ces termes: « Heureux, celui qui attendra jusqu’à 1335 jours ». Là encore, un calcul était nécessaire. Cette durée commence au moment de l’instauration de l’église papale, soit en 538 de notre ère. L’œuvre adventiste est lancée et doit se poursuivre jusqu’à la fin du monde. Mais attention ! Les épreuves de foi ne sont pas terminées.
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Une dernière confusion religieuse va venir s’ajouter aux précédentes, prouvant ainsi qu’avec le temps, toutes les institutions religieuses finissent mal et se coupent de Dieu. Ce dernier cas fait l’objet du message qui vient et que j’appelle…
La confusion religieuse adventiste
La foi adventiste est éprouvée
Révélation 9, versets 5 et 10 : Un message adventiste pour 1994
En 1980, Dieu m’appelle à entrer dans la foi adventiste. Passionné pour la vérité biblique, j’étudie ses interprétations prophétiques enseignées de manière traditionnelle. Le dépôt de 1844 a été rigoureusement conservé ; il n’y manque rien. Pourtant depuis 1844, beaucoup de temps s’est écoulé, et l’aspect des peuples et des nations s’est grandement transformé. Est-il possible que les prophéties du temps de la fin ne mentionnent pas ces changements ? A ma grande surprise, l’Esprit m’a conduit à découvrir qu’une nouvelle interprétation prophétique de la Révélation était non seulement possible mais absolument nécessaire afin de purifier ses interprétations de grosses incohérences qui déshonorent le grand Dieu auteur de ces prophéties. Pour les Adventistes qui pensaient partir au ciel en 1844, cette date était logiquement la date qui marquait la fin de l’histoire de l’humanité. Mais en 1980, cette idée ne tenait plus, et une réinterprétation de la Révélation était devenue parfaitement légitime. Ceci a pu être réalisé en rattachant les événements historiques débutés en 1844 au message de la cinquième église appelée « Sardes », reculant ainsi dans le temps des « sept églises », la date 1844 rattachée traditionnellement au message de « Laodicée », septième et dernière époque de la prophétie. Or ce message débute le chapitre 3. Un changement de chapitre marquerait-il le passage à l’instauration des nouvelles exigences présentées par Dieu en 1844 ? Cela semblait se justifier car d’un seul coup le message lu devenait parfaitement compatible avec les faits historiquement accomplis. J’ai appliqué alors le même principe pour le thème des « sept trompettes » évoquées dans les chapitres 8 et 9. Les messages des cinquième et sixième trompettes traditionnellement interprétés pour des faits accomplis avant 1844, prenaient un tout autre intérêt en faisant commencer la cinquième qui marque le début du chapitre 9 à partir de 1844. La longueur des messages des deux trompettes du chapitre 9 confirme leur importance pour les serviteurs que Dieu sélectionne en notre temps de l’extrême fin de l’histoire du salut. Cette démarche a permis à Dieu d’organiser une nouvelle épreuve de foi imposée en premier à l’institution adventiste du septième jour. La réinterprétation prophétique plaçant le début de la cinquième trompette en 1844, la période de « cinq mois », soit 150 années réelles, mentionnée deux fois dans ce thème a produit une nouvelle date surprise qui s’impose à notre analyse ; la date 1994. Là encore, pour aboutir à ses fins, Dieu m’a permis de comprendre que ce qu’il voulait que je comprenne. Ne relevant pas l’importance d’un petit détail concernant l’interdiction de « tuer », je n’ai vu que ce que mon cœur et mon esprit se sont mis à espérer. Conformément aux bases posées par le livre de Daniel, les « cinq mois » étaient rattachés à l’activité des faux prophètes établis depuis 1844, la fin de leur pouvoir ne pouvait qu’être provoquée par le retour en gloire de Jésus-Christ. Je suis ainsi devenu porteur d’une nouvelle annonce d’un retour de Jésus programmé pour 1994 ; comme William Miller l’avait fait pour 1844. C’était trop pour l’Institution adventiste exagérément conservatrice. Afin de ne pas troubler le troupeau, les dirigeants ont préféré me radier en rejetant les nouvelles lumières proposées par Jésus. Depuis cette radiation, le fruit porté par l’Institution adventiste a révélé sa situation spirituelle. Elle a rejoint le camp de la confusion religieuse en pactisant avec ceux que Dieu a rejetés depuis 1844. Ce refus de recevoir une nouvelle lumière sur la prophétie est venu accomplir et donner un sens précis aux reproches que Jésus lui adresse dans le message de Laodicée. Je résume : « Parce que tu dis que tu n’as besoin de rien, et que tu ne sais pas que tu es pauvre, malheureux, misérable, aveugle, et nu… » … des reproches déjà faits aux Pharisiens de son époque. Tel est le jugement que Jésus porte sur l’Institution adventiste du septième jour officielle, malgré sa pratique traditionnelle du repos du véritable septième jour. L’exigence de Dieu s’est intensifiée depuis 1994, la reconnaissance des messages des prophéties de Daniel et Apocalypse est devenue la norme de l’amour de la vérité qui permet d’éviter la puissance d’égarement qui conduit à croire au mensonge ; et que Dieu envoie à ceux qui ne savent pas se réjouir de sa vérité.
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Les leçons des criblages religieux que nous venons de voir me conduisent à vous exhorter sous un dernier titre qui est…
Le dernier appel avant le châtiment
Vous qui découvrez aujourd’hui ce message, ne commettez pas les erreurs que nous venons de relever, et profitez des explications complètes qui vous permettront de réaliser une solide alliance avec Dieu en toute connaissance de ses conditions. Ce cocktail lumineux préparé par l’Esprit du Dieu vivant pour ses esclaves en Jésus le Christ est à la disposition des violents qui veulent réellement s’emparer du royaume des cieux. Je vous le rappelle encore une fois, cette « nourriture préparée pour le temps convenable » de l’arrivée de Jésus-Christ vous attend sur le site « petit-livre-ouvert.com », parce que le petit livre prophétique est intégralement ouvert pour les véritables serviteurs de Dieu. Et j’ajoute, que s’il n’avait pas été ouvert avant l’accomplissement du dernier châtiment d’avertissement, Dieu n’aurait aucun témoin de sa bonté manifestée envers ses fidèles serviteurs qu’il a voulu prévenir et préparer. Selon qu’il est écrit : « Dieu ne fait rien sans avertir ses serviteurs les prophètes ». Aujourd’hui, ce témoignage existe et il culpabilisera ceux qui l’auront imprudemment méprisé et ignoré.
A l’heure où les nations occidentales dominatrices sombrent sous l’endettement financier, Dieu s’apprête lui aussi à faire payer à ces mêmes nations la dette spirituelle qu’elles ont contractée par leur incrédulité totale ou partielle envers lui. Cela prendra la forme d’un terrible conflit mondial tant redouté, mais inévitable, que la Révélation de Jésus-Christ appelle la « sixième trompette ». Sa stratégie est développée dans Daniel 11 dans les versets 40 à 45. Je dois encore vous rappeler ceci, les exécuteurs des châtiments divins ne sont pas plus justes que les nations qu’ils frappent. Mais n’ayant le choix qu’entre des coupables, Dieu utilise les moins coupables pour frapper les plus coupables. A leur tour, les instruments de la colère seront frappés et détruits. L’Histoire propose des exemples qui parlent : le peuple chaldéen païen instrument de la colère divine contre Israël en 605, 597, et 586 avant J-C, est à son tour livré aux Mèdes et Perses en 538 avant J-C. Autre exemple, entre 1789 et 1798, l’athéisme national français instrument de la colère divine frappe la monarchie et la papauté romaine. A son tour, le régime républicain dominé par Napoléon sera l’instrument d’une hécatombe frappant la France et les autres pays européens. Egalement dans notre XXème siècle, déjà deux guerres mondiales sont venues confirmer la malédiction divine frappant les peuples européens comme au temps de Daniel. La troisième frappe divine se soldera par un désastre peu imaginable, car elle sera comparable à la destruction d’Israël en 586 avant J-C au temps du règne du roi Sédécias où la nation est détruite.
Contrairement à ce que prétendent certains, l’accomplissement des prophéties de Daniel et de l’Apocalypse n’est pas conditionné par l’espérance d’une repentance du genre de celle des Ninivites devant l’annonce de Jonas. Ces prophéties du temps de la fin prophétisent l’incrédulité et l’endurcissement des êtres humains vivant les derniers jours ; Dieu ayant connu d’avance ce que serait leur comportement collectif et individuel. Jésus, n’a-t-il pas dit ? « Mais quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il de la foi sur la terre ? ».
Mais bien sûr, individuellement, l’élu de Dieu peut être réveillé par le message prophétique, et en connaissance de cause, se sentir poussé à s’engager pour la cause du Dieu de vérité. Comme le premier verset de l’Apocalypse l’indique, Jésus destine sa Révélation à ses seuls « esclaves » ; soit ceux qui reconnaissent à leur Maître céleste, le Dieu créateur, son droit de vie et de mort sur toutes ses créatures. Le serviteur fidèle retrouve dans les critères révélés la conformité de son engagement religieux ; sa foi est ainsi nourrie et fortifiée. Pour l’époque rendue confuse par les prétentions des faux-christs, Dieu a prévu d’apporter à ses serviteurs, par la prophétie, l’authentique et exclusif « témoignage de Jésus ». Nous lisons en effet dans Apocalypse 19, verset 10 : « Adore Dieu, car le témoignage de Jésus c’est l’esprit de la prophétie ». Celui qui conteste avec Dieu sa conception de la foi ne peut donc pas profiter de cette Révélation prophétique. La reconnaissance de la légitimité du quatrième commandement et sa pratique du repos du septième jour constitue l’une des clés permettant de profiter de la Révélation. L’autre clé est un grand amour de la vérité biblique divine. L’absence de cet amour de la vérité conduit Dieu à endurcir le cœur rebelle, par une puissance d’égarement qui fait croire au mensonge. La situation de cet individu est alors désespérée et sans remède ; il est destiné à la destruction.
Ouvrez vos yeux et vos oreilles, regardez et écoutez. Faites appel à votre instinct de conservation et à toute votre faculté d’analyse. Le monde ne sortira pas indemne de la crise qui le frappe. L’Europe a mis 30 ans pour se relever de la ruine de la seconde guerre mondiale. En pleine prospérité, de mauvais choix politiques basés sur l’humanisme et la cupidité ont progressivement détruit cet acquis sur 40 années ; livrant pour finir les emplois à la Chine, l’empire adorateur du « dragon » qui nous détruit. Le relèvement est devenu impossible sans une remise en cause du système capitaliste qui a conduit à ce résultat et qui s’enrichit en exploitant les écarts creusés entre les pays à main d’œuvre aux bas coûts et les pays occidentaux à haut niveau d’achat. Les dirigeants du monde ne sont pas prêts à remettre en cause les principes qu’ils ont soutenus et dont ils ont profité ; pas plus que les croyants ne sont prêts à remettre en cause leurs fausses religions. L’humanité ressemble à son père spirituel, le diable, comme lui, elle respire aujourd’hui le mensonge, et demain, elle témoignera de son goût pour le meurtre. Six mille ans après la Création, la démonstration voulue par Dieu prend forme. L’humanité diabolique coupée de la bienfaisante influence de Dieu produit son fruit ; un fruit pourri mûri par 40 années de paix profitables au commerce ; le dessein de Dieu est atteint ou sur le point de l’être. Le temps vient où « les marchands de la terre pleureront sur l’embrasement de Babylone la grande ».
Toi qui entends ou qui lis ce message, si tu te sens concerné(e) par l’appel de Jésus le Messie, le Dieu vivant qui répond au besoin de ses enfants, viens nourrir ta foi sur le site « petit-livre-ouvert.com ». Si tu es persévérant(e) dans l’étude de la Révélation de la Septième Heure qu’il présente, tu ne seras pas déçu(e).
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- Fin du message -
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